Chapitre 10

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J'étais dans une voiture en compagnie du diable. L'atmosphère était irrespirable. Je souhaitais qu'une choses, dormir. La nuit dernière, je n'avais pas fermer l'œil. Je deteste les nombreuses insomnies que je produits, depuis mon arrivée à Barcelone.

Pablo ne sortit aucun mot de sa bouche. Tant mieux, je n'ai aucune envie de communiquer avec se diable. Je me contentais de regarder le paysage défilé derrière la vitre.

Peu à peu, je me rendais compte qu'il n'y avait tant de monde que ça. Pourquoi esque je me trouve dans cette voiture avec le diable ? Je froncai légèrement les sourcils en attentes de réponses. Soudain, sans prévenir, mes lèvres sortirent les mots suivant :

-Pourquoi tu n'as pas voulu que je rentre seule avec Kiara ?

-Car y'a trop de monde dans les rues, lache Pablo sans me regarder.

Je regardai autour de la voiture. Il n'y avait personne, a part quelques groupes d'ados. Je grimacais en repensant a ses reponses.

Quand on arrive en bas de l'immeuble, je m'en pressai de sortir, et de le remercier. Je souhaite seulement de rompre le contact entre moi et cet individu.

En rentrant de le haul, il ne me tient pas la porte et la referme derrière lui. Bah oui, sinon ca serai de la politesse !

-Merci, dis-je à moi-même.

-Je devrais repondre ?

Je me contenta de lever les yeux au ciel. Quand nous penetrons dans l'ascenseur, je posai les yeux sur Pablo.

-Merci...

Il ne repond rien, comme s'il ne l'avait pas entendu. Il continua de pianotais sur son téléphone. Il poussa un soupire, puis continua, de taper du bout des doigts, sur son téléphone.

-Pourquoi tu veux me protéger ? Demandaient mes lèvres.

Parce qu'il veut tout controler comme le diable.

-Quoi ? Demanda Pablo irrité.

-Deja tu me defends l'autre soir quand j'ai faillis me faire violer, et la tu me raccompagne chez moi. Et tu ne veux pas qu'un garcon s'approche de moi. C'est quoi ton problème ?

-Toi.

Quel humour.

Il me fusillai du regard. Je le devisageai à mon tour. Je souhaite qu'il me réponde sérieusement.

-Tu vas me regardais comme ça longtemps.

-Jusqu'a ce que tu me réponde sérieusement. Pourquoi tu veux me protéger ?

-T'es vulnérable.

Je le fusillais du regard. Je suis capable de me débrouiller toute seule. J'ai 18 ans.

-Oui bah je ne souhaite pas ta protection, c'est lourd. Tout en sortant de l'ascensseur je continuai. On dirait mon père, mais en moins drole, moins gentil, et plus chiant et narcissique.

-Donc tu aurais voulus que je te laisse te faire sauter dans tous les sens sur une plage ? Oh oui je sais que c'est mieux ! J'etais trop con, j'aurai du te laisser. T'avais l'aire de t'amuser non ?

J'etais incapable de parler. Bien sûre que non, mais pourquoi il réagissait comme ça. J'adorais ses actes, mais detestais ces paroles. C'etait un monstre diabolique. Ma respiration commencait a devenir saccadée. Il poursuit :

-C'est vrai que tu aurais aimé jouer les putes se soir là non ?

Mes yeux me brûlèrent sir fort que je ma vision devenais flou. Mon corps étant crispé, ne pouvait faire aucun geste. Les muscles de mon corps me trahissèrent. Mes jambes se mettent  à trembler.

-Oh maintenant qu'elle ne peux plus parler a va se mettre à pleurer devant moi... ca va rien changé a ce que je pense de toi.

-Dis-le alors, articulai-je difficilement.

-Tu veux vraiment savoir ce que je pense de toi ? Très bien. Depuis la première fois que je t'ai vu je savais que tu étais une pute, mais j'essayais de ne pas me convaincre. C'est pour ça que je suis venu de te sauver l'autre soir. Mais quand je te vois allé dragué un père de famille, ensuite mon pote ! J'en suis convaincu. T'as pas honte de faire t'as bimbo devant le futur mari de ta copine ! C'EST UN PÈRE DE FAMILLE, dit-il en rapprochant son visage rougis par la colère, du mien rougis par les larmes.

-Je demandais... Mikky... où...

Incapable de faire une phrase complète, par cause des nombreux appels d'air que produisaient mes poumons. Mon corps trembla, incapable de contracté un seul muscle.

-Fais des phrases on comprend rien. Oh et ne mets pas Mikky dans l'histoire.

Mon corps s'etala par terre. Mon petit poids etait bien trop lourd pour mes fines jambes. Ces mots étaient tellement violent que j'étais incapable de rester debout. Ces mots etaient comme des couteau tranchants tous mes muscles.

-Si tu veux faire du sport de lit ne compte sur moi, je suis déjà pris ! Bon je te laisse dormir là, bonne nuit.

-JE TE DETESTE SALE CONNARD DIABOLIQUE. Tu ne me connais même pas !

Il pouffa, puis claqua la porte de son appartement. Il m'avait laissé seule, dans le noir, sur notre palier, me laissant me noyer entre ses insultes répuniantes et mes larmes. J'avais tellement de mal à respirer. Je cherchais quelque choses qui ressemblait a un sac. Je pris mon courage a deux et essaya de me calmer a genoux. Je posa ma tête entre mes genoux.


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Salut les amis !

Court chapitre mais remplis d'emotions pour Ella.
Vu l'élimination honteuse du barca, je ne ferai pas les un chapitres par jour... j'essaie de poster plus souvent.

Tiktok:fcbxgp
J

Estoy asombrado Où les histoires vivent. Découvrez maintenant