Une bataille

Chapitre 3 La bataille n'est pas finie

Aout 1947

Le Général Marc Arthur tenait en ses mains les clichés de ce jour ou ses marines avait prit le mont. Ils avaient fait le tour du monde montrant à celui-ci la réussite de son opération. Pourtant peu savaient ce qui s'entait ensuivit... Et ce que les hommes avaient endurés...

2 Mars 1945

Les soldats américains avançaient en bordure d'une jungle tropicale humide et chaude. Non loin ils entendaient le bruit rassurant des chenilles. Leur flanc droit était protégé par les blindés et à gauche il y avait la jungle.

James et Michael discutait avec d'autre soldat.

- Ce n'est pas une vie ! Après le volcan nous voilà a patauger dans la fange. Voilà plusieurs jours que l'on se bat pour les aérodromes, le premier le 22, le deuxième le 25...

- Heureusement que nous avons notre artillerie qui les pilonne.

Les hommes étaient mécontents et inquiet. Il n'y avait aucun endroit véritablement sécurisé sur cette ile, embuscade et piège s'enchainaient, et puis les patrouille japonaise pouvaient surgir de n'importe où.

Et à tout moment.

Le Sherman à leur droite sauta.

L'explosion retentit et la tourelle du char fut projetée dans les airs.

- Mine ! A couvert !

James se cola contre l'épave du véhicule pour se protéger. Les hommes se couchèrent au sol.

Michael fit signe aux autres de reculer et rejoindre l'arrière de la colonne.

- Négatif monsieur, ordre du général Holand Smith, nous devons absolument prendre l'aérodrome, pas de retraite.

Une motte de terre fut soulever par une explosion et retomba lourdement sur eux.

- OK alors passez-moi une radio, nous aussi on pourrait leur envoyer des pruneaux !

- Affirmatif chef j'appelle !

Les chars les dépassèrent par la droite cachant derrière eux les soldats qui pouvaient ainsi avancer.

« Allo ! Allo ! Nous sommes à deux kilomètre de l'aérodrome, demandons tir de barrage ! »

« Affirmatif, tenez position sur la colline pour guider les tirs. »

« Reçu ! »

James et Michael ayant entendu l'appel radio firent signe aux hommes autour d'eux.

- Suivons les chars, on doit monter !

Les blindés permirent en effet aux troupes d'avancer sans risque. Une fois sur la colline les troupes se séparèrent.

Un premier groupe irait vers l'aérodrome tandis que le second irait plutôt dans la jungle pour sécuriser les souterrains proches.

Les tirs d'artilleries pilonnèrent l'aérodrome délogeant les soldats japonais qui étaient fauchés par la mitraille. Encore une fois les soldats japonais changèrent sur les américains pour un corps à corps violant, mais encore une fois ils furent tués par les américains qui se retranchèrent derrières leurs chars ou d'autres armes automatiques lourdes.

James et Michael eux avançaient avec plusieurs autres divisions. Ils marchaient dans la jungle lorsqu'ils virent des mouvements à leur gauche.

Aussitôt ils ouvrirent le feu. Les balles fusèrent durant plusieurs minutes avant que Michael entende leurs adversaires parler.