Ma raison de vivre

Chapitre 6

T/p était toujours figé, Chuuya la poussa légèrement pour descendre de la cabine de la grande roue. Le mafieux au chapeau regardas son ancien partenaire avec une rage presque folle, si il y n'y avait pas de civils autours il l'aurait sans doute battu à mort pour avoir causé la souffrance de sa meilleurs amie.

"Bonjours à toi également Chuuya, je ne m'attendais à te voir ici"

Dazai tourna légèrement la tête vers T/p en lui souriant légèrement.

"Bonjour à toi aussi T/p comment te sent-tu depuis?

-Elle va mieux connard , elle ne pas besoin de toi pour surveillé son état de santé et surement pas grâce à toi si elle c'est rétabli.

-Chuuya....

-Laisse T/p... ce n'est rien il a raison je n'est fait que te ramener au port ce n'est pas grâce a moi, si tu va mieux.....et bien je suis heureux que tu te sentes mieux, je vais donc vous laissez"

Après avoir dis cela, le Détective se retourna faisant dos au deux mafieux et repris sa route, cachant ainsi son sourire habituel qu'il commença à perdre lorsqu'il s'éloigna d'eux laissant place à une expression plus neutre cachant toute traces de douleurs qu'il pouvait ressentir.

Tant dis que le roux commença à râler sur l'autre énergumène qui venait de les déranger, T/p quant à elle, elle le regarda partir, le poing serré sur sa poitrine, elle aussi souffrait mais pour ne pas inquiéter d'avantage Chuuya elle essaya de le cacher tant bien que mal. Chuuya la regarda ensuite avec un légers sourire triste, il plaça sa main sur son épaule pour ainsi l'attirer contre lui.

"Allez...si on continuer notre journée détente ?"

Elle se contenta de hocher la tête positivement en lui souriant. Le reste de la journée se passa dans la bonne humeurs et les rires, Chuuya fis tout pour remonter le moral de T/p ce qui avait l'air de fonctionner elle a sourie toute l'après-midi, elle avait même pris l'initiative de réclamer une crêpes, ce que Chuuya, lui offris sans hésiter. Ils s'était installer sur un banc en face du port afin d'observer, le coucher de soleil sur le port de Yokohama tout en mangeant leurs crêpes.  

"alors ? j'ai réussi ?

-Quoi donc Chuu?

-à te remonter le morale et te faire oublier l'autre maquereau au bandage, le temps d'une journée, idiote.

-Oh ça...et bien en partie oui. 

-je me disais aussi... mais rassure moi tu t'es amusé aujourd'hui? 

-Bien-sur ! tu crois vraiment que si je n'aurais pas passer une bonne journée, je t'aurais réclamer une crêpes?

-Ahah c'est vrai tu a raison, d'habitude c'est un véritable miracle que tu réclames de la nourriture.

-donc tu peux en conclure que j'ai passer une incroyable journée, merci Chuu"

il se contenta de sourire et d'attirer son amie contre lui pour lui signifier qu'elle n'avait pas besoin de le remercier qu'il avait ça naturellement. après des enchainement de discussion diverse et variés ils sont rentré au QG de la mafia, chacun rejoignis leurs chambre respectives et se souhaitèrent  une bonne nuit.

T/p partis se changer et ce mis au lit directement. Quelques minutes s'écoula, et puis encore d'autres, plus les minutes passa, plus le sommeil de T/p devenais agité et des images, lui vint, au début elles était flou mais elle apparu de plus en plus clairement et elle recommença a revoir un visage...celui de sa mère.

T/p a connu sa mère, étant enfant mais malheureusement cette femme était dépourvu d'amour maternel.
C'est étonnant que celui qui lui a accordé le plus d'amour fus Mori, a ses Yeux T/p était un trésor qu'il fallait à tout pris protéger et chérir, à vrai papa gâteau. Seulement la mère n'était pas du même avis....Elle avait toujours détester sa propre fille, depuis le jour de sa naissance, elle ne ressentait que du mépris pour sa fille.

Quand deux personnes font l'amour ensembles régulièrement, il est normal que l'oubli du préservatif ou des pilules contraceptives  soit fréquent et donc le déni de grossesse peut être une de ses conséquences si le symptômes ne se présente pas. T/p est issu de ce déni de grossesse, la mère à réaliser qu'elle était enceinte le jours même de sont accouchement. Dés ce jours la vie de T/p allez être un enfers. La santé psychologique de sa mères empira à chaque fois que T/p poussa ses cris naturel pour exprimer son besoin de se nourrir ou le gène de sa couche.

Si Mori n'avait pas su gérer son rôle de père, elle aurait pu mourir à cause du peu voir inexistence d'attention que lui accordé sa mère qui résisté de plus en plus à ce montré violente avec T/p à cause de la haine qu'elle éprouvé envers celle-ci, mais fut une nuit ou elle ne c'est pas retenu.

(AVERTISSEMENT: cette scène n'est pour les âmes sensibles!):

Dans son cauchemars, T/p revis cette fameuse nuit qui fus à l'origine de sous ses traumatisme.

Elle était âgée de 8 ans, elle dormait paisiblement lorsqu'elle sentit une violente douleur sur son poignet et son ventre, lorsqu'elle se réveilla elle vu sa mère la scarifié avec un couteau de cuisine, elle voulait hurlé mais sa "mère" l'empêcha d'hurler  en la bâillonnant. 

"Oh ni pense même pas, sa fait maintenant huit ans que tu me casses les tympans avec tes hurlement, maintenant tu fermes ta putain de gueules."

Cette femme ce mis à rire de manières psychotiques, le plaisirs qu'elle ressentez de torturer son propre enfant ce lis très clairement  sur son visage.

"enfin je vais pouvoir me débarrasser de toi , je vais passé ta mort pour un suicide, ainsi je vais retrouver ma vie et profité de cette idiote de Mori et de son argent, c'est dingue le frique qu'on gagne à la mafia, Il me suffit simplement de lui faire les yeux doux et d'écarter les jambes pour qu'il me prenne pour acquise, tu apprendras les hommes sont aveugles et si manipulables si tu a les atouts......Ah ! j'oubliai tu pourra pas car tu va mourir"

Elle se mis à rire, c'était rire malsain remplie de démence, elle avait totalement perdu la tête. T/p pleura à chaude larmes, elle voulait hurlé au secours, hurlé a quel point elle souffrait de la scarification que lui faisait subir sa "mère". Plus les minutes passa, plus T/p sentis ses forces l'abandonner, au moment ou elle cru s'évanouir, elle ressenti une sorte de chaleurs sur son visages. Elle écarquilla les yeux en réalisant que c'était le sang de sa "mère" qui giclait sur son visage, celle-ci même qui tomba au sol, deux scalpel planté dans la jugulaires. 

Mori, son père l'avait sauvé. Il lui enleva le bâillon qui l'empêcha de parler et la pris dans ses bras.

" oh ma douce enfant qu'es que cette garce a osé te faire..."

Sur ses mots T/p se réveilla en sursaut de son cauchemars, elle trembla énormément, une crise d'angoisse des plus violente commença de plus belles, elle enleva les bandages sans aucune délicatesse, qui couvrait ses cicatrice de cette fameuse une nuit ou elle a failli être tuer par sa "mère" et les grattas à sang.

En espérant les faire disparaitre...