Les chroniques de Arthur 2

Le prix du pardon

"L'amour d'une mère pour son enfant ne connaît ni loi, ni pitié, ni limite. Il pourrait anéantir impitoyablement tout ce qui se trouve en travers de son chemin.". Agatha Christie.

Ma mère nous a tellement aimé, elle se trouvait parfois à laisser le boulot pour venir nous border ou même juste pour un câlin. C'est au vue de ce genre de choses, l'on comprend ce que peut-être un bon parents. Mais néanmoins, ce n'est parceque l'on agit d'une telle manière que l'on est un bon parents. Parfois l'on se convain que la somme de nos actions aussi bonnes soit-elles font le bonheur de nos enfants... et en accumulant la rencoeur chez son enfant, son pardon est difficile à regagner.

——————————————————

L'assaut se passait comme prévu, tout avait fonctionné comme l'avait imaginé Moya... ça, jusqu'à l'arrivée de Maria Joselu qui changea tous les plans. À elle seule, elle réussit à mettre à mal toute l'équipe.

Elle avait pulvérisée en un coup de rocket, l'hélicoptère où était Liliane, par la suite elle a envoyée une autre rocket sur Stella.

Elle s'occupa également, des deux jumelles Ryan's. Elle réussit assez facilement à se débarrasser de Sacha, l'envoyant un coup de pied en plein dans la mâchoire, et passa à deux doigts de se faire surprendre par Naomi, qui était très engagée.

Naomi avait observée une ouverture dans le dos de Maria, et en profita pour la sauter dessus... mais elle fut brutalement surprise par une Maria trop sur ces gardes. Maria réussit à anticiper les pensées de Naomi et s'était mise en position, pour accueillir son adversaire.

Maria se projeta légèrement vers l'arrière et pointa son étui à guitare vers Naomi, qui était déjà élancée. La surprise de Naomi venait de se retourner contre elle, car c'était maintenant elle, qui se faisait surprendre.

Bien évidemment, dans une bataille à mort, épargner son adversaire n'est absolument pas toléré ; Maria n'hésita pas à mitrailler sa cible, qui fut preuve d'une incroyable agilité.

Naomi exécuta rapidement un saltos avant, évitant la mitraillette de balles. À l'atterrissage, elle voulut le faire sur Maria qui se protégea avec son étui, ce qui emporta celle-ci au loin.

En se relevant, Naomi désarma Maria, en envoyant son étui au loin.

Naomi : On a perdu son joujou ? Maintenant, faut te battre comme une véritable femme...

Maria déboutonna ses manchettes et les remonta, un coup par si et par là pour enlever la poussière prise dans sa chute. Puis elle tendit la paume de sa main vers Naomi, la faisant comprendre qu'elle pouvait se ramener.

Naomi : Tu sais, que ce n'est pas bien de sous-estimer son adversaire ?
Maria : La vierge prie pour moi, afin que le seigneur m'offre la force de triompher de mes ennemis... comparer à la toute puissance de Dieu, vous n'êtes qu'une formalité.

Folle de rage en l'entente de ces mots, Naomi se jetta sur Maria. Naomi envoya successivement des directs du droit et des coups de pied retournés. Mais Maria contrait et esquivait habilement les coups ; puis Naomi recommença encore une série et une autre.

Naomi lui fit une remarque sur sa façon de bouger et ou de se battre, mais la majordome semblait n'avoir rien à dire.

Alors cela énerva encore plus Naomi, ce qui l'emmena à recommencer, mais cette fois-ci, Naomi enchaîna avec la ruse. Elle utilisa son jeu de jambes pour déstabiliser et faire chuter Maria, mais celle-ci comprise de nouveau l'essentiel des gestes de Naomi.

Au coup de poing de Naomi, elle bloqua son bras, l'envoya un coup de coude dans l'abdomen, un autre dans la gorge. Naomi se recula en agonisant, face à la majordome.