CHAPITRES II: DENKI

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Pour confirmer ma peur des poils blancs formaient un parcours a travers  la densité des arbres . Que ce soit sur les branches ou sur le sol ils avaient tous recouverts. Et merde !!!! Qu'est-ce que je dois faire maintenant ? Tout dire à ma mère ? Mais par où commencer ? Maman hier dans une réconciliation non voulu j'ai été attaqué par un énorme chien enragé qui voulait me bouffer . Non , clairement pas . Mais il doit bien y avoir quelqu'un au courant de ça . Un individu morbide se cachant dans la pénombre attendant le bon moment pour que la famille de pauvre petit  citadin ne connaissant que la souffrance des  bouchons vienne sollicitée son aide de fin connaisseur. Hmmm... J'ai trop regardé des films frisons je trouve . Malgré ça une chose est sur , il y a forcément une ou deux personnes a savoir ce qui ce passe  et je compte bien mener mon enquête en commençant par l'interrogation de denki .  ce village cache bien des choses plus qu'étranges. Et ça ce n'est pas mon côté cinéphile de l'horreur qui parle.

En apres midi je fis le compte rendu sur ce qui venait de ce produire a ma mère qui sortait de son doux sommeil . sa réaction fut plus qu' étonnante. Elle bailla muni de sa paire d'œil mi close accompagné d'un sourire et une main gigotant de haut en bas comme pour me dire que tout va bien.  Cette situation me fait comprendre que cette femme qui est ma mère est en faite une inconsciente.

Je suis l'homme de la maison alors c'est a moi de les protéger , mais avant ça m'a soirée.

Maman inko me soulagea d'un point en se proposant comme coursière. Elle prétexta une rencontre de dernière minute pour sortir de la maison mais me promis de rentrer 2h avant l'arrivé de mon invité. Ce qui me laissait le temps de préparer le salon. Je passais mon avant bras sur mon front transpirant de sueur . Il était peut être temps pour moi de prendre un bain . Je zigzaguais  entre les pouffs que j'avais installé mais je faillis m'en prendre 1 dans les pieds manquant presque une chute dont seul moi serait le spectateur. Au premier étage,  je passais devant la chambre d'erri , qui a une certaine heure de la journée devait la laissé  ouverte à fin d'avoir un certain suivi . Elle était allongée sur le ventre griffonnant certainement un dessin sur une feuille blanche . Je me permis d'entrer sans marquer ma présence . Pas après pas je me glissais doucement en ayant l'envie de la l'aire hurler de peur lorsqu'elle  me verrai . Mais...

-izuku tu fais quoi dans ma chambre ? Dit elle avec un ton serein .

C'est au contraire moi qui eu peur . Mes yeux s'equarquillerent de surprise et mon cœur rata un battement. Je pensais avoir bien dissimuler le son de mes pas . Certe le parquet de presque toutes les pièces de la maison grince mais celui d'erri ne figure pas dans ce cas. Le plus étrange dans tout ça c'est qu'elle ne s'est toujours pas retourné trop occupé a gribouiller sur sa feuille de rame.

Je fondis doucement l'espace entre nous et Jettais un œil craintif sur son dessin , et la , ce fut l'effroi. Elle était là, la bête blanche au yeux rouges .

- dit izuku , pourquoi ton cœur bat aussi fort . Dit elle en se tournant lentement vers moi . Tu as ...peur ?

Quelques minutes plus tard l'homme de la maison n'était plus qu'un gros froussard qui detalait de la chambre de sa petite sœur. 

Je me réfugiais dans ma chambre et la ferma a double tour . Mon corps glissa contre la porte qui m'apportait un certain soutien inespéré. Arrivé recroquevillé au sol , je mis les mains de chaque coin de ma tête , coude appuyé sur mes cuisses.

Chien de 2 mètre - village - ma sœur qui semble possédée par une entité - katsuki - mure défoncé .

Ça ressemble trop à un film frissons qui va mal se finir . Je ne veux pas que ce voyage ce transforme en cauchemar en a peine quelques jours .

Le soleil commence a ce coucher et je suis au sol depuis une bonne heure a réfléchir sur ce qui pourrait et ne pourrait pas ce produire.

Je levais ma tête regardant le soleil tombant a travers ma fenêtre . Les rayons orangés peignant ma chambre de milliers  d'éclats me détendit et me fit pensé a autre chose d'autre que ma situation plus qu'alarmante . Mais a cela seul le cour du temps poura m'apporter plus de révélation sur ce qui ce passe vraiment. Enfin décidé, je posais ma main gauche contre la porte a fin de soutenir mon poid . Je me dirigeai vers la salle de bain et enclanchais la poignée de porte . Un tour  devant le miroir et je vit mon regard fatigué des derniers événements qui semblaient déjà nuirent   a ma santé de sportif .

-tch ... Quel gros nul .

Jamais au grand jamais moi izuku midoriya sera la victime d'une quelconque entité physique ou encore spirituelle, au grand jamais. C'est quelque mot reanimerent la flemme de l'homme de la maison qui est en moi . Ce soir après ma soirée, séance de spiritisme avec cette petite possédée.

Je ne pris pas beaucoup de temps dans douche , juste histoire de sentir un peu le shampooing a la pomme et me débarrasser de la poussière que j'eu a enlever sur les pouffs.

Je me vêtis  d'un short noir et d'un débardeur blanc montrant mes atouts au grand jours . Un dernier regard dans le miroir et là je me reconnu comme le mec cool et sportif du lycée.

Un peu de parfum et je pus descendre en paix le cœur tranquille sur mon apparence et ce qu'elle dégage . Je ne fis pas escale  dans la chambre d'erri parce qu'elle et moi c'est plus tard . Encore une fois,  j'affrontais le parcours de pouffs qui trainaient dans le salon , cette fois ci dans le but  d'atteindre la porte centrale. Je tournais la poignée de la porte et sorti  m'arrêtant au porche . Plus tôt je reçu un message de ma mère qui me disait de me tenir près a l'accueillir elle et ses bagages . Chose dite , j'entendis le sans distinctif de sa tout terrain qui demandait passage au sein de la cours . Comme prévu je l'aceuillis mais quelques chose n'allait pas. Au siège passager il y avait katsuki.

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PEUR


L'HÉRITIER DES MIDORIYA Où les histoires vivent. Découvrez maintenant