Mon Sauveur En Pleine Deroute

Chapitre 12

Allons y ❤️
                            

POINT DE VUE EXTERNE

Devant son miroir ses multiples montres posées sur la coiffeuse ,il décide de porter celle qui a la couleur golde aujourd'hui
Il porte un pantalon bleu turquoise et une chemise blanc des chaussures noirâtres de couleur noir
Après avoir fini son habillement il prend le long couloir qui lui mène aux escaliers
Enfin, arrivé là où ils prennent leur repas en famille il salue ses parents avec respect

Mansour: Bonjour Maman

Ndella Koundoul: bonjour mon fils tu es élégant aujourd'hui
Taquine t-elle son fils

Mansour: Bonjour papa
dit il ignorant sa mère

Pape Amadou Gadji: bien dormi Mansour

Mansour: Alhamdoulilah
Dit il se servant du café

Ndella koundoul : Mansour pourquoi tu n'as pas pitié de moi

Pape Amadou Gadji: Ndella tu as quoi.....tu pars déjà
dit il à son fils aîné  remarquant qu'il s'apprête à se lever

Mansour: oui papa à ce soir incha'Allah si ça plaît Allah

Ndella koundoul: je vais avoir des dépressions dûes à la solitude
Se clame t-elle les mains sur la tête

Mansour: maman si tu veux je peux engager une aide ménagère
dit il prenant ses clés

Ndella koundoul: Mansour douma sah morome bagua may kinkanetoo ( Mansour je ne suis pas ton égale )

Pape Amadou Gadji: ne prend aucune aide ménagère car Awa peut tout faire elle est une fille mais pas une gamine de sept ans

Ndella Koundoul: Yako yakk ( c'est toi qui l'a gâtée)

Mansour: bonne journée que la protection d'Allah azzawajal soit sur vous.........................

Au milieu de la route il décide d'appeler son ami  William Lopez

Appel téléphonique:

Mansour: Allô

William: boye ça fait un bail 

Mansour: ces temps ci je suis un peu occupé et ma mère qui me fatigue avec le mot mariage

William: j'espère que votre collaboration avec Mademoiselle Mbaye est stable

Mansour: oui c'est stable merci de m'avoir cédé ta place

William: je suis même un peu jaloux car c'est une très grande collaboratrice et très digne

Mansour: oui quand j'ai choisi les pourcentages elle était tétanisée

William: parle moi des pourcentages

Mansour: après car là j'aperçois des policiers

William: d'accord après on se voit chez toi .....................................

Arrivée , dans l'entreprise soit disant 'familiale' elle salue ses collègues , les femmes ménagères tous ; elle entre dans son bureau décoré par elle même avec la couleur violet
Après un instant de vérification des dossiers son assistante l'interrompe