II

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Être heureux ne signifie pas que tout est parfait..























Cela signifie que vous avez décidé.....





















De regarder au delà des imperfections.



















Aristote





















































Nous venons tout juste d'arriver devant une maison ressemblante à un palace elle est immense. Cette maison est entouré de plusieurs hommes armés Alim coupe le contact et nous descendons de la voiture.

On arrive au pieds du portail qui s'ouvre à nous et laisse apparaître plus de 10 hommes armés. Au moins je suis sûr de rester en sécurité.

Lorsque nous rentrons dans la maison je suis un peu perdue.

Alim : Ta chambre se trouve en haut première porte à gauche. -sec-

Puis il part sans m'adresser un regard. Je monte les escaliers et essaye de me repérer. Ma chambre s'offre à moi. Elle est épuré et aussi grande que la maison.

Je m'aventure à l'intérieur une coiffeuse se trouve à ma gauche et un lit à ma droite. Au fond de la chambre se trouve 2 pièce une salle de bain et un dressing vide. Je n'ai rien pris je n'ai aucun vêtement et rien se trouve dans mon dressing.

Comment vais-je faire ? Il faut que j'aille demander à Alim.

Je descend les escaliers et le trouve sur le canapé.

Moi : -raclement de gorge - Alim je n'ai pas de vêtements et je ne peut pas dormir avec cette robe tu as quelque chose à me prêter.

Il relève ses yeux et me regarde pour la première fois. Il souffle ce qui me laisse comprendre qu'il est agacé.

Alim : Ilham vient ici.

Il a crier assez fort pour qu'une femme l'entende et descende des escaliers. Elle était sublime des cheveux long et des yeux gris. J'avais jamais vu une femme aussi belle.

Ilham : Oui que me vaut l'appel de mon grand frère ?

Un soupir de soulagement s'échappe ma part.

Ilham : Ne t'inquiète pas je ne suis pas du genre à voler le mari des gens. -sourire en coin-

Mes joues vire vite au rouge je suis très gêné mais Alim lui ne laisse rien paraître.

Alim : -raclement de gorge - Je ne t'ai pas appelé pour faire amis amis donne lui des vêtements.-sec-

Je pense qu'il ne sait pas parler autrement que sèchement.

Ilham : Pas commode le grand frère je ne sais pas si tu va réussir à le supporter. Suis moi.

Je la suis et nous remontons ces escaliers.

Ilham : Alors comment tu t'appelles ?

Moi : Je m'appelle Noor et toi du coup Ilham si j'ai bien compris.

Ilham : Exactement. Alors mon frère qu'est ce que t'en pense ?

Moi : Je sais pas trop quoi en penser j'ai parler très peu avec lui et à chaque fois il paraît froid.

Ilham : Il essaye de t'analyser il ne te connais pas assez pour te parler.

Moi : Ce n'est pas en me parlant sèchement qu'il va apprendre à me connaître.

Ilham : -en me jetant un tee-shirts et un short - Tiens prends sa.

Moi : Merci.

Moi : J'ai une question ?

Ilham : Oui dit moi

Moi : On est que nous trois dans cette maison ?

Ilham : Non la plupart du temps y'a Adnan et Imad ils vivent presque qu'avec nous.

Moi : Et y'a que toi comme fille ?

Ilham : Oui mais heureusement que t'es venue je m'ennuie à cause des garçons.

Puis on a continué à parler pendant 30 minute et je me suis enfin changer.

Depuis que je suis arrivé je n'es toujours pas manger. Je commence à avoir faim. Lorsque je descend je vois Alim  en train de manger et une deuxième assiette en face de lui.

Alim : L'assiette est pour toi si tu a faim mange.

Cette fois si il ne paraissait pas sec dans ses mots.

Moi : Merci.

Je m'installe et commence à manger le plat était délicieux.

Je finis de manger et débarrasse la table car la gouvernante doit être fatiguée. Puis je monte dans mon lit.

Flashback :

Je suis actuellement allongée dans mon lit car Ziad m'as enfermé suite à un ménage mal fait. J'étais épuisé hier encore j'ai cuisiné pour plus de 30 personnes.

La porte s'ouvre d'un  coup et laisse apparaître Ziad avec plusieurs couteaux. Mon cerveau ne fait pas tout de suite le lien avant qu'il s'avance vers moi me prend et m'attache à une chaise.

Il remonte mes manches et commence à me planter les bras.

Moi : Ziad je t'en supplie laisse moi.

Ziad : Tu veut bien la fermer continue à crier et je te brûle le corps. -sec-

Je me tais je sais de quoi il est capable et je prefere me contenir que de finir bruler.

Il continue à me planter jusqu'à graver son prénom dans ma peau. A jamais et pour toujours est gravée le prénom de celui que je hais.

Je tombe très vite dans les pommes car trop de sang à couler. Je me réveille seulement 3 jours après sans pouvoir bouger mon bras.

Fin du flashback.

Je me réveille en sursaut de mauvais souvenir qui ressurgissent. Je descend pour boire de l'eau et je vois Alim dans le jardin qui fume une cigarette je l'observe quelque minute et des larmes me viennent.

J'étais maintenant destinée à rester avec cette homme dont je ne sais rien.

Je préfère remonter dans ma chambre ou je m'endors du moins j'essaye.

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Fin du chapitre Noor ne sait toujours rien sur son mari et lui essaye seulement de l'observer. Hâte de la suite.
Bisous 💋

𝐍𝐨𝐨𝐫Où les histoires vivent. Découvrez maintenant