Chapitre 17

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Prenez de l'air, car ce chapitre
Va tellement vite qu'il décoiffe !

Bonne lecture,
J

Point de vue de Pablo :

Le coach nous avait demandé de venir pour 17h30... ce que je n'ai pas fais, évidement ! Il faut se faire attendre.

Je rassemblais en vitesse mes affaires de foot, jusqu'à ce que je touche mon énorme bouquet de roses rouges. Je le regardais, en pensant qu'elle m'aimerait, peut-être ? Je suis sûre qu'elle se foutrait de ma gueule.

Je soupirai longue, en partit presqu'en courant.

En arrivant au stade, je me garais, prêt à partir. Il n'y aura aucune minute à perdre, après notre victoire. Enfin normalement tout devrait aller dans les clous.

Je signais quelques autographes, l'histoire de dire que je suis enfin arrivé. Je me dirigeais vers les vestiaires, et en ouvrant, j'observais que l'effectif était changé, prêt à partir.

Je me dirigeais vers le numéro 6, mais une voix m'arrêta net. Cette phrase ne pouvais pas être prononcé pour ce soir là.

-Le numéro 6 ne jouera pas se soir, désolée Gavi... m'annonca Xavi

-Non, s'il te plait coach, il faut absolument que je joue se soir.

-Mais Pablo, la liga est déjà gagné, tu es déjà nominé meilleur jeune joueur pour le ballon d'or, ca te sert à quoi de jouer ?

-Pour mon ego, repondis-je fier de ma connerie.

Toute l'équipe rigola, pendant que Xavi passa une main sur son visage. Quelques joueurs attendaient la réponse de notre coach, d'autres murmurait que j'étais le clown de l'équipe.

-C'est à cause d'Ella, coach, annonca Pedri en me fixant.

Merde. Pourquoi il la ouverte lui ?

Toute l'équipe me devisageait, et le coach passait ses mains sur son visage, en marmonnant dans sa barbe. Ayant un énorme culot, je demandais quand même au coach :

-Alors ?

-Définitivement non !

-Mais pourqu-

-Arrête de faire le guignol, tu sais qu'elle n'a plus le droit d'être ici. Et j'ai dis à la presse, que tu ne pouvais pas jouait pour des raisons familiales. Les autres, sur le terrain, ordonna-t-il le ton sec.

Putain, j'aurai dû arrivé à l'heure pour une fois. Je soupirai fortement, en voyant qu'ils me laissaient seul. Je réfléchissais à quelle tournure aller prendre ma soirée. Ca faissait tellement de temps que j'attendais ça. Impossible que je ne joue pas. Il le faut.

Une fois changé et échauffé en cachette, je venais me faire petit sur le banc. J'observais le même match qu'Ella. Il n'y a pas de jeu. Le real Soviedad sont vraiment nul.

Soudain, Frenkie De Jong se blessa. Je me levais doucement, me préparant pour le remplacé. Fermin et moi, échangeons un regard complice.

Estoy asombrado Où les histoires vivent. Découvrez maintenant