Chapitre 16

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pov : Francesco

flash back: 16 ans en arrière

Zamora : maison des Sanchez

7H : 16M

-Francesco fait vite sinon je vais partir sans toi!!

dis mon père en entrant dans la cuisine avec les bras chargé de matériels pour notre activités hebdomadaire qui était la pêche.

je me dépêche pour terminer mon bout de pain toute excité de le rejoindre pour partir avec lui.

-n'oublie pas de faire attention Francis ...

dis ma mère en me tendant ma unique paire de chaussure usé avec l'âge

-moi: ne t'en fais pas maman cette fois-ci je vais revenir sans bobos et je vais te ramener beaucoup de poisson.

je l'enfile joyeux et cours dehors et ensemble avec papa nous prenons son vélo pour aller au lac qui était de le coin...

c'était sa notre quotidien ...et le gamin de 11 ans que j'étais adorait la nature puisque c'est seulement sa que je pouvais me permettre.

Étand pauvre on devait se contentais de seulement ce qu'on a et de rester digne c'était les phrases que me repérait mon père quand je me plaignait de ne pas avoir de jouets comme mes amis.

Mia madré travaillait comme femme de ménage dans un hôpital et mon père était un ouvrier et ensemble ils essayaient de joindre les deux bouts pour nous nourrirent moi et mes deux frères qui était des jumeaux.

Parfois les situations devenaient critiques jusqu'à ce qu'on dormait le ventre vide.

Mais qu'importe les épreuves mes parents surmontaient les obstacles pour ne se reste qu'on ne fini pas dans la rue...

Enfin c'était ce que je me disais jusqu'à ce qu' un bon jour ma mère chope un virus dans l'hosto où elle travaillait...

Elle tomba gravement malade laissant mon père gérer seul .

et ce dernier devant tant de charge et les frais médicaux excessive qui se rajoutais ,...mes deux frères étaient obligé de laisser l'école pour épauler financièrement mon père puisque l'hôpital ne prenait pas ces responsabilités .

Parce que c'est ainsi quand t'es pauvre on te traite comme une merde.

ils restent de vulgaire insecte et sont pas considérer comme des humains à part entière ...

Et temps que sa se passe ainsi nous resterons à jamais défavoriser par la société c'est la triste réalité dans ce monde,.. qu'on essayerait toujours de dissimuler derrière les putains d'aides et actes humanitaires qui au finish ne te sers qué dalles.

mais même avec l'apport de mes deux frères , mon père ne parvenait pas à remonter la pente et la santé de ma mère se dégrader au fil des jours.

Il décida d'emprunter de l'argent et il paya entièrement les traitements de ma mère et les choses allait mieux.

Avant que ma mère ne fasse une rechute et en donnant son dernier souffle dans son lit d'hôpital.

Crossing Eyes : Mafia's Noctura💣Où les histoires vivent. Découvrez maintenant