Que ce passerait-il s'il on apprenait qu'une hybride se trouvait au sein de la grande famille des Volturi ?
Est-ce que cela aurait une répercussion sur les décisions des Volturi ?
Les personnage et l'univers de twilight ne m'appartient pas de même...
Plongé dans un vieil ouvrage, je distingue les coups donnés sur ma porte. Après invitation, je découvre mon ami Nik.
- Votre entretient s'est terminé ?
- Non, ils sont toujours là, en compagnie de ton père
- Qu'ont-ils fait de mal pour mériter un tel châtiment !?! les plaignais-je. Dis-moi tout ce cirque est-il en lien avec tes manigances de ce matin ?
- Peut-être, me répond-t-il ce donnant un air mystérieux, et je ne les ai pas tous laissé là-bas, je t'en ai ramené un qui avait hâte de te voir
Intrigué, je ne peux demander plus qu'il sort de ma chambre afin de laisser cet étranger entrer.
Je ne peux y croire, dites-moi que j'hallucine et que je vais me réveiller. Même dans mes rêves les plus fou je n'aurais pu l'imaginer mieux. Embry là, face à moi, quelque mètre nous sépare, fait de chair et de os. Je ne sais que ressentir. Dois-je être émue et apaisée de voir cette chimère ? Ou bien satisfaire et complète de l'avoir retrouvé ? Des larmes glissent sur mes joues tant les émotions me submergent tel un raz de marée qui englouti tous sur son passage. Je me lève et faisant quelque pas afin de le rejoindre mais mes jambes n'arrive pas me supporter. Me voyant déjà toucher le sol mais étonnamment cela ne fut le cas. Des bras s'enroulent autour de mes hanches et me ramène à lui.
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Dans ces bras, je sens sa tête se nicher dans mon épaule, le soulagement de s'être enfin retrouvé. Il me murmure :
- Je suis là, je n'ai pas l'intension de te quitter
M'éloignant de lui, plongeant mes yeux inondés de larmes dans les siens tout aussi humide. Ne pouvant plus, ayant se besoin irrépressible, nos lèvres se retrouvent pour donner une danse enivrante.
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Le sentiment d'être enfin complète, de bien être s'immisce en moi. Assez vite se baiser devient plus charnelle, Embry me porte et m'amène à mon lit. Me surplombant de toute part, je me laisse aller à cette sensation nouvelle. Néanmoins mon partenaire en décide autrement et s'éloigne rapidement de moi. Perdu et blessé par son geste, je me redresse. Il semble stressé, inquiet.
- Il faut que je t'avoue quelque chose avant et je veux que tu sache que mon amour pour toi est vrai, débite-il d'une traite
A-t-il rencontré une autre fille depuis mon départ ? Cette idée m'affecte considérablement. Mais que dois-je dire ? Je lui avais demandé de refaire sa vie mais aussi rapidement ! Voyant mon trouble, il continue :
- Je ne t'aime pas, afin pas comme tu le penses, lance-t-il
Qu'essaie-t-il de faire ? De m'achever ?
- C'est tellement difficile à t'expliquer, reprit-il difficilement, ça n'a rien à voir avec un coup de foudre, ça ressemble plus à la gravité. Lorsque tu vois ton âme sœur, c'est comme si, tout à coup, tu ne dépendais plus de l'attraction terrestre mais de celle qu'elle exerce sur toi. Plus rien ne compte, sauf elle. Tu ferais n'importe quoi pour elle, tu deviendrais n'importe qui. Tu te transformes en celui qu'elle veut, protecteur, amant, ami ou frère.
Il fait une pause pour reprendre de l'air.
- Je me suis imprégné de toi
- Je suis ton imprégné ? lui demande-je confirmation
- Oui tu l'es, m'assure-t-il avec un sourire soulagé, dès que j'ai plongé mes yeux dans les tiens j'ai su que le ciel m'avait donné pour âme sœur la plus belle des créatures que l'univers puisse créer
Son aveu a le mérite de me faire rougir. Une partie de moi le savait et l'a toujours su.
- Tu ne pouvais savoir combien il était difficile de te savoir ici parmi tous ses vampires qui étaient susceptible de te tourner autour, grogne-t-il
- Ne serais-tu pas un chouia jaloux ? le taquine-je
- Tu es mienne et je suis tiens, rétorque-t-il
- Si cela peut te rassurer, lui dis-je en m'approchant de ces lèvres, il n'y a qu'un homme pour qui mon cœur bat et cet homme s'est toi, Embry
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Incapable de résister à la tension qui s'installe, il rompt la distance. Ce baiser insuffle l'amour que l'on a l'un pour l'autre. A bout de souffle, on s'éloigne et lui dis :
- Non pas que j'ai envie de rester là avec toi mais si on veut que je rentre avec toi, il va falloir que l'on parle à mon père
Allons voir beau-papa, me répond-t-il peu enthousiasme.
