Prologue

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Chaque personne pense que l’amour se choisit.
Que l’amour et une chose disposés à n’importe quelle moment et à n'importe quelle endroit.
Mais le véritable amour, celui dont on ne peut pas se passer, a qui on pense tout le temps, a celui qui fait vibrer le corps et le cœur, lui, cet amour là, il est rare.
Il est rare pour la simple réponse, c’est qu’il ne se choisit pas.
Sa nous tombe dessus du jour au lendemain.
Je ne suis pas le genre de fille a fantasmé sur ce genre d’homme, hautain, mauvais, égocentrique, sans cœur. Mais quand ses yeux verts se pose sur moi, je ne serais réfléchir correctement.
Je crois que quand il est face à moi, je ne pense plus avec ma tête mais avec mon cœur.
Devant lui, je garde la tête froide, je suis comme on m'a toujours appris à être.
Froide, mauvaise, sans rancune, une orgueilleuse exagérée, un regard méchant, des répliques incroyables et tout ce qui va avec la méchanceté.
Mais je suis comme cela qu’avec les gens que je ne supporte pas ou que je ne connais pas.
Mais chaque personne aussi mauvaise que moi a toujours une raison.
J’ai mes raisons d’être aussi peste et détestable, mais je n’en veux à personne, parce que si on s’éloigne de moi, je suis heureuse, parce que quand son approche trop, je brûle les âmes, et cela m’effraie. Peut-être que lui sera me libérer de ma peine, peut-être qu’il comprendra mon passé.
Peut-être que si je suis ici c’est pour une raison ?
Le destin ?
Je suis peut-être avec lui parce que le seigneur en a décidé ainsi.
Alors Seigneur, apprends- moi à être heureuse, avec lui.
Je ne forcerais pas le destin, et mon orgueil m’empêchera bien des aventures. 

Peut-être que si je n’étais pas revenu réclamer ce qui me revient de droit, je n’aurais pas croisé son chemin.
Et le regard de mon père sur moi, la déception que je suis.
Une femme qui est censer être morte au yeux de tous ses collégues fait irruption dans cette salle pleines d’hommes pour dire la vérité.
Oh, j’en est vue des choses, et depuis mon plus jeune âge, mais ce regard là, non, je ne l’avais vue sur aucun visage.
Si maman aurait pu écouter mes cris d’appel, mes cris d’aide, jamais je n’aurais été ainsi.
L’homme qui vous a donné la vie peut parfois être le plus grand des salauds.
Et la femme qui vous a mis au monde peut souvent être aveugle et sourde.
Mais mon frère, oh mon frère.
Il m'a chaque jour consolé, après chaque acte il m'a consolé, m'a rassuré.
Et même si après mes consolations père le frapper, il revenait tout le temps.
Il ne m'a jamais abandonné, et c’est pour cela que je ne serais jamais loin de lui. 

Le monde de la mafia est bien compliqué mes amis.
Si seulement on pouvait choisir sa famille, j’aurais changé avec joie.
Mais peut-être que j’étais destiné à être dans cette famille, à construire quelque chose, à le rencontrer lui, pour qu’il me sauve, qu’il tue tous ceux qui m'avaient sali et peiné.
Parce que dans un sens, lui, il m'a rendu justice, et ça aurait été le seul a tourné le dos à tous ses collègues pour moi, il aurait était le seul à tuer chaque homme un par un pour que mes peines se referma après tant d’année. 

Dieu, même s' il pêche chaque jour, sauvé le, offrez lui votre pardon, parce que pour tout ce qu’il fait pour moi, il le mérite vraiment.
Suis-je en train de devenir humaine ?
A ressentir de la bonté pour cet homme ?
Non, cette chose est absolument fou et ultra fausse. 

Mais ce qui était vrai, c’était ce que je ressentais pour lui à chaque fois qu’il me sauvait…

First Love StoryOù les histoires vivent. Découvrez maintenant