Chapitre 26

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On se détend enfin dans la chambre d'hôtel après une journée spéciale, Glenn n'a pas eu le bon rôle aujourd'hui alors que c'est grâce à lui que ma sœur remarche normalement. Ruby le verra comme un homme froid sans scrupule un bon moment. Ma grand-mère l'adore, quand je suis revenu les voir elle lui parlait de mes exploits étant petite. On venait souvent la voir avant le divorce de nos parents et à chaque fois un sourire apparaît sur son visage comme si on faisait quelque chose d'exceptionnel. Parfois j'aimerais la voir plus souvent mais elle n'habite pas tout près ce qui nécessite de planifier à l'avance et de ne pas la voir sur un coup de tête. Avant de partir elle m'a donné son collier, celui que je voulais sans arrêt porter quand j'étais enfant, le pendentif est en or avec un saphir en forme de goutte d'eau. Glenn finit par sortir de la salle de bain en short tandis que je contemple ce collier

-Tu ne le quittes plus depuis qu'elle te l'a offert remarqua-t-il en venant vers moi

-Il a une valeur inestimable

-Laquelle si ce n'est pas indiscret demanda-t-il en venant à côté de moi

-C'est l'une des seules choses qu'elle a gardé de sa mère

-Elle n'a pas arrêté de me dire de te traiter correctement pourquoi ?

-Mon grand-père était violent et alcoolique comme mon père mais contrairement à ma mère elle n'a rien dit, a accepter chaque coup, remarque sans rien dire en attendant que ça passe expliquais-je elle pleurait mais continuer de l'aimer même quand il était ignoble avec elle, même le jour de son enterrement elle lui a dit qu'elle l'aimait alors qu'elle était malheureuse avec lui

-Malgré son côté violent elle devait être heureuse avec lui

-Après l'enterrement un sourire qu'on ne lui connaissait pas est apparu sur son visage comme si un poids quittait ces épaules

-Je ne serais pas comme eux dit-il en s'approchant de moi

-Je sais

Soudain il prend le collier de mes mains puis le passe autour de mon cou puis le ferme, je porte enfin le collier de mon arrière grand-mère, un bijoux qui se transmet de génération en génération. Ma mère ne l'a pas reçu car elle avait peur que mon père le casse dans un excès de colère.

-Tu es encore plus belle comme ça

-Merci

-Arrête de te tracasser pour ce qui s'est passé me rassura-t-il

-Mais ma sœur a été horrible

-A ces yeux je reste celui qui lui a enlevé sa sœur

-Je veux changer ça répondis-je en le regardant

-Pour l'instant tu vas changer de tenue

Je me lève résigner à ne plus penser à tout ça pour ce soir juste profiter de mon fiancé qui a été plutôt compréhensif aujourd'hui. Une fois dans la salle de bain je veux commencer à me déshabiller quand je me rends compte que j'ai laissé mon pyjama dans la valise.

-Glenn tu peux me ramener mon pyjama ?

-Viens le chercher répondit-il pour me taquiner

Voyant qu'il a envie de jouer je sors de la pièce en ayant juste enlever mon jeans, il ne me quitte pas des yeux. Une fois à ma valise je commence à enlever le reste.

-Reste comme ça la vue me plaît

-Vraiment?demandais-je en me retournant en petite tenue

-Oui

-La vue te plaît ou tu as envie ?

-Les deux

Une tension sensuelle naît réveillant en moi quelque chose, comme si j'avais envie de jouer avec lui mais qu'il me fasse du bien en même temps. Assis au bord du lit il me regard tel un animal. Ma grand-mère ne me l'a pas offert pour ça mais je prends le pot de pâte à tartiner en main. Arrivé devant lui je le pose sur le lit tandis que je m'agenouille devant lui, mes mains descendent son short ainsi que son boxer. Ma main gauche attrape le pot que j'ouvre puis étale sur son engin déjà bien dur. Pour plus de précaution je le pose sur la table de chevet puis commence à lécher sa verge qui a l'air encore plus délicieuse comme ça. Ma langue la parcourt tandis que je m'aide de ma main pour lui donner encore plus de plaisir. Quand je relève la tête l'envie de me prendre se lit sur son visage. Je l'embrasse furtivement.

-Qu'est-ce que tu as envie de me faire ce soir?demandais-je en le regardant

-Pleins de choses

-Comme quoi ?

-Tu ne seras peut-être pas d'accord

-Après la soubrette tu peux y aller

Sans me répondre il dégrafe mon soutien-gorge puis m'indique de m'allonger sur le lit tandis qu'il cherche quelque chose dans sa valise, au bout de quelques minutes il sort des menottes. Il me chevauche puis délicatement enfile l'objet à mes mains, à sa merci il m'est impossible de bouger. Les menottes sont fixés dans la tête de lit qui a comme des barreaux.

-Tu es à ma merci

Je sens son visage près du mien puis doucement il se dirige vers ma poitrine où il prend en bouche un de mes tétons. Sa main s'occupe de l'autre téton en le titillant. Il va me rendre folle de plaisir. Après s'être attardé sur chacun il ballade sa bouche sur mon corps jusqu'à arrivé à mon intimité où il me regarde de manière perverse. Dans un premier temps il insère un doigt en moi puis rapidement deux ce qui me fait lâcher de manière involontaire un gémissement. Si au début il était lent son rythme augmente tandis qu'avec un autre doigt il touche mon clitoris. Je gémis de plus en plus ce qui le satisfait.

-Tu crie déjà alors que je ne suis même pas encore dedans

-Glenn répondis-je haletante

Comme si je n'étais déjà pas assez mouillé il enlève ma culotte puis s'attaque à mon intimité avec sa langue me rendant encore un peu folle de lui, j'ai envie de le toucher, de passer ma main dans ces cheveux quand il me touche comme ça. De l'embrasser avec la langue tout en sentant sa verge bien dur au fond de mon intimité. De voir la satisfaction dans son regard alors que je suis en train de prendre mon pied. Ces menottes ne me dérangeaient pas au début mais maintenant c'est un calvaire. Je ne rêve que d'une chose le toucher mais je ne peux pas. C'est frustrant. Doucement il remonte à la hauteur de mon visage pour voir le désir dans mes yeux.

-Je pourrais te pénétrer autant que je veux tellement tu es mouillée

-Alors fais le

-C'est plutôt moi qui donne les ordres je te rappelle que tu es à ma merci

-Glenn

-Dit moi ce que tu veux

-Toi je te veux toi

-Ce n'est pas ce que je fais déjà?demanda-t-il en embrassant mon cou

-Pas comme ça

-Alors comment ?

-Je veux sentir ta verge en moi

Il m'embrasse furtivement tandis qu'il libère une de mes mains, sans me faire prier je le touche. Soudain il rentre en moi n'arrivant plus à tenir. C'est si bon. Ces coups de reins sont intenses mais c'est ce que je veux. Une boule de désir qui peut enfin se libérer contre la raison de son état. Ma frustration disparaît au fur et à mesure que je sens sa verge au fond de mon intimité. Soudain il finit en moi.

-Ne me proposes plus jamais ça

-Pourquoi ?

-Je ferais tout pour te voir pleine de désir pour moi

-C'est un de tes fantasmes ?

-Oui mais la prochaine fois on fera l'un des tiens 

Des dettes en cadeauxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant