L'histoire des corbeaux t~1

Moustiques enragés

Follow the cops back home ~ Placebo

~ Attention au Arachnophobes ~

- Putain, mais comment ça ce fait qu'il y est autant de moustique ici ?

Mes bras sont douloureux a force de les agité dans tous les sens pour chasser les insectes. Quand Ethan m'a invité pour manger je ne pensais pas que j'allais être le repas. Les nuisibles se régalent avec mon sang, ils s'agglutinent tous autour de moi.

Intrigué je pose mes yeux sur Ethan. Il marche dans difficulté dans le terrain vague, slalomant avec agilité entre les grava qui jonchent ce qu'on pourrais appeler de chemin. Je n'ai aucune idée d'où il m'emmène, ni même ce qu'on va manger. Il m'a dit de ne rien n'apporter, et visiblement il a appliqué sa propre demande.

Je trottine pour le rattraper, manquant de me casser la geule quand je trébuche sur une barre en fer qui dépasse du sol. Ethan me rattrape de justesse, m'offrent un  sourire provoqué par ma chute.

Mes yeux s'accrochent a son sourire, j'en profite pour m'attarder sur son visage. Je m'extasie devant chacune de ses courbes, de ses perfections, de ses défauts, qui font tous son charme. Je suis sortis de ma contemplation quand un détaille attire mon attentions.

- Pourquoi il n'y a pas de moustique sur toi ?

Aucune des bêtes ne se poser sur lui, et n'ose même pas s'approcher. Les bestioles s'éloigné a son passage. Surpris par ma réflexion, il regarde autour de lui, avant de l'admettre.

- Les moustique ne me piquent jamais, mon sang doit pas être bon.

- La chance.

Le bourdonnement des moustique pourrait rendre le silence assourdissent. Les bêtes son de plus en plus nombreuse, et s'acharne sur moi. Si il me reste du sang après cette excursion, ce serait un miracle.

- Tu est souvent venue ici ?

- Oui, avec mes frère on jouais beaucoup ici quand on était petit.

- Tu a des frère ?

- Ouais, j'en ais 8.

- Putain ! Ça en fait des frère !

Il rit face a ma réaction, puis saute sur une grosse pierre qui se trouver sur son chemin, avant de continuer sa route. Au plus nous avançons, au plus les déchets se font rare, et l'endroit semble propre, enfin autant que peut l'être un terrain vague.

- Tu t'entend bien avec eux ?

- Non pas trop. On est très compétitif entre nous, ce qui a donné lieux a pas mal de dispute, mais je sais que je peux compté sur eux en cas de besoin. Et toi, ça va mieux avec ta soeur ?

- Ecoute ça va un peu mieux. Elle va bientôt déménager alors ça apaise un peu les tensions. 

Un claquement retentis quand je tape mon bras pour écraser l'un de ces insecte qui tenter de me piquer. Hélas c'est trop tard puisque ce dernier était gorgé de sang. C'est alors mon propre sang qui est étalé sur mon bars, entourent le cadavre du moustique. Je grimace, puis Éthan attire mon attention.

- On est arrivé.

Je tourne la tête et découvre un salon de fortune aménager dans les ruine d'un bâtiment. Un troue béant est dans le mur, servant d'entré. Des barres de fer dépasse de tous les coté, accompagnant les fissures dans le sol. Le canapé et a moitié déchiré, et il manque un pied a la petite table. Pied qui est remplacé par un bout de bois.

Des vestiges d'un feus de bois décore l'endroit. Quelque coussin son disposer par terre, et des assiettes sont disposées sur la petite table. Quelque bougie entoure la fausse pièce, portant une ambiance chaleureuse, contrastant avec le coté rustique de l'environnement.

Ethan me tend la main, je la saisie, et il m'entraine vers le faux salon. D'un geste il m'invite a m'assoir sur l'un des coussin, je m'exécute, puis il m'imite.

- Alors j'ai préparé le seul plat que je sais faire, des pâtes a la sauce tomate et mozzarella.

- Ça a l'air délicieux.

- J'espère bien, j'y est mit toute mon coeur.

