Chapitre 2

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« L'espoir est un sentiment qui ne meurt qu'avec l'homme. » Reine Malouin

Harry-

-C'était un lundi midi que tout a commencé, les cours de la matinée venait de s'achever et j'étais plutôt content, avec Liam on devait se rejoindre au parc pour draguer des filles mais je devais passer à mon casier pour prendre ma veste en jean que j'avais oublié le matin même. Je suis arrivée devant le casier et c'est là que mon histoire commence-

La matinée était enfin fini, je commençais à en avoir ras le bol de tout ces cours à la con mais je me forçais à bosser, je ne pensais qu'à une chose aller draguer les filles au parc avec Liam. Ça faisait tellement longtemps que nous n'avions pas fait ça, je commençais à m'ennuyer j'avais besoin d'un divertissement.

- Bon Liam je passe à mon casier récupérer ma veste on se rejoint au parc.

- Pas de soucis mec je vais chauffer le terrain haha.

Je lui mi un coup sur l'épaule et continua mon chemin en direction de mon casier. Arrivé devant ce dernier je l'ouvris et me saisis de ma veste en laissant tomber un papier bleu ciel, je me baissa pour m'en saisir et le déplia. Je resta quelques secondes sans rien faire, mon regard resta fixé sur l'encre noir présent sur le papier. Comment avait il pu se retrouver dans mon casier ? Je l'avais pourtant fermé ce matin en y déposant mes cahiers et personne n'a défoncer mon casier, à moins de connaître le code je ne pense pas que quelqu'un puisse l'ouvrir. J'aurais pu penser à une blague de Liam mais ce n'est pas on genre d'écrire des trucs pareil. Fin je sais pas c'est bizarre. Je relis le papier une dernière fois et le range dans ma poche de jean. Bizarrement je n'ai plus envie d'aller au parc rejoindre Liam. Ce papier ma intrigué. Je ferais mieux de rentrer chez moi je n'ai pas cours cette après midi, je vais aller aider ma mère à la boutique.

Arrivé à la boutique je souris à ma mère qui souffle de soulagement.

- Harry je suis contente que tu sois là j'ai vraiment besoin d'aide je suis débordée.

- Bonjour à toi aussi maman.

- Désolée, bonjour mon chéri. Tu peux me remplacer s'il te plait je dois à tout pris aller chercher ta sœur elle est en panne sur la route, je n'ai pas besoin de t'expliquer ce qu'il faut faire, c'est comme d'habitude.

- Maman, je sais vendre du pain merci.

Elle déposa un baiser sur mon front et partie rejoindre sa voiture. Aller au boulot.

°

La journée avait été éprouvante, je comprenais ma mère qui rentrait tard le soir avec une tête de zombie - désolé maman- j'étais épuisé, les clients ont défilés les uns après les autres sans que ça s'arrête, je me demandais même si ce n'étais pas un jour de fête vu le nombre de gâteaux vendus.

J'ouvris la porte de ma chambre en grand et sauta sur mon lit en soufflant de soulagement, je vais pouvoir dormir. Je retira mon jean mais le papier de ce matin attira de nouveau mon attention. Je le pris en main et le fixa. Ça devait certainement être une fille qui avait écrit, l'écriture était belle et très soignée et sans ratures, c'était même signé. D'un pseudo un peu étrange mais j'avais une trace de la personne. Est ce que la personne qui avait mis ça dans mon casier s'attend à une réponse de ma part ? Je ne sais pas quoi faire en réalité. Et si ce quelqu'un faisait cela pour se foutre de moi, non parce que ce genre de questions ça ne se pose pas tout les jours à chaque coins de rue. En plus de ça le papier dégage une légère odeur de caoutchouc avec une odeur fruité. La personne l'avais certainement collé à quelque chose qui sentait bon. Je pose ma tête sur l'oreiller et observe le plafond. Pourquoi est ce que ce papier c'est retrouvé dans mon casier et pas dans un autre ?

Après quelque minutes de réflexion je tombe dans l'inconscient. Le pays des rêves me tend les bras mais ce papier ne va pas me laisser m'en tirer comme ça.

" À quoi sert la vie ? - Océan "





A Simple Paper. ( Larry Stylinson)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant