Chapitre 1

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SOUKEYNA MBAYE

Me voilà épuisée le pire c'est que mon père nous a appelés en réunion .........

: bonjour, madame je peux
Me sort ma secrétaire de mes pensées

Moi: hum oui entre Sata

Sata : C'est le dossier A13 que vous m'aviez demander pour l'immeuble "dieze(#)" à Fann résidence je venais pour vous le remettre

Moi: Oui merci j'espère que je n'ai aucune rendez_vous aujourd'hui

Sata: Non pour aujourd'hui car vous avez un rendez vous avec Monsieur Lopez demain

Moi: c'est qui lui

Sata: c'est avec lui qu'on coopère la vente de l'immeuble #

Moi: Ah oui j'avais même oublié d'accord merci tu peux rentrer

Sata: D'accord et merci

Comme elle est polie bien posée juste et ponctuelle

Fatiguée de vérifier sur vérifier des dossiers et je m'ennuie tellement mais avec elle je ne m'ennuie jamais

Téléphone:

:Allooooo favoriteeee

moi: Heee tu me bouche mes oreilles Maty

Maty: kone nonou lah bayil ma coupe ( donc c'est comme ça laisse moi raccrocher)

Moi : c'est pas la peine je jouais seulement favorite

Maty: c'est mieux dh mais je voulais que aujourd'hui qu'on fasse une balade à Soumbedioune

moi: Qu'est qu'on fait là bas

Maty: Sama yaye mo may dieunde loh dieune nakh nena khamew mah louy yanw nekh ak seude (c'est ma mère qui m'envoie acheter des poissons car je ne sais pas les distinguer)

Moi : bien fait pour toi

Sata : tu y vas ou pas
dit elle avec un ton ferme

moi: j'y vais ne t'inquiète pas

Sata: ehh cassss...

Moi : ehh moi j'ai une réunion qui m'attend à la maison ok
l'arretais - je sinon elle ne vas jamais finir

Maty: donc rendez vous après la crepescule

Moi: ok bisous











Baobab

Me voilà dans la demeure des ''Mbaye''
Là où les conflits sont diverses...

: bonjour madame

moi: bonjour Modou
dis je tout court

Modou: Vous pouvez descendre je vais garer la voiture à l'intérieur

moi: c'est pas la peine

Modou: d'accord

moi: la réunion a commencé ou pas

Modou: Mon oncle n'est pas encore venu

moi: j'ai même oublié tu es qu'un simple gardien et quelque chose Modou arrête de me saouler et pour la vérité je ne te fais pas assez confiance

Je sais que je l'ai blessé et à chaque fois c'est comme ça je déteste les hommes

: TU NE NOUS SALUT PAS
crit la coepouse de ma mère qui me sort de mes pensés

: Vraiment
dis l'autre cœpouse de ma mère en l'encourengeant alors qu' elles sont des rivales mais si s'agit des enfants d'autrui elles s'encourengent entre elles et le pire elles le font avec concurrence

La première qui se nomme Ndeye Sokhna et la dernière Ndeye Fatou

moi : Bonjour
dis je en les fixant

Ndeye Sokhna: eh yaw do wathié Say beut rew gua ( eh toi baisse tes yeux impolie )
dis la première des femmes de mon père et la plus pire

Ndeye Fatou: manii demal gua weurii dieukeur sah makk yeup yogui sen keur dieukeur teh bofiii khole bah Say rakk seyii bayii lah fiii humm gathie bou reuyyyyy ( j'ai dit va te trouver un mari toutes tes grandes sœurs sont chez leurs maris et si tu regarde comme ça tes petites sœurs se marient et te laissent ici quelle honte )

moi: toi ta Ndeye Fatou ta première fille qui a trois ans de plus que moi où est elle chez sa grand mère ou pas

Ndeye Fatou: où as tu su cela

Ndeye Sokhna: Yehh domou ya seyda indii nafiiii casss ( Yehh la fille de Madame la croyante a déclanché un débat) dit elle en jibulant

Je monte dans ma chambre après cette dispute que j'ai passé avec mes tantes et c'est toujours comme ça
Je prends ma douche et aussi mon déjeuner je descends pour rejoindre ma mère dans sa chambre ou bien même dans sa petite cachette

moi: Bonjourrr maman
dis je en la faisant un câlin

Ma mère: ouiii ma fille chérie tu vas bien

moi: je vais biennn et toi tu mange ton argent dhh

ma mère: quel argent ne me fait pas pleurer

moi: ahh moi dans tous les cas je mange mon argent

ma mère: Alhamdoulilah donc
mais comment va le travail

moi: bien mais fatiguant

ma mère : fait le tout car ça en vaut la peine
La phrase qu'elle me répète toujours

moi: incha'Allah

ma mère : tu as prié ?
Me demande t_elle
moi: bien sûr
mentis_ je

ma mère : c'est comme ça mais qu'est qui se passe entre toi et tes tantes ?
Me questionne t_elle

moi: je venais de rentrer dans la maison quand tata Ndeye  Sokhna m'attaqua ''toi tu ne nous salut pas ... ''

Commençais je à la raconter du début à la fin

ma mère: je t'avais dit même si elle t'attaque ne dit rien mais ta langue ne t'appartient pas et tu n'étais pas comme ça c'est Ndeye Khady qui t'a influencée

moi : maman c'est toi qui a parlé pas moi

Mon Sauveur En Pleine Deroute Où les histoires vivent. Découvrez maintenant