Diagzel

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{ Belgique : Bruxelles }

10 : 40

Mes cheveux noirs plaqués vers l'arrière et ma ceinture correctement bouclé qui empêche mon magnifique pantalon cigarette noir charbon de tomber sont en place, au préalable je recharge mon calibre que je range par la suite sous mes vêtements actuel. Il est vrai que c'est ma mère mais rappelons le, une mère d'adoptive , lui faire confiance les yeux fermés serait une erreur stupide de ma part.

Sa présence aujourd'hui n'éveille que soupçon et méfiance en moi, pourquoi viendrait t'elle me rendre visite ? et surtout à une heure si matinale ?
Quoi qu'il en soit je ne la crains absolument pas, la seul chose dont je suis certains c'est qu'une mauvaise nouvelle va mettre annoncée.

La salle d'honneur est située au dessus de moi, cette endroit je l'ai faites appeler ainsi car dans ce lieu , les réunions les plus importantes y sont effectuées, les murs de ce dernier son anti-bruit, aucun son ne traverse les murs de ce dernière, ce qui est dit à l'intérieur y reste, une salle que je trouve plus qu'indispensable pour des hommes puissants comme nous.

Membre de la mafia depuis mon plus jeune âge, tous m'a été legué, du plafond jusqu'au sol.
Mon oncle et mon géniteur étaient d'une complicité formel, effectivement c'est de là qu'ils ont créé cette énorme business, d'après le récit de mon oncle son arrière grand-père faisait lui même parti de la mafia environ 125 ans en arrière, donc cette légation est transmise de génération en génération.

Ainsi j'ai pris le relai en améliorant de nombreuses choses, les collaborations avec d'autres mafieux a été mise en place depuis peu, ainsi nos affaires tourne comme sur des petites roulettes.
Certes ce monde est d'un danger sans merci et pour y survivre il faut avoir une paire de couilles bien solide.

La pitié n'a pas sa place dans le jeu, un règne du niveau supérieur à z est attendu pour que le respect d'autrui s'imprègne dans tes veines, au sommet de cette puissance ce loge une clé et pour l'obtenir, diable sois l'âme qui sacrifiera l'ensemble de ces biens.

En effet, l'intermédiaire entre toute ces étapes ont pour moi été, aussi simple que de l'eau de roche. Mon géniteur m'a toujours appris de n'avoir aucune pitié, car c'est la réponse de la faiblesse, le monde est cruel alors pour gagner la bataille l'unique moyen de ne pas couler est de ce montrer aussi robuste que la roche en elle même.

En aucun cas la douceur sera dans mes coordonnées, de la haine au combat, du combat à la violence voilà dans quoi j'ai grandis, je suis une machine de guerre, l'amour de cette femme payé par mon père pour qu'elle me donne l'amour dont j'ai besoin ne m'ont été d'aucune utilité, le jour ou l'on m'a appris que ma mère m'avais abandonnée à la naissance fut le jour ou mon cœur a bloqué ces portes ne laissant aucune forme d'amour ou de tendresse y entrer.

Rien que de l'avoir sortit de la bouche me donne envie de gerber.

Les portes de la salle d'honneur sont closes, elles pèsent chacune une tonne mais c'est avec facilité que je les tires vers moi pour les ouvrirs, ma mère ce tiens debout près de la fenêtre observant la vue qui donne directement sur mon immense jardin que je changes chaque années.

— Bonjour mère, qu'est ce qui vous emmène ici à une heure si matinale ?
Questionnais je pour lui informer de ma présence .

— La pelouse est particulièrement brillante aujourd'hui, tu devrais payer plus ton jardinier, après tous c'est très compliqué d'entretenir ce genre de végétations. Elle ce tourna lentement en ma direction. Je ne voulais pas m'installer sans ton autorisation mais maintenant que tu es là, me permets tu de m'assoir ?

— Installez vous, je vais vous chercher de quoi boire. Dis je en l'invitant à prendre place.

— De préférence du vin rouge, tous ce chemin ma donnée une soif immense.

Je pars en direction de mon antre ou réside mes bouteilles d'alcool toute raffinées les unes que les autres, dans cette même pièce ce trouve différentes types de drogue de la plus légère à la plus forte. En toute honnêteté je n'ai jamais songé à en consommer ne serais ce qu'un petit bout, pour une raison qui m'est inconnue cela m'a toujours écœurer, sa paraît étrange de vendre en grande quantité un produit et ne pas en user, mais au vue des conséquences qu'à cette simple poudre aux airs inoffensifs sur mes clients, je préfère largement m'en abstenir.

— Il s'avère qu'une de tes cargaisons d'un montant qui je le rappel était de cinq milles euros n'est toujours pas arrivé à destination final. Dit t'elle en déposant son sac à main et en retirant ces lunettes. Ton oncle soupçonne le clan des J.Egles d'avoir tuer tes hommes chargés de te les emmenés pour récupérer la marchandises.

Les J.Egles sont nos ennemis de première, celui qui est à la tête de ce groupe est un adversaire de mon oncle, ils ce ne ce sont pas toujours haïs, car il fut un temps où tous trois étaient de fort bon amis, ils créaient à eux trois, mon père, mon oncle et lui un trio redoutable, mais lorsque qu'une gonzesse décida de rentrer dans leur vies, la jalousie entre mon oncle et le fondateur de J.Egles qu'on nomme ici

"La plume"

a alors éclaté et voilà comment une simple femme détruit une amitié qui au départ paraissaient tres solide, à l'heure actuel je ne sais ce qu'elle est devenue, mais une chose est sûr c'est que mon oncle est toujours amoureux de cette traînée.

— Qu'est ce que je peux faire face à cette enculé sans scrupule ? j'ai capturé au moins quatre de ces hommes pour le menacer, je les ai torturés puis envoyé les vidéos mais il semble que sa ne lui est rien fait, j'ai également enlever sa petite sœur pendant 1 semaine mais sans effet, je l'ai donc relâché car elle ne mérite absolument pas de payer pour son connard qui lui sert de grand frère ! Tous ce merdier pour une femme qui ne l'a sans doute jamais aimé, si jamais je retrouve cet bête de foire je lui enfoncerais mon poing dans la gorge et lui foutrais des bâtons d'ensens droit dans les narines pour fumer ces idées idiotes qui lui traverse le pois chiche qui lui sert de cerveau.

Affirmais je énervé en lui servant un verre de vins, la pression de mon corps étant trop forte, le verre explosa entre ma main, éclaboussant ainsi la tenue de Rita, des micros morceaux de verres vint s'imprégner dans ma peau au niveau de mes doigts, mais aucune douleur ne ce faisait ressentir.

Aucune.

Aucune

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Souffle Brisé Où les histoires vivent. Découvrez maintenant