J'ai souvent attendu,
Les mains tremblantes d'impatience,
La venue de cet inconnu,
Le visage plein de rides et de patience,
Qui me tendrait sa main,
Et même que je sentai déjà ses vieux doigts griffés mon visage,
Comme le font les mains des anciens,
Et j'ai attendu et essayer de rester sage.
Mais personne ne vint;
Et l’impatience et le calme;
Ne devinrent que colère et dédain;
Et au final;
Je n'ai fait que garder la tête baissée.
“Demain” Je me disais. “Demain quelqu'un viendra. Et m'emmènera, et le vent ne sera plus tempête, et la pluie ne sera plus torrents, et la nuit je n’entendrais plus des cris, et le matin je ne trouverais pas de cadavres de bières, au pied du lit de mon père, précisément placé à côté de la porte d’entrée, au milieu du salon. Car papa, tard le soir où tôt le matin, n'est pas en état de marcher le long des grands escaliers en pierres, et maman, que ce soit tard le soir où tôt le matin, ne veut pas de la moitié d'un homme, souillé et acide de ses propres démons venus à la surface, dans son lit propre et changer le jour même.”
-L
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Fin de course.
Poesia"Je suis morte." Je dis aux étoiles. "Comment ?" Me demandent-elles. "Je ne sais pas. Un jour, j'ai commencé à dépérir, comme la peinture qui s'arrache avec le temps. Comme le bois des charpentes après un incendie. Puis un matin, devant mon café, il...
