Panique intense

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Il est maintenant treize heure, les garçons sont dans le salon sur leurs téléphones tandis que je suis la comme un pion. J'ai l'impression qu'un fossé c'est creusé. Pas entre "le prend moi pour une idiote" mais plutot avec Nico et ce fossé là m'inquiète et me déplait, il était le seul a me comprendre un peu près, ou du moins il faisait tout pour que je me sente bien. Et je m'en veux du lui avoir posé cette question, je cherche simplement des réponses, seulement des réponses Nico...
Je lui en demande trop, ça ne fais pas longtemps que l'on se connait j'admet mais je me sens en confiance avec lui.

-E' solo uno stronzo. Avrebbe dovuto chiamarmi, chiedermi di venire. Brisa Léo.
(c'est qu'un connard. Il aurait du m'appeler, me demander de venir)

-Penso che Leo avesse una ragione, se non l'aveva probabilmente era per qualcosa.
(Je pense qu'il a eu une raison Léo, s'il ne l'a pas fait c'était probablement pour quelque chose)

-Ma cavolo! Questo ragazzo è entrato dalla mia finestra due volte e questo bastardo non voleva che conoscessi la sua identità?! Pensa a Nico, pensaci un attimo, cazzo. Mattia non fa tutto per caso. Hurla le brun.
(-Mais putain ! Ce type est passé deux fois par ma fenêtre et ce salaud ne voulait pas que je connaisse son identité ?! Réféchis Nico, réfléchis un instant. Mattia ne fait pas tout par hasard)

-È un pazzo, sicuramente un manipolatore di alto livello, ma Leo non è stupido. Quindi, per favore, smettila di pensarci perché quest'uomo è morto comunque. Ora dobbiamo solo trovare l'assassino di Silva e. Répondit le chatain dans le plus grand calme.
(Il est timbré, surement un manipulateur de haut niveau, mais Léo il n'est pas stupide. Alors s'il te plaît, arrête d'y penser parce que cet homme est mort de toute façon. Il ne nous reste plus qu'à trouver l'assassin de Silva et.)

-Ferme-là. Le coupa-t-il.

Nicolo rit sarcastiquement et détourne ses iris de son téléphone en direction de son ami. Qui lui ne leva pas sa tete d'un pouce.

-Fanculo, Leo, è chiaro nella tua testa ?
(va te faire foutre bien profond Léo c'est clair dans ta tete)

Le concerné leva sa tete brusquement et jette un regard qui pourrait descendre n'importe qui si celui-là était une mitraillette.

-Je suis réaliste. Ne baissant pas son contact visuel.

-Nicolò stai zitto adesso.
(Nicolo ferme ta gueule de suite)

-Sinon quoi Greco ? Tu vas me tuer ? Et parle français devant Ryo, par pur politesse. En lui offrant un regard réprobateur.

Le brun se tendit, souffla et se pencha vers le chatain en croisant ses mains. Défia son regard jusqu'à que la porte d'entrée reçoive des coups violents. Nos trois tetes pivotèrent en meme temps, la mienne plus rapidement que les leurs qui se tournèrent bien lentement, celle de Léo en premier puis la sienne ensuite.
Les garçons se lèvent et se dirirge vers les frappes qui se sont arretées. Léo tient de sa main droite son pistolet et Nico le suit de derrière en se mettant face a moi. Il ouvre la porte, abaisse son arme et la met a l'arrière de son pantalon lorsqu'il reconnu la silhouette se dressant devant lui.

-Tu fais quoi ici ? D'une voix sec.

-Bonjour Léo, il regarda en notre direction, bonjour Nicolo et... Ryo ?

J'acquiese doucement et regarde le visage de cet homme. C'est pas la première fois que je le vois au contraire mais son prénom m'échappe a chaque fois.

-Que veux-tu Vito ? Se redresse Nico et le questionnant.

Vito ! c'est pas compliqué a retenir Ryo quand meme !

Les Âmes PerduesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant