𝐉𝐮𝐬𝐭 𝐎𝐧𝐞 𝐍𝐢𝐠𝐡𝐭ꨄ︎ʲⁱᵏᵒᵒᵏ

𝑅𝑎𝑝𝑝𝑟𝑜𝑐ℎ𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡❦︎

Il est 22h lorsque je pose enfin mes sacs de courses sur le bar de ma cuisine. Mon dos me fait souffrir, dans ma tête seul le bruit d'un tambour résonne. La journée n'a pas était tendre avec moi, j'ai dû accompagné Jungkook à des rendez-vous professionnels, réglé certains et en plus de cela j'ai dû me coltiner le travaille de Byun Baekyun mon collègue qui est tombé malade. Normalement il doit revenir demain, pour mon plus grand bonheur car je n'ai aucunement envie de me taper  tout son travaille. Lorsque mon dos touche enfin la surface moelleuse du sofa, un sentiment de bien être inexpliqué s'empare de mon être tout entier. Je suis tellement épuisé et pourtant il faut bien que j'aille préparer de quoi me nourrir ne serait ce que pour cette vie qui pousse en moi.

Avec toute la volonté du monde je retire ma chemise pour l'a remplacé par un gros t-shirt et mon pantalon par un jogging. Dans la cuisine je me fait bouillir de l'eau pour préparer des nouilles instantanée. Ce n'est pas très sain mais on fait avec. Une fois mon diner prêt je m'installe devant la télé pour regarder une émission ridiculement ennuyante en mangeant. Mon repas englouti, je prend l'initiative de sortir ma poubelle pour m'éviter de le faire le lendemain. En soupirant face à cette tâche plus que déplaisante, je quitte l'appartement pour finalement arriver dehors devant la grand bâtisse qui me sert d'habitat. La rue est calme, sans voiture ni passant. Certaines fenêtres sont illuminé signe que les locataires sont toujours debout. D'un pas lent, je me dirige vers la grosse benne à ordure non loin de là. M'apprêtant à quitter les lieux, une main froide me saisis avec fermeté le bras. Je me retourne alors vivement et tombe sur une silhouette masquée habillé d'un sweat noir, la capuche remonté sur son crâne.

- Euh... ont se connait..? Fis je incertains.

?? : Non mon jolie mais je connait la petite traîner que tu es... Ça fait quoi d'être la p*te personnel de monsieur Jeon ?

Paralysé, je ne sais quoi dire. Ce qui est sûr c'est que cette personne ne fait pas partie de mon entourage. J'essaye de lui prendre mon bras mais elle s'obstine à le retenir en serrant de plus en plus. Cette voix... Ce n'est pas un homme mais un femme. 

- Lâchez moi !

Sans crier gare elle me pousse violemment au sol, propageant une douleurs lancinante dans mon dos, puis se met à califourchon sur mes cuisses. Je ne peux pas distinguer son visage car il est recouverts d'un tissu noir qui se fond dans la couleur de la capuche. Tremblant d'effroi, mon agresseur tend une main  sur mon t-shirt et se met à appuyer légèrement sur mon ventre arrondi. Ce simple contact suffit à faire frissonner chaque cellules apeurés de mon corps. Des sueurs froides coulent le long de mes tempes tant la peur se fait présente. Mais qu'est ce qu'elle me veut ? 

?? : Alors comme ça tu es enceinte... 

- Je vous en prie... L-laissez moi...

Ma voix tremble. La femme remonte sa main, la faisant parcourir mon torse enflé jusqu'à atteindre mon visage qu'elle saisit entre ses doigts froid. 

?? : Quelle jolie minois. J'ai presque envie de te faire mal. Rétorque-t-elle en bougeant ma tête de chaque côté.

Son autre main autrefois immobile sortit de l'ombre avec un poignard. Mes yeux quittèrent presque leurs orbites face à cela. Je ne vais quand même pas mourir sur ce trottoir...Si ? L'envie de crier me prend tout à coup mais semblant l'avoir remarqué elle me fit signe de ne pas le faire car elle n'hésiterait pas sinon. Et dire que demain on va retrouver mon cadavre ensanglanté ici même... Je vois déjà les articles portant sur un jeune homme de 25 ans retrouvé mort devant un immeuble luxueux.

Acceptant alors mon triste destin, je ferme les yeux. La lame froide caresse tout d'abord ma joue mouillés par mes larmes puis une douleurs légère la traversa. Je devine donc une petite coulé de sang sur ma joue droite alors que mon bourreau ricane sinistrement. Toujours apeuré j'attend le moment finale où elle va me transpercé la poitrine mais rien de tel n'arriva. Je sentit la masse humaine quitté mes cuisses. J'ouvre les yeux pour la voir me fixé. Ses yeux démontre une certaine malice.