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𝐜𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝟏𝟐 - 𝐀𝐫𝐢𝐚

Je me réveille toute transpirante, le souffle cour. Mes habits me collent à la peau, ma peau est luisante, mes cheveux sont humides et tout emmêlé, mes mains sont moites, et mes draps collent à ma peau.
J'ai chaud, je suis pas bien j'ai soif comme si je n'avais pas bu depuis des jours et des jours.
Je me lève de mon lis et j'enfile mes claquettes pour aller boire le plus grand verre d'eau que je n'ai jamais bu mais je croise Kace.
What ?
Qu'est-ce qu'il fait la ?
Il se tient devant moi, il me relook et hausse les sourcils.
- Qu'est-ce que tu fais chez moi à cet heure ci ?
- Anastasia m'a envoyé un message, elle était inquiète, se contente t'il de me répondre.
- Puis-je savoir pourquoi ?
- Tu le sais mieux que moi Aria.
- Tu peux me laisser passer s'il te plaît ? Je lui demande en croisant les bras autour de ma poitrine.
Il se tient devant ma porte me laissant aucune possibilité de sortir de ma chambre.
- Non, Répond t'il simplement.
- Bon Kace j'ai pas ton temps. Sort de la. Dis-je en haussant le ton.
- C'est osé sachant qu'il est 15heures et que tu viens à peine de te réveiller déesse.
Déesse ? mais je rêve.
- Je sais pas ce que tu veux Kace mais laisse moi au moins prendre une douche s'il te plaît.
- Ok mais après on doit parler.
« On doit parler »

Kace

Aria va ce laver en attendant je vais lui faire des œufs brouillés. Un repas simple et efficace. Je repense à elle quand elle était toute transpirante, elle a dormi quasiment une journée. Elle ne cessait pas de crier de ce débattre. Il était impossible de la réveiller. Elle avait de la fièvre.
Et pour probablement la première fois j'ai eu peur.
peur pour elle.

Je continue à cuisiner mes œufs brouillés lorsque j'entends l'eau s'arrêter de couler.
Je dispose les œufs brouillés dans deux assiettes avec une belle présentation, et je les mets sur la table en marbre au centre du salon qui se situe en face du couloir de la salle de bain.
Assis à la table je regarde les tableaux pour la millième fois de la journée. Oui je n'ai pas quitté cet maison depuis 4h du matin. Sa maison est organisée, propre, elle sent le jasmin à plané. 
Je regarde les notifications que j'ai reçu sur mon téléphone et lorsque je relève les yeux de mon téléphone je la vois sortir de la salle de bains, enroulé dans une serviette blanche nouée vers sa poitrine.

Elle est une divinité tombé du ciel.

Je remarque que je la détaille un peux
trop alors je détourne les yeux d'elle. Heureusement elle ne m'a pas surpris dans ma contemplation. 
Elle avance jusqu'à sa chambre et en ressort vêtu d'un top gris clair à manche courte, avec un jean gris taille basse et elle a mis des campus beige clair.
Elle vient s'assoir en face de moi.
Nous nous regardons sans un mot pendant des minutes et des minutes, je décide enfin de brisé le silence.

The rescue of a lost soul Où les histoires vivent. Découvrez maintenant