La tentation m'effleura l'esprit en t'observant du coin de la pièce.
Le blanc de mes yeux s'illuminèrent une fois ton sourire entraperçu.
Serait-ce erroné de ma part,
Ou puis je supposé que toi aussi, tu m'aies remarqué.
Le temps passe et je ressasse.
La simple vue de ta personne m'avait frappée en plein coeur.
Comme si j'avais su en avance.
Que par mes yeux allait s'écouler l'encre de mes veines.
Que ta personne allait me chamboulée à tel point de remettre en doute ma propre identité.
Que ton âme était si impure cachée sous ce visage d'une douceur angélique.
Nous nous tenions à des mètres loin de l'autre.
Mais je pu ressentir la tension malsaines que nos corps dégageait.
Cette étrange sensation que ce n'était un coup de foudre,
Mais le désir que tu ne me fasses aucun bien.
Que tu me détruises.
Pour que de moi, il n'en reste que des miettes.