Le soleil décline sous les mots de nos discussion. Les oiseux prennent par a nos débats, et le bourdonnement des moustique s'estompe. Sa voix devient très vite la seul source de bruit. Un bruit agréable, que je révérais d'entendre jusqu'a la fin de ma vie. Ses iris bleus deviennent mon seul soleil, ma seul lune.le reflet des étoiles a l'intérieur de ses yeux m'hypnotise, m'envoute. Me noyer dans cette mer étoilé ne me dérangerais pas, au contraire, je m'y perdrais volontiers.

Je suis sortis de mes pensé quand sa voix ne parvient plus a mes tympans. Il me fixe m'observe, dans le silence le plus totale de la nuit. Le temp s'arrête quand un sourire se forme sur mon visage. Suspendue dans l'espace, nous tournons en orbite autour du soleil, ou c'est lui qui tourne autour de nous.

- Je t'aime, Sarah.

Ses mots flottent dans l'atmosphère, m'enveloppent d'une douce chaleur indescriptible. Les battements de mon cœur s'accélèrent. Ses mots, si simple, provoque une tempête en moi. Une tempête qui me submerge, une tempête dont je ne sais pas si je serais capable d'y survivre. Le song peine a franchir la barrière de ma bouche. Et pourtant, j'ai l'impression que je pourrais crever si je lui dit pas maintenant que je l'aime aussi.

- Je...Je t'aime Ethane.

J'ai l'impression d'imploser, d'emporter le monde avec moi. Le sol peut s'écrouler que je ne m'en rendrais même pas compte. Plus rien ne compte, ne vie, n'existe. Plus rien n'est réel, plus rien est faux. Tous est tans et rien a la fois. Mon esprit est brouillé quand il se rapproche de moi, et se brouille encore plus.

Un froid glacial transperce mon corps quand il pose sa main sur mon bars. Mes pupilles se perdent dans son regard profond, alors que son visage se rapproche dangereusement du miens. La tension monte, reflue dans ma poitrine. Mon coeur frappe dans ma cage thoracique au moment ou ses lèvre se posent sur les miennes. Il rapproche son corps, nos peaux se frôlent, se désirent. Sa bouche descend jusqu'a mon coup, il passe délicatement sa langue, des palpitations animent mon corps tout entier. Sa main se perd dans les cheveux, épouse les courbes de mes hanche. Chacune de mes cellules vibres quand il lèche ma nuque, mon épaule, mes clavicules. 

Je frémit, quand une présence parcoure mon dos. Sous les tendre caresse d'Ethan, un corps inconnue se balade sur moi. Des micros griffes se plante dans mes muscles, rendent ma peau irritable. Les pâtes transpercent ma cher, la cisaille. Je la sens remonté sur moi, elle prend un mal a plaisir a déchiré mon être.

En voulant me débarrasser de cette présence, Ethan m'immobilise. Sans que je ne puisse comprendre ce qu'il se passe, il m'empêche de bouger, me laissent en proie a cette bête sauvage. Dans la panique je jette un coup d'deuil a mon papule. Une araignée se matérialise sur mon papule. Ses longue pattes bouge sur moi, se déplace dans mon coup pour monté sur mon visage, en traînant son corps noir.

Elle laisse des trace rouge sur son passage, ouvrent chacune de mes veines se trouvant a la surface. Les aiguille qui lui servent a se mouvoir, arrive a ma bouche. Elle plante ses griffes en moi, puis mord mes lèvres. Une vive douleur se réveille en moi, pendant qu'un liquide froid se déverse dans mes veine.

Mon sang se glaces, blesse mon cerveaux. Ma tête me fait atrocement mal, quand chacune des couleur que je vois son plus vive, plus intense, m'agresse. Les odeurs brulent ma gorge, intoxique mes poumons. L'air environnement dépose un acide sur ma peux, la désintégrant. Les songe vibre en moi, crevant mes typent.

Un filet de sang dégouline, de mes yeux, de mon nez, de me oreille de mon corps. Ethan n'est plus qu'une masse noir, une ombre. Le bleus de ses yeux brille, autant que les canine qu'il dévoile. Dans la miséricorde de ma douleur, il plante ses dents dans ma jugulaire, aspire le sang, et mon âme avec.