Chapitre 2

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Aujourd'hui, c'est mon deuxième jour au travail.
Enfin le vrai premier jour, je pourrais commencer à travailler pour de bon.

Toute la nuit, je n'ai fais que penser à elle, c'est à peine si j'ai dormis...
Son corps, sa voix, ses yeux, sa démarche sensuelle.

Hein qu'est-ce que je dis moi c'est ma patronne et ça restera juste ma patronne.

J'enfile rapidement un jeans avec un débardeur blanc et une chemise blanche ouverte avant de me maquiller légèrement et d'aller prendre le chemin vers le métro.

(𝐄𝐥𝐢𝐩𝐬𝐞 𝐝𝐮 𝐭𝐫𝐚𝐣𝐞𝐭)

Arriver devant l'entreprise je me dirigeais directement vers le bureau de Stefan deux cafés à la main grâce au détour que j'ai fais pour aller au Starbucks.

Je toque et il m'ouvrit la porte sans plus attendre je lui donna son café.
-Alors, comment ça s'est passé ta rencontre avec la vipère hier?
-Putain l'horreur que c'était, elle a peut-être une belle gueule mais sa façon d'être est exécrable enfin...

J'allais continuer à lui raconter à quel point elle avait été méchante et sans coeur, quand tout à coup j'entendis ses fameux talons qui m'avait empêcher de dormir la nuit dernière...

Elle débarqua au niveau de la porte.
-Katerina, je veux vous voir dans mon bureau toute suite.
-D'accord je vous suis.

Je me retourne pour imiter son air froid devant Stefan en mimant avec ma bouche sa façon de dire « toute suite » bien sûr je le dis pas à haute voix je tiens à ma vie je vous signale.

Sauf que quand je me retourne, je la vois me regarder en levant son sourcil.

-Si vous voulez jouer au clown, aller dans un cirque. Ici on est là pour travailler alors arrêtez de faire la guignol.

Je baisse la tête attendant qu'elle continue de marcher pour que je puisse la suivre.

Arrivée à son bureau, elle ne prends même pas la peine de me tenir la porte.

Quand nous fîmes tout les deux installés elle commença à parler.
-Alors, je vais te donner les dossiers que tu devras vérifier et classer, je veux que ce soit terminer pour aujourd'hui. 𝑀𝑒 𝑑𝑖𝑡 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑒𝑛 𝑎𝑦𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑡𝑒𝑡𝑒 𝑝𝑙𝑜𝑛𝑔𝑒𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑠𝑜𝑛 𝑡𝑖𝑟𝑜𝑖𝑟.

Pendant qu'elle cherchait elle s'était légèrement penché ce qui laissa une vue sur le haut de sa poitrine.
Je ne pouvais dévié mon regard autre part, j'étais comme obnubilé.

-A voilà je les ai retrouver. 𝐸𝑛𝑡𝑒𝑛𝑑𝑖𝑠-𝑗𝑒

Tout d'un coup elle se redressa.
Merde elle m'a cramé entrain de la mater...

Elle lâcha ce qui me semblait être un sourire.

-Mlle Rossi, que ce passe t'il vous êtes toute rouge? Voulez-vous que j'ouvre les fenêtres peut-être ? 𝑀𝑒 𝑑𝑖𝑡-𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑔𝑎𝑟𝑑𝑎𝑛𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑐𝑒 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑠𝑜𝑢𝑟𝑖𝑟𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑣𝑖𝑠𝑎𝑔𝑒.

-Euh non non c'est bon j'ai juste un peu chaud. 𝐷𝑖s-𝑗𝑒 𝑒𝑛 𝑚𝑒 𝑙𝑒𝑣𝑎𝑛t.

Je pris les dossiers et sortit le plus rapidement possible, il devait y'en avoir une vingtaine ça devrait le faire en une journée.

Ma boss Où les histoires vivent. Découvrez maintenant