Chapitre 142

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Le lendemain matin...

Je me suis encore endormi sur ma chaise moi !

Je m'étire puis me frotte les yeux.

Mon père a emmené les enfants à l'école, j'étais trop crevé pour le faire.

Je regarde Ella puis souris en voyant qu'elle arrive à reprendre des forces, elle a l'air apaisée.

Je lui caresse la joue puis retire immédiatement ma main.

Sa peau est froide.
J'écarquille mes yeux...

Une sueur froide coule sur mon front, ma gorge se noue, les larmes me montent. Non, non non non! NON!

Je sors et hurle « À L'AIDE !»

Personne dans la rue.

Je panique, j'ai les nerfs, je réalise à peine !

Je cours dans la maison et tente un massage cardiaque sur Ella

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Je cours dans la maison et tente un massage cardiaque sur Ella.

- ALLEZ ! ALLEZ ! ELLA PUTAIN! PUTAIN ME FAIT PAS ÇA ! ELLA ! Dis-je en hurlant de tristesse.

Mon coeur se serre quand je comprends qu'il est trop tard, je recule, tombe au sol et pleurs.

Je ne cesse de me répéter que c'est un cauchemar

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Je ne cesse de me répéter que c'est un cauchemar. Jamais je n'ai autant souffert de toute ma vie. C'est encore plus soudain et plus traumatisant que le décès de ma maman...

Je passe de nombreuses minutes à hurler, à évacuer ma peine de plusieurs façons.

Puis sans que je comprenne, je me stoppe, je m'assois à côté d'elle puis la regarde. Je réalise que c'est fini... hier c'était ses aurevoirs

 hier c'était ses aurevoirs

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I Always choose you.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant