2 - Les mains - 𝖼𝗈𝗋𝗋𝗂𝗀𝖾́

65 2 9
                                    

The walls - Chase Atlantic

𝐜𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝟐 - 𝐚𝐫𝐢𝐚

Nous étions installées dans la boîte de nuit, au bar nous demandons une Vodka fraise pour Sia et un vert de Mojito pour moi. Sia me proposait d'aller nous déhancher sur la piste de danse, ce que j'acceptais. Cette majestueuse boîte de nuit est spacieuse et luxueuse, elle sent l'argents à des kilomètres. Il y avait plusieurs parties dans cette boîte.

Le premier : Les VIP, le coins le plus convoité par les plus fortunés des Barcelonais. Le deuxième : Un coins plutôt tranquille où se rejoignent les Bisexuels, Gays, Lesbiennes ou autre. La troisième : Un balcon ou deals et fument les junkies, etc. Et pour finir : La partie dédiée à tous un tas de types venues draguer, boires ou simplement fumés.

Nous, nous sommes dans le carré des VIP, il y avait du monde, mais moins que sur la piste de danse commune.
Je me mettais à danser avec Anastasia, me trémoussant.

Je fermais les yeux un instant pour profiter pleinement du moment d'extase qui s'était emparé de moi. Quand je rouvrais les yeux et regardais droit devant moi, mon regard s'accrochais des iris que je ne connaissais que trop bien.

Ils étaient d'une beauté exceptionnelle, je ne pouvais arrêter de les contempler encore et encore.
Ce sont les yeux Hazel, comment est-il humainement possible de ne pas être hypnotisé par des yeux telle que les siens ? Je les observais jusqu'à ce que je sente des mains m'enlaçaient, me caressaient et un souffle chaud s'abattait dans ma nuque. Je tournais légèrement la tête en pensant trouver Sia qui dansait avec moi. Mais non, une personne qui m'étaient inconnue étaient coller à moi.
Touchant mon corps comme s'il lui appartenait. Tout me revenais.

Cette soirée où tout avait basculé dans ma vie.

Mon souffle s'accélérais j'étais tétanisé, incapable de bouger ou même de parler. Je n'arrivais plus à respirer non plus. Ces mains inconnues ne quittaient pas mon corps
tout devenaient noir.

5 mois plus tôt

- Bonne nuit Sia, fait attention quand tu rentres, il est tard ! lui lançais-je avant de lui faire un bisous sur la tempe.

- Bonne nuit trésor, j'espère que tu ne passeras pas t'as nuit à vomir tout l'alcool que tu as ingéré. Se moquait-elle avant de s'éloigner.

Je me mettais à marcher pour retourner à mon appartement. Insistant, un homme de la quarantaine se rapprochais de plus en plus de moi, finissant par mettre son bras autour de ma taille.

J'essayais de m'écarter mais il ne me lâchais pas, il plaquais sa main sur ma bouche et me tirait avec lui dans une petite ruelle sombre. Ma respiration s'accélérait quand mon dos heurta un mur bétonné.

Il collait son corps sur le miens tout en continuant de toucher mon corps. Il empestait l'alcool. Je me débâtais, mais ses mains sur mes poignets étaient bien plus forte. Il enlevait, ou bien déchirait mon haut, laissant apparaître mon soutiens gorge. Non rassasier, il s'attaquait à ma jupe, j'essayais une nouvelle fois de me débattre de toutes mes forces. Mais que pouvait faire une jeune femme de vingt-trois ans qui ne fait même pas quarante-cinq kilos contre un homme qui a l'air d'en avoir quarante et qui dois faire quatre-vingt-dix kilos. Je n'arrivais pas à me défaire de son emprise. Des larmes silencieuses m'échappaient.

