Chapitre : 05 🌼

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🥀 États-Unis 🥀




🥀 Point de vue : inconnus 🥀








14 : 22










[ 🤬🤬🤬 ]




  

Moi : Est - ce que je ressemble à une pute ? Hein réponds moi ! Me casse pas les couilles. Ne me prends pas pour un idiot, est-ce clair ?

- Dans ce cas, je peux pas accepter ce marché.

Il me traite vraiment comme sa propriété. Il m'a fait perdre mon temps et mon énergie pour me dire qu'il ne peut pas accepter ? Nous allons voir. Je vais lui envoyer une balle entre les deux yeux. Il me met en colère. Je me lève brusquement et m'avance vers lui. Je saisis son col, ma mâchoire serrée et mon regard noir. Avec la patience qui me reste, je dis :

Moi : 10 kilo de coca 1kilo vaut trois, les kalachnikovs 150. La Zastava M70 serbe, les fusils à pompe  en calibre 12 à crosse et canon sciés, je pense que tu sais autant que moi. Alors, je te laisse pas le choix, je remballe ce qui m'appartient et toi tu feras de même. Compris ?

Le message est bien passé maintenant qu'il a su que je ne plaisantais pas avec lui. Il déglutit difficilement et avale sa salive. Quel genre de personne est son patron la pute de mes arrières grands parents pour envoyer un mec comme lui dans mon territoire.

- Je vais faire ce que vous m'avez demandé. Mais sachez que vous serez le seul responsable de ce qui va se produire par la suite. Miller sera...

Ah donc maintenant, il veut me menacer ?

MoiTu oses me menacer ? Dis-je furieux. Tu penses que tu peux me faire peur ?

je lui enfonce mon arme dans la bouche.

Moi : Tu vas regretter de m'avoir sous-estimé ! Je vais te montrer ce que signifie vraiment la colère !

J'ai la rage qui me monte. Il croit vraiment qu'il me fait peur. On verra bientôt qui a peur. Je fonce plus profondément dans sa bouche cette arme à feu. Et j'avance mon visage du sien. Mon regard est noir en même temps que froid. Son regard me montre qu'il a envie de vomir. Ses sourcils sont froncés. Il secoue la tête comme pour me dire de ne pas oser. Il n'a montré aucun signe de capitulation. J'aime la façon dont il a de cacher ses émotions. Il n'a pas peur que je lui bute. Mais s'il l'avait fermer plutôt sa grande gueule, il n'aurait pas mérité ce coup. Je souris légèrement avant de dire.

Moi : Tu sais quoi? Dis-je avec un léger sourire.  Moi-même je lui enverrai sa précieuse marchandise. J'ai aussi un cadeau pour lui, il va sûrement l'apprécier et finira par me remercier après... Tu n'aurais pas dû oser. Personne ne me menace. Tu sais quel sort je réserve à ceux qui osent me menacer ? Je les punis sévèrement.

Mon regard est noir, ma mâchoire serrée, mes veines gonflées de rage. Je pousse l'arme plus profondément dans sa bouche, mes doigts tremblants de fureur. Il essaie de reculer, mais je le tiens fermement.

Je me retire enfin de lui. Je l'observe respirer un peu fort. Il tousse.  Puis je fais signe à mes hommes de s'occuper de lui. Mais avec sa plus grande vitesse, il sort son arme et me pointe avec. J'aime sa façon d'être courageux. Je souris discrètement.

Mais mon regard change tout d'un coup.


- Tu ne sais pas ce que tu fais. Je ne crains pas mourir maintenant mais s'il m'arrive quelque chose, toi et ton entourage, vous allez subir les conséquences. Tu connais Miller mieux que moi. Toi, ton père, ton frère, toute ta famille. Vous regretterez. Alors je m'en vais avec la marchandise. Et toi tu n'auras pas d'autres options...

Moi : Tu vas payer pour ta stupidité ! Tu vas regretter de m'avoir provoqué ! Tu vas voir ce que je suis capable de faire quand je suis en colère !

Je suis à bout de souffle, ma colère est à son paroxysme. Je le regarde avec dédain, avec mépris.

Moi : Je vais te faire regretter de m'avoir sous-estimé. Je vais te faire regretter de m'avoir provoqué.  Maintenant, tu vas faire ce que je te dis. Tu vas obéir en baissant cette arme. Ou tu vas souffrir. Le choix est tien.

Je suis prêt à le frapper, à le détruire. Ma rage est à son comble.

Tout s'est passé tellement vite quand mon frère apparaît derrière lui. Il le tient fermement contre le mur, son arme toujours pointée sur lui. Il essaie de se débattre, mais mon frère est trop fort.

Il le secoue violemment et dit : 

- Tu vas faire ce que je te dis, ou tu vas souffrir les conséquences !

Il me regarde avec peur, il sait qu'il a dépassé les limites.

Moi :  Frapper le , torturer le jusqu'à qu'il vous implore de lui accorder notre pardon. Mais ne le tuer pas aussi vite.


Il hoche la tête, Je le regarde un instant, puis je me détourne.

Moi :  Je vais te laisser vivre... pour le moment. , tu vas regretter de m'avoir sous-estimé.

Je me détourne et je sors de la pièce, laissant mon adversaire tremblant de peur.

LOVE AND POWEROù les histoires vivent. Découvrez maintenant