Désolé monsieur Aizawa

Chapitres 1

PDV Aizawa

Aizawa était en train de regarder la télé dans son salon, il profitait de son samedi en restant dans son canapé en zappant sur les chaînes toutes les 30 secondes lorsqu'une alerte s'affichas sur sa télévision.

Oh putain... Il vont nous dire quoi encore ? J'aime vraiment pas l'actualité surtout quand on me l'impose mais je n'ai rien d'autre à faire donc autant écouter.

Journaliste : il y a quelques heures nous avons retrouvé le corps du héro Endeavor qui vient de se faire assassiner.

Endeavor assassiné ? J'ai un peu de mal à y croire mais je ne vois pas pourquoi les journalistes mentirais même si je ne vois pas qui aurait une réelle raison de le tué et surtout qu'il est dans les plus fort alors cette personne à du avoir mal à le tuer.

Aizawa écoutes attentivement les informations en espérant savoir qui peut bien être l'assassin ou simplement si ils ont une piste. Il a dû attendre une bonne vingtaine de minutes mais il a enfin l'info qui l'intéresser.

Journaliste : Les analyses ADN sont formels, il y a 99% de chance que cette assassin est un ou plusieurs enfants de Endeavor mais il nous faudra des recherches plus poussée pour connaître l'identité de cette personne.

Si ils savent de quel famille appartient l'assassin, il leurs faudra plusieurs semaines avant de connaître la réelle identité de cette personne bien que ça nous laisse que 4 personnes. Dabi, Natsuo, Fuyumi et Shoto.

J'espère sincèrement que ce n'est pas Shoto l'auteur de se crime car bien qu'il n'aimait pas vraiment son père, il ne peut pas faire ça. Aucun de mes poulain ne peut faire de crimes surtout pas de parricide.

Aizawa n'écoute plus ce qu'il se dit à la télévision, il réfléchit pour savoir lequel des enfants de Endeavor aurait pu le tué en essayant d'innocenter son élève bien qu'il sait que si il s'agit d'une seule personne, seul Shoto et Dabi on les capacités de faire de t-elle atrocités envers une personne aussi forte.

Le héro professionnel ne c'était pas aperçu qu'une tête qu'il ne connaissait que trop bien venait d'arriver dans son appartement mais lorsqu'il s'aperçut de sa présence ce qu'il lui marque le plus ce n'est pas le fait qu'il sois chez lui sans autorisation mais sa tenue.

Lui qu'il connaissait son élève par cœur, généralement il porte des vêtements coloré ou très clair alors que là il était habillé presque entièrement en noir simplement l'intérieur de la capuche de son sweat qui est rouge.

Aizawa : Shoto, promet moi que tu n'y es pour rien dans cette assassinat.

Shoto : pardon monsieur Aizawa, j'ai fait ça pour ma famille.

Aizawa : tu n'avais pas à faire ça ! Il avait d'autres solutions !

Shoto : je me devais de tous nous venger, je n'avais pas le choix.

Aizawa : tu as toujours le choix, Shoto tu te rends compte de ce que tu as fait ?

Shoto : je le sais pertinemment mais je suis enfin libéré !

Ce n'est plus mon élève que j'ai en face de moi mais un vrai monstre pourtant je ne me vois pas l'arrêter ni le ramené à la police. Je ne comprends pas pourquoi il est arrivé à une t-elle extrémités mais ça reste un de mes protégé...

Aizawa garde son calme habituel mais on peut parfaitement entendre dans sa voix qu'il a peur. Shoto n'a certes pas l'air de vouloir le tué mais il s'inquiète pour son élève, il ne veut pas qu'il lui arrive quoique ce soit à cause d'une erreur.

Aizawa : qu'a t-il fait pour te faire craqué ? Tu n'as jamais étais violent avant.

Shoto : il allait levé la main sur ma sœur, c'était le geste de trop. Ça lui a était fatal.

Aizawa : tu aurais pu le dénoncer à la police au lieu de le tué !

Shoto : ça aurait servi à quoi hein ? Il serait ressorti une heure plus tard en payant simplement une amande !

Aizawa : tu n'as pas tord mais tu n'avais pas à faire justice toi-même !

Il n'a que 16 ans et il vient de détruire sa vie sous une colère noir. J'ignore si il va entrer dans le côté des méchant ou non mais j'espère qu'il va réussir à survivre en étant un ennemis de la justice, après tout ce n'est pas n'importe qui qu'il vient de tuer mais son propre père qui se trouve être le héro numéro un.

Shoto : Aizawa sensei ? Qu'aller vous faire ?

Aizawa : je ne te dénoncerais pas mais je ne peux pas te couvrir pour autant.

Shoto : c'est déjà bien, j'attendais pas autant d'une personne qui lutte pour la justice.

Aizawa : tu es un de mes élèves et tu en seras toujours un alors je ne peux pas te mettre en prison même si c'est mon rôle...

Franchement j'espère que l'on viendra pas m'interroger car même si je ne dirais pas son nom de mon plein gré, je serais bien obligé de le faire si je risque de perdre mon poste.

Il m'a vraiment mit dans une situation délicate en me rendant une visite surprise après son meurtre. Je me retrouve en quelques sortes complice sans même le vouloir.

Shoto : vous êtes vraiment le meilleur Sensei, je suis désolé mais je ne pourrai plus venir vous voir pour ma sécurité et la vôtre.

Aizawa: je dois dire que ça m'arrange car je risquerait beaucoup trop de choses si ils se rendraient compte que tu viens régulièrement me rendre visite.

Shoto : Là encore, je savais que vous me direz ça. Je m'en vais Sensei, prenez bien soins d'Eri et vous surtout.

Aizawa : merci, fait attention à toi surtout. J'espère vraiment que tu ne te fera jamais attrapé par la police.

Shoto : je ferais attention, mon alter me servira à me défendre au pire.

Suite à cette phrase, Shoto adresse un faible sourire à celui qui resteras son Sensei malgré tout avant de prendre la fuite par la fenêtre du salon. Aizawa met son visage entre ses mains en se demandant qu'à t-il pu rater pour que Shoto en ais arrivé là.

Si j'ai pas réussi à faire attention à Shoto alors qu'il s'agissait d'un de mes élèves les plus proches alors est-ce que je serai un bon père adoptif pour Eri ? J'ai pas envie que la petite prennent le même chemin plus tard même si elle a un père incapable de faire attention au personne à qui il tient...

À suivre...