HELP...

Suis je moi même?

À chaque appel que nous fessions will et moi, tout le monde était présent... Ce qui rendait les choses très compliquées. Emma ce rétablissait bien, mais un cauchemar lui revenait toujours: la silhouette du Vaudou, cette grande hombre mince lui hantait des nuits depuis des jours. Au cour des jours derniers il n'y eu qu'un mort mais une personne importante, Olly c'était fait attraper, le meilleur ami de Will. Will était devenu distant ces temps ci... Il avait beaucoup de mal à le supporter.

Pendant ce temps, Matthew (un ami de Anny)  et moi avions trouvé un tunnel qui conduisait à un clocher tout en haut d'une des toures du collège. J'avais trouve un moyen de fermer la porte de l'intérieur. Dedans, j'avais cache depuis la mort d'Anny quelques couteaux, et des outils de la réserve des hommes d'entretien. Il y avait assez de choses pour "armer" tous les troisièmes.

 Plus personne n'avait plus de batterie... de toutes façons, le vaudou avait réussi par je ne sais quel moyen à détruire tout le réseau sur le collège ce qui empêchait donc la possibilité d'appeler... 

Au bout de 5 jours enfermés ici, tout le monde perdait espoir de revoir sa famille. Sur l'instant, je n',en avait plus rien à faire. Je ne rêvais que du'une chose, venger tous ces pauvres gens. Anny, Kévin, Olly,toute cette classe de 28 élèves, et bien sur, mon père et ses horribles collègues que j'avais détesté, aujourd'hui ils ne m'inspiraient que de la pitié.

Je me préparais peu à peu psychologiquement à penser au moment où je devrais perdre Anthonin. J'en pleurais la nuit car déjà perdre Anny était une épreuve mais alors si il fallait en plus que perde Antho, je penses qu'à ce moment je serais prête à  aller chercher le Vaudou seule.   

Un détail me revint soudain, j'allais demander à Wil toutes les cartes qui avaient étaies trouvée sur les differents corps. Mais celles des professeurs manquaient. Je demandais donc à Antho de m'accompagner en salle des professeurs. On avait du avec regret abandonné l'idée d'emmener les professeurs au bûcher.

Les corps étaient déjà en décomposition se qui créait une odeur de putréfaction atroce.  Antho a failli vomir à plusieurs reprises, moi j'ai vomis à l'approche de la salle. J'ai eu beau chercher pendant de nombreuses minutes, je ne trouvais pas mon père. Cela m'angoissait, je ne savais pas où il était et personne ne l'avait déplacé. Normalement. J'ai eu des doutes sur l'identité du Vaudou, une des élève l'aimait beaucoup, mais elle était morte dans l'incendie... C'est d'ailleurs elle qui avait été endormie. En descendant,  on trouva des traces de pieds ensanglantées on les suivis et on tomba sur une pièce inconnues de nous deux. On essaya de l'ouvrir et par chance, elle était ouverte.

Nos yeux s'écarquillèrent...