Numéro Sept (Jeff the killer x oc) {EN COURS]

Chapitre 8

la lumière des luminaires blancs de la salle s'allume et me réveille en même temps. Je vois un petit tas de vêtements posés sur ma chaise de bureau ainsi que mon téléphone posé sur mon bureau. Je m'empresse d'aller me changer et de mettre toutes mes affaires dans mon sac. Mon téléphone allant, quant à lui, dans ma poche de manteau. Père arrive alors je mets mes chaussures et prend mon sac avant de partir avec lui sans oublier mon manteau.

Dans la voiture, il me dit qu'après le lycée, il y aura une rencontre avec les soldats de la fameuse organisation "Creepyhunter" pour leur montrer tout ce que je sais faire et pour voir quand est-ce que je pourrais partir avec eux en mission contre les habitants de la forêt. Je raterais surement quelques jours de cours mais il dirait au lycée que je serai en hospitalisation pour "raisons personnelles". Ce sera également l'excuse que je devrais donner si jamais on me demande.

Arrivé au lycée, il me dit une dernière chose je ne compris pas trop. "Ne t'attache pas trop à tes amis si tu ne veux pas avoir de peine." Un peu déboussolée, je sors de la voiture avec toutes mes affaires et vois les garçons me saluer de l'autre côté de la rue. Je traverse en faisant bien attentions aux voitures puis j'arrive à leurs rencontres.

"- Salut les gars."

je leur fais un petit signe de mains pour les saluer.

"- Yo." Me dirent-ils ensemble.

Il me font le même geste de salutation.

"- Vous allez bien?

- Nous ouais mais toi? Avec ta tête ça va? Me demanda Ben.

- Oui. D'après mon père, je pourrais enlever le bandage ce soir normalement. Il me l'a refait hier soir."

On continue de discuter un peu avant que Ben reparte et que Jeff et moi on rentre dans le lycée. Jeff et moi partons nous mettre dans un couloir où on commence à avoir l'habitude d'aller pour se poser. On se pose tranquillement en déposant nos sacs à côté de nous. La discussion recommence avec des banalités. On commence vraiment à sympathiser mais je commence à me sentir soudainement très triste en repensant à ma vie et à comment je suis traitée dans cet hôpital. J'entend les autres élèves parler autour de moi de leurs sorties en dehors des cours et de leurs relations fusionnelles avec leurs parents. Jeff le remarque et me prend la main. Je le regarde sans comprendre son geste.

"- Hey.. ça va?"

Je soupire en me rappelant que je ne pouvais pas parler de ce que je vivais chez moi. Alors j'essaye de lui en parler en restant le plus vague possible.

"- Ouai.. C'est juste que je me sens très seule.. Comme tu le sais, je vie seulement avec mon père et avec son travail, je suis souvent seule dans ma chambre.. J'ai pas vraiment le droit de sortir et de voir du monde sauf quand je viens au lycée.. Je me sens vraiment différente de toutes les personnes de notre âge.. Et ça, ça me rend un peu triste.. mais je n'y peux rien c'est comme ça."

Après lui avoir dit ça, ça sonne. Alors on se relève et on va dans notre salle de cours. On ne s'échange plus aucun mot, allant tous deux à nos places respectives qui sont en fait juste à côté. La prof de SVT arrive. Je sors mes affaires et me mets directement dans le cours et écrit tout ce que l'adulte nous apprend.

*   *   *

A la fin de ma journée de cours, Jeff et moi parlons en sortant du lycée. Je vois la voiture de mon père.

"- Je vais devoir y aller Jeff, je te dis à demain."

On se dit au revoir et je monte dans la voiture de mon père. On commence à partir en parlant. La route est la même que d'habitude et se finit comme à son habitude à l'hôpital. Avant que je sorte de la voiture, mon père me prend doucement le bras et me regarde sérieusement.

"- Sache que dans tous les cas, je suis très fière que tu aies réussi à aller jusqu'à la fin de toutes ces opérations. Ils vont sûrement te voir comme un animal ou comme un monstre, mais ce n'est absolument pas le cas. C'est moi qui t'ai créée comme ça. Tu es une personne incroyable et extraordinaire."

Il me sourit et je lui étire timidement mes lèvres vers le haut. On sort ensuite de la voiture, on va dans ma chambre pour déposer mes affaires de cours puis on monte dans la salle de réunion. Pendant tout le chemin, il me tient la main d'une manière affectueuse. Certains gardes et scientifiques me regardent d'une façon que s' ils avaient des fusils dans les yeux, ils me tueraient. 

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807 mots 

Comme je vous l'ai dit dans le précédant chapitre, si je veux continuer à vous sortir un chapitre par semaine, je suis contrainte de raccourcir les chapitre. J'ai presque plus d'avance dans l'écriture donc potentiellement que prochainement il faudra attendre que l'inspiration arrive. 

Je suis en congé du 6 au 13 et je pars sans mon PC donc je vais voir pour faire en sorte de programmer la sortie d'un chapitre autrement je vous le sortirai courant de la semaine qui arrive.