Il déchirait ma jupe, me laissant en sous-vêtements. Ses mains répugnantes sur mon corps me provoquaient des spasmes. Il léchait et sursautait la peau de mon cou. Je lui donnais t'en bien que mal des coups de genoux, sans succès. L'inconnu me dévêtait de mes sous-vêtements, me laissant nue devant lui. Ses yeux me considérait impudemment alors que je pleurais.

Il me forçais à lui faire une fellation et touchait mon intimité. Mes pleures dédoublaient, je tentais de hurler à l'aide, mais rien ne sort de ma bouche. J'étais tellement tétanisé de ce qu'il se passait que je m'évanouie.

Q𝗎𝖾𝗅𝗊𝗎𝖾𝗌 𝗁𝖾𝗎𝗋𝖾𝗌 𝗉𝗅𝗎𝗌 𝗍𝖺𝗋𝖽

Je me réveillais dans cette ruelle sombre, j'ouvrais difficilement et remarquais que j'étais totalement nue. Je regroupais mes vêtements, essayant de remettre mes habits déchirés. Je les enfilais avec énormément de difficulté, j'étais très mal en point. L'arrière de mon crâne me lançait et mes membres étaient faibles. Je me levaient en me tenant aux murs pour tenir debout, marchant dans l'obscurité pour rentrer le plus vite possible chez moi.

Arriver chez moi, je m'effondrais en larmes. Pourquoi cela devait m'arriver à moi ? Je n'arrivais pas à m'arrêter de pleurer. Je pleurais tellement que je n'arrivais plus à respirer.

Trou noir

30minutes plus tard – Anastasia

- Aria ! L'appelais-je, sans réponse.

La porte étaient fermée, mais je savais qu'elle est toujours chez elle.

- Aria ouvre cette porte !!

Après plusieurs minutes rien,
peut être qu'elle dort ? Non, elle se serait réveillé lorsque je l'ai appelé. Je me rappelais du double des clefs qu'elle m'avait donner lorsqu'elle a emménagée ici. J'ouvrais la porte et me sentais instantanément panique.

Elle était sur le sol, le visage trempé de larmes, habillé comme la vieille, toujours maquillée.
Il s'était passait quelque chose, mais quoi ?

- ARIA RÉVEILLE TOI !! Aria..

Je la secouais mais rien. Je prenais son pouls, il est faible. Je sortais mon téléphone et appelais les urgences.

Quelques temps après, il arrivèrent et la prisent en charge.

Les urgences - Aria

J'ouvrais avec difficulté les paupières, j'étais aveugle par une lumière blanche. La première chose que je vu en ouvrant les yeux c'était Sia. Elle était au bord du lit d'hôpital entrain de dormir, sa main enlacée avec la mienne

- Sia ? Demandais-je.

Elle se mettait à gesticuler et ouvrait les yeux. Elle m'enlaçait subitement, de toutes ses forces

- Aria ! Pleurait-elle dans mes bras, j'ai tellement eu peur !!

- Qu'est-ce qui s'est passé , qu'est-ce que je fais là ?

- Je suis arrivée chez toi pour te parler et tu ne répondais pas, je suis entrée et je t'ai vu, allonge sur le sol, le visage pleins de larmes, ton pouls était bas. On ne sait pas ce qui t'ai arrivé.

présent – aria

Je sentais mon corps tombé sur le sol froid de la boîte de nuit, et j'entendais Sia crier, que disait-elle ? Je ne comprends pas, tous mes sens me trompaient, j'arrivais à sentir mon corps être porté. Après ça ? rien.

1 heure plus tard – aria

Je me retrouvais de nouveau à l'hôpital, accompagné d'Anastasia. Je ne comprenais pas ce qu'il c'était passé.
J'avais un mal de tête insoutenable, et je voyais flou.

- Trésor ! Tu vas bien ?! S'impatientait Sia. J'étais incapable de répondre je n'entendais que très peu.
Les seules choses auxquelles je pensais : Mon mal de tête
et ses mains sur mon corps

The rescue of a lost soul Où les histoires vivent. Découvrez maintenant