Le lendemain du débat, les bureaux de Gabriel et Jordan étaient en effervescence. Les téléphones n’arrêtaient pas de sonner, les assistants couraient dans tous les sens, et les médias spéculaient sur les échanges tendus de la veille. Mais dans l'ombre, une tension plus insidieuse se préparait.
Marine Le Pen, furieuse et déterminée, ruminait sa colère. Elle avait passé la nuit à échafauder des plans pour se débarrasser de cette relation qu’elle voyait comme une menace. Son esprit calculateur et stratégique s’activait sans relâche. Elle savait qu'elle devait agir rapidement et de manière décisive pour préserver son mouvement politique.
Marine convoqua un conseil restreint avec ses plus fidèles alliés. Dans une pièce sombre et isolée, loin des oreilles indiscrètes, elle exposa la situation et son plan.
- L'heure est grave, au début je ne voulais pas rendre cette histoire publique, mais il faut que je trouve de l'aide. Jordan Bardella et Gabriel Attal ont une relation particulière, cela me dégoûte rien que d'en parler. Par conséquent nous ne pouvons pas permettre que cette relation entre Jordan et Gabriel fragilise notre position. Nous devons prendre des mesures pour nous assurer que cela ne devienne jamais un problème pour le Rassemblement Nationale. Expliqua-t-elle d’une voix glaciale.
Ses alliés acquiescèrent, bien conscients de l’enjeu. Marine savait qu’elle devait frapper fort et juste.
Pendant ce temps, Gabriel et Jordan tentaient de reprendre une vie normale après le débat. Ils avaient convenu de se retrouver discrètement dans un petit café à l'abri des regards pour discuter de la suite des événements et d'autres sujets. Assis à une table au fond, ils étaient plongés dans une conversation sérieuse.
- Gabriel, je ne sais pas combien de temps nous pourrons continuer comme ça. La pression devient insupportable. Murmura Jordan, jetant des regards nerveux autour de lui.
Gabriel hocha la tête, partageant son inquiétude.
- Je sais, Jordan. Mais nous devons rester forts. On trouvera un moyen de faire face à tout cela. Dit-il, posant une main réconfortante sur celle de Jordan.
- Gabriel d'ailleurs peut on en profiter d'être seuls pour....?
Gabriel le regarda avec incompréhension.
- En fait je meurt d'envie depuis qu'on s'est rejoins ici, accompagne moi aux toilettes. Continua Jordan, en regardant Gabriel droit dans les yeux.
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Surpris par sa demande urgente, Gabriel se leva et fit un signe de la tête à Jordan, lui indiquant de le suivre. Une fois arrivés dans les toilettes, la tension monte. Jordan ferme immédiatement à clé et les deux corps se rejoignirent, attirés l'un par l'autre. Gabriel commença à déboutonner sa chemise, ce qui fit son effet à Jordan.
- Gabriel, tu me rends fou, dit Jordan en haletant.
Jordan se précipita dans le cou de Gabriel, le recouvrant de baisers. Gabriel laissa échapper un soupir de plaisir, ses mains explorant le dos de Jordan, sentant chaque muscle se tendre sous ses doigts.
- Jordan, nous devons être discrets... Murmura Gabriel, sa voix tremblante d'excitation.
- Je sais, mais j'en ai tellement besoin, là, tout de suite. Répondit Jordan.
Leurs lèvres se rencontrèrent dans un baiser fougueux, leurs langues dansant ensemble dans une frénésie passionnée. Gabriel sentait son désir grandir, l'adrénaline se mêlant à l'interdit de leur situation.
Jordan fit glisser la chemise de Gabriel le long de ses épaules, exposant sa peau nue. Il laissa ses lèvres descendre le long de la clavicule de Gabriel, ses mains explorant chaque centimètre de son torse.
Gabriel, pris par l'intensité du moment, attrapa le bas de la chemise de Jordan et la tira par-dessus sa tête, révélant son corps sculpté. Il embrassa avidement chaque parcelle de peau à sa portée, ses mains glissant sur les muscles tendus de Jordan.
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Interdiction [ BARDELLA X ATTAL ]
FanficTW : nsfw, violences, 🟣 Au cœur d'une arène politique, Gabriel Attal et Jordan Bardella se livrent une bataille idéologique féroce sur fond de débats politiques brûlants. Leur rivalité se transforme lentement en une connexion inattendue lorsqu'une...