VI

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Cette souffrance




















Va t'elle s'arrêter ?


























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Je suis vite remonter dans ma chambre et je me suis sentis assez bête. Mina méritait ce que j'avais fait mais je ne me rappelle même plus pourquoi je l'avait fait. J'était peut être trop agressive sans le vouloir.

Je venais à peine d'arriver en Colombie et la première chose que j'ai faite a été de me battre. Alim m'appelle je descend donc.

Alim : Prépares toi on va au centre commercial dans 15 minute.

Moi : Qu'est ce qu'on va faire là bas ?

Alim : Voler.

Moi : Hyn ?

Alim : Je rigole prépare toi il te reste plus que 13 minute. -sourire-

Il s'en va donc de je vais me changer un jean et un haut blanc feront l'affaire.

Nous partons en route vers le centre commerciale.

J'achète tout ce qu'il me faut. Ce qui me dérange le plus c'est que je dépends entièrement de lui. Je n'ai jamais été indépendante et je pense que jamais je ne le serais. Malheureusement c'est comme sa je n'ai ni la liberté ni la vie que je voulais mais c'est ainsi.

Sur le chemin du retour une grosse voiture noire me donne l'impression qu'elle nous suit.

Je ne réagis pas maintenant et analyse d'abord la situation.

Moi : Tu as une arme ?

Alim : Oui pourquoi ?

Moi : Elle est où ?

Alim : Boîte à gants.

Moi : Une voiture nous suit elle ressemble fortement à celle de mon père c'est assez bizarre.

Alim : Prend une arme vise dépêche toi. -sérieux-

Avant que je ne puisse faire quoi que se soit deux balles transperce les roues de notre voiture et celle-ci fait un tonneau.

Alim : Putain. Noor sort vite il faut qu'on cours.

? : Courir ? Je te croyais plus courageux.

Mon corps tout entier se crispe cette voix était sa voix cette voix était mon cauchemar même mariée mes vieux démons apparaissait.

Ziad : Comment vas tu ma fille tu n'a même pas pris de mes nouvelles cela m'a presque vexé.

Moi : T'es vexé du coup tu tire deux balles dans notre voiture ? Je dirais au monde de ne plus jamais offensé Ziad Al Nazim. -sec-

Ziad : Tu revendiques ton faux caractère devant moi ? Tu veut que je te rappelle plusieurs souvenirs ? - sourire sadique-

Mon corps se mit à trembler mais j'essaye de rester paradoxal.

Alim : Tu ne vas rien rappeler comme souvenir mais je vais te rappeler certaines choses rappelle toi de quoi pars l'accord de ce putain de contrat ? -sec-

Ziad : Contrat que tu a modifier ? Le contrat n'est plus valable. Garde la si tu préfère mais rend mes biens.

Je lance un regard de meurtrier mélanger à de la détresse il ne faut absolument pas que Alim me laisse partir avec ce monstre.

Alim : Personne ne t'a appris à lire avant de signer ? Ta signature est ton accord donc tu n'a pas ton mot à dire.

Ziad : Tu ne veut pas obéir ? Très bien. Marco, Mehdi et Malyk  prenez les.

Ces hommes me soulèvent ainsi qu'Alim mais je n'ai pas dit mon dernier mot.

Je dégaine l'arme qu'il y avait dans la boîte à gant et je menace Ziad.

Moi : Personne ne t'a appris à venir armer surtout lorsqu'on veut kidnapper quelqu'un. Le premier de tes trois bouffons qui bouge je tire. -sec-

Règle numéro 2 : Être agile dans n'importe quel situations.

Ziad : Tu est faible. Tu n'y arriveras pas. Presser la gâchette n'a jamais été facile pour toi. Et maintenant madame veut tuer son père bien aimer ? Tu ne réussiras pas et tu ne réussiras jamais. Tu pense que t'en ai capable tu t'en persuade mais avec ta carapace t'oublie qui tu est vraiment mais moi je sais qui tu est un être faible sans fierté ni courage.

Mes yeux se remplissent de larmes. Je les retiens autant que je me retiens de lui trouer le corps.

Moi : Tu n'a connu que ce côté faible de moi car tu m'a toujours mise dans des situations où tout était à ton avantage. Mais lorsque nous sommes au même niveau voilà ce qui arrive tu est dépourvu. La vraie personne faible n'est personne d'autre que toi. Donc prend ta voiture et tes trois chiens et ne remet plus jamais un pieds dans le territoire de mon mari qui est la Colombie. Compris ?

Alim : Il y a quelque chose que tu ne comprend pas ? Casse toi.

Durant toute cette altercation avec mon père Alim m'avait observer mais il n'avait rien dit.

Ziad : On se reverras.

Moi : Peut être pas si vous ne quitter pas cet endroit dans moins de 10 secondes. 

 
Ziad se tourne et applaudit trois fois. Plusieurs hommes apparaissent.

Putain de merde...

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Une fin de chapitre assez mouvementée. Alim et Noor dans une position de faiblesse sa me choque. Ziad n'a toujours pas dit son dernier mot. Alim lui reste très observateur. Hâte de la suite.

Bisous 💋

𝐍𝐨𝐨𝐫Où les histoires vivent. Découvrez maintenant