J'aurais voulu t'écrire un poème, à toi qui a su me pardonner, D'un sourire radiant, qui fut partager, Est-ce mon esprit qui me guide ces mots, Ou quelque chose de plus profond qui semble sonné faux ?
Blème, je suis resté en te laissant des mois errant, Comme un voile invisible, froid et incertain ; L'esprit ailleurs, je t'écris de ma main, Ces quelques lignes fébriles comme si j'étais un amant.
Oh ! Lointains souvenirs accablés par une précoce nostalgie, Aurais-je été châtié pour t'avoir laissé ? Douce souriante, érudite passionnée, Mes erreurs envers toi m'ont longtemps meurtrie.
Ainsi, je vais, à nouveau te quitter, Dans mes songes accablants, te voir à su éveiller, Une nouvelle étincelle qui me pousse à dire Merci, je n'oublierais ni ton être ni ton rire.
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