Confession

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Léo

Je vais dans la salle de bain et la vois, allongée sur le ventre sur son lit, les écouteurs dans les oreilles. Ses cheveux vénitiens son posés sur son épaule droite et elle regarde quelque chose sur son téléphone que je n'arrive pas bien a discerner. Elle a l'air contrarié, en mordant sa lèvre inférieur rosé. Je ne m'attarde pas plus et me dirirge vers ma douche glacée.

Enfin pret, j'appel Nico partit ce matin pour une affaire. Il décroche au premier bip.

-Oui qu'est-ce qu'il y a ? En entendant du mouvement derrière.

-Ho bisogno di supervisione. Devo andare a sistemare qualcosa velocemente.
(J'ai besoin d'une surveillance. Je dois allé régler un truc vite fais)

-È così urgente parlare nella nostra lingua madre ?
(C'est a ce point urgent pour parler dans notre langue natale)

-Oui Nico ça l'est putain ! Sans pouvoir controler ma colère.

Nous nous sommes parler mais je sens que meme avec ces excuses, mon ami veut en savoir plus. Et est toujours en froid, meme si il ne le montre pas je sais qu'il m'en veux de ne lui avoir rien dit. Mais j'y peux rien merde !
Je respire et lui dis de venir rapidement.

Enfin arrivé, je le salue et m'échappe de cette maison direction Vito. Je l'appel pour le prévenir et m'annonce a mon plus grand bonheur que Ricardo ne sera pas la.
Devant chez lui, il m'attend a l'entrée, les bras sur son torse. J'hoche la tete et fait de meme tout en entrant chez lui. Il me demande ce que je veux puis lui répond que j'ai besoin de lui pour trouver uno psicopatico qui vient me faire chier chez moi. Il me regarde vite fait et se dirige vers son ordi. Il me demande des infos mais dis que l'on sait rien de lui a part que c'était un homme d'après l'Idiote. Il se tourne vers moi, un regarde me disant que j'aurai du le prévenir directement. Je monte mes épaules l'air innocent en m'empechant de sourire. Il soupire puis se gratte l'arcade droite en prenant son tél et composant un numéro. Je lui demande qui est-ce qu'il appel mais m'incite a me taire.
Je le juge sans pour autant le prendre mal, c'est le seul cousin en qui j'ai confiance quand Ricardo n'est pas dans le coin. La détonation se stop et une voix que je ne reconnais que trop bien retentit. Je l'interroge du regard, pourquoi est-ce qu'il l'appel lui.

-Sì, ho bisogno di te per un piccolo servizio di stalking.
(oui j'ai besoin de toi pour un petit service de traque)

-Non, ti dirò chi lo richiede, ma lo fanno. Avrai ventiquattr'ore per trovarlo.
(Je vais pas te dire qui est a cette demande mais fais ca. Tu auras vingt-quatre heures pour le trouver)

Sur ceux il raccroche. Envoie des infos sur cet homme inconnu et me dit qu'il est sur le coup. Je roule ma pomme d'adam et secoue ma tete en opposition a son idée. Puis repart vers la sortie et enfourche ma moto.
Je suis déçu, j'aurai penser que je pouvais compter sur lui mais lui-meme est dans l'incapacité de le retrouver. Idiota, soffrirai.
J'accélère jusqu'à arriver a destination. Aucune lumière est allumées, elle doit dormir. Je passe la porte et Nico est appuyer sur le plan de cuisine dos a moi.

Nico

Je me retourne lorsque Léo s'approche de moi. Je le regarde avec peine, oui car cela me fait terriblement mal qu'il ne veuille pas m'avouer ce qu'il a dans sa tete. Je veux l'aider, de n'importe quel moyen mais je ne veux pas qu'il se noie dans ses pensées multiples. Pas qu'il s'y perd comme moi autrefois...
Il ne m'annonce rien alors je prends les commandes et lui pardonne ses excuses sincèrement mais je vois bien qu'une nouvelle fois quelque chose le tracasse ce qui me fruste, s'il te plait Léo dis moi ce qu'il se passe. Il me regarde quelques secondes puis se dirige vers les escaliers. Je l'attrape par le bras ce qui lui fit tourner la tete rapidement. Je maintient ma poigne et lui propose de discuter dehors d'un mouvement de tete direction la porte.
Dehors, il sort une cigarette, l'allume et inspire la première bouffée. Je passe mes mains dans mes cheveux et propose que l'on s'assoit ce qu'il fit de suite, une main ancrée dans le sol et l'autre tenant cette addiction. Tant qu'a moi je m'assieds en ramenant mes jambes contre mon torse. J'essuie rapidement mes mains moites sur mon jean et lui dis de se confier dans le besoin, qu'il sait que je suis la. Comme unique réaction de sa part, il expire sa fumée et ramène sa clope a ses lèvres. Dis quelque chose Léo, ne te referme pas. Pas maintenant.

Les Âmes PerduesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant