𝙑𝙚𝙧𝙩𝙞𝙜𝙚

𝓒𝓱𝓪𝓹𝓲𝓽𝓻𝓮 28 ✔️

///ATTENTION !!! SCENE A CARACTERE SEXUEL///

La chambre était plongée dans une douce obscurité, seulement éclairée par un mince filet de lune passant à travers les rideaux. Bart se glissa dans le lit à côté de moi, son corps chaud contre le mien. Le silence de la pièce était ponctué par nos respirations.

Bart passa un bras autour de moi, m'attirant contre lui. Son souffle chaud effleurait ma nuque, et je sentais son cœur battre contre mon dos.

— Je suis content que tu sois restée, murmura-t-il, sa voix grave résonnant dans l'obscurité.

— Moi aussi, répondis-je, ma voix à peine audible.

Le silence s'installa de nouveau, lourd de tension. Je sentais son regard sur moi, scrutant chaque mouvement, chaque souffle. Mon cœur tambourinait dans ma poitrine, la proximité de son corps me rendait fébrile. Je n'avais jamais ressenti une telle intensité, une telle anticipation.

Je me retournai lentement pour lui faire face. Nos visages n'étaient qu'à quelques centