Diagzel

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{ Belgique : Bruxelles } ♤


Les yeux plongés dans la vitrine de l'aquarium, mes idées deviennent de plus en plus précise. Le démon qui sommeil en moi est de plus en plus impatient, la montre tourne, aujourd'hui six ans ce sont écoulés sans que je n'ai pu trouver cette traînée ayant volé la moitié de mes biens, elle m'a prise pour acquis ainsi elle a réussi son coup à merveille.
Tourment ne sera que mal face à cette catin qui sait joué de moi.

Le corps du lapin à la main, je jette ce dernier dans l'aquarium de Sízma, mon charmant python royal, en l'espace de quelques seconde il enroule sa proie puis la serre jusqu'à en faire un jus :

—  Bien Sísma, sa c'est mon fils. Félicitais je en claquant des mains.

Par tous mes ancêtres, je jure de la retrouver et lui faire absolument tous payer,
L'éclair frappera tellement fort dans ces neurones qu'elle comprendra qu'on ne ce joue pas de moi comme elle a fait, cette altiste regretta chaque instant de sa vie.

Un démon, voilà ce que je suis devenu, certes je l'ai toujours été mais à présent l'un des plus déstructeur, qu'elle continue à savourer pleinement sa misérable vie, car entre elle et le néant un seul centimètre y est placé.

J'enfile ma chemise noir posé sur l'un de mes sofa favoris, dessus y est marqué mon prénom, une fois mise, je m'installe sur mon fauteuil puis allume un cigare.
Son portrait est installé sur le mural, j'attrape la première fléchette qui me viens sous la main et la projette droit dans ces yeux de vipère :

— Tu ne paies rien pour attendre, Mila.

C'était l'une de mes derrière flèches, toute sont plantés sur chacune partie de son portrait et ma préféré c'est celle fixé sur son nez.

* Bruit de portes

Quel est l'abrutit qui est encore rentré, mes hommes sont tous simplement désésperant sauf Carlo, lui c'est le seul que je supporte.

—  Patron, votre mère est devant le portail. M'informa le guignol au ventre énorme.

— Ton ventre dépasse, remets correctement ton teeshirt tu veux ?

À l'instant qui suit, il ne prit pas une seule seconde de plus et s'empressa de le remettre en place, je me lève et va en sa direction, je lui tend mon cigare en crachant une épaisse fumée blanche, il l'a prit en tremblant, ces yeux étaient fixé au sol et son visage devint soudainement rouge, en lui on pouvait clairement sentir la peur, l'effroi je dirais et j'aime sa, j'adore que l'on me craint comme il le fait.

Son visage était rempli de sueur, je pris une goutte et dis :

— Ne sois pas stressé l'ami, respire et va prendre place sur mon sofa, il y a une bouteille de vin rouge bien fraîche sur la table basse posé la bas tu peux te servir.

— C'est gentille mais je n'ai pas très soif, répondit t'il en gardant la tête haute.
Le cigare me suffit très bien, c'est un honneur de pouvoir fumé cette merveille.

Tous le monde me crains, peu ose me regarder dans les iris, et ceux qui ont essayé ne se sont pas sortis indemne, et comparé aux autres lui est plutôt malin, j'admire son intelligence .

Regle numéro 1 :  ne jamais s'asseoir sur le fauteuil de Diagzel.

Moi l'unique Diagzel.

Car effectivement je l'aurais cogner juste après qu'il ce soit installé sur mon unique sofa, Puis ensuite il aurait passer ces jours aux côtés des frères de sísma dans une cage assez close. Surtout que d'après mes souvenirs ce sont de très vilaines créatures qui tuent de sang froid, il manque terriblement d'éducation ces bêtes sauvage, même si il faut l'avouer qu'elles me sont d'une très grande utilité :

— Accompagne la jusqu'à la salle d'honneur, je vous rejoins quand j'aurais terminé.
Informais je en sortant de la pièce.

Informais je en sortant de la pièce

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