Âmes sœur / joyca

Bonus 2

2 mois plus tard.
7 octobre.

Cela faisait plusieurs heures que je rangeai l'appartement pour accueillir Eddie qui avait purgé ça peine de prison il allait revoir sa fille qui avait bien grandi maintenant.

J'entends quelqu'un frapper vers la porte je me dirige alors vers celle-ci.

- Eddie !

Je me jette dans ses bras.

- ma Lucia tu m'avais manqué.

- moi aussi.

Je le regarde et il avait bien changé des Cern avait apparue sous ses yeux. Et il avait beaucoup maigri. ils faisaient beaucoup de Conneri comme part exemple des course de voiture illégale, des règlements de compte qui finissait très mal. Il faisait aussi de rêvantes d'arme illégale. J'en est moi même acheté. Un soir alors que sa femme étais enceinte la police etait venue chez lui il m'a donc appelé en me demandant de cacher tous qui était illégal chez lui. Mais j'avais oublié une arme. Encore aujourd'hui Jordan le sait pas.

- bon viens je vais te redonner se qui te revient de droit. Lui dit je.

Je me dirige vers mon dressing et ouvre un porte sur la côter de l'îlot où son poser mes bijoux et se de Jordan. Je prends tous ses revolver et lui donne les chargeur.

- tiens c'est pour toi les chargeur tu les caches dans ton gradins c'est légale dans avoir sens chargeur.

- c'est une blague.

Je me retourne et vois Jordan avec Logan dans les bras.

- Lucia putain tu m'avais promis d'arrêter s'est conneri.

Car se que je ne pas dit se que Eddie n'était pas seule je l'aider a trouver des fournisseurs. Des star américaine part exemple.

- mais j'ai arrêté il revenait juste les chercher j'en est garder pour nous protéger t'inquiète pas. Dis-je détendu.

- salut Jordan. Dit Eddie en levant sa mains innocemment.

- salut Eddie ça va ?

- ça va !

Je finis de tout mettre dans un cartons et le donne à Eddie.

- tu passeras le bonjour à Lucie et Lola.

- t'inquiète pas je le ferai.

- bon bah à plus tard alors.

Il ne dit rien et lève sa main en signe de au revoir.

- est-ce que tu pense que tu pourrais tuer pour moi un jour ?

Il me regarde l'air joueur.

- bien sûr je le ferais mon amour.

Je l'embrasse tendrement et il se met à rigoler.

- quoi ?

- je suis vraiment tombé dans une famille de taré.

Je rigole légèrement fasse à se qu'île me dit.

- si tu m'aurais vu a 16 ans je m'amuser à me battre avec des gens au hasard contrer de l'argent et pas loins de chez nous il y avait une stand de tir j'étais la plus forte du quartier.

- Lucia... dit-il d'espérer.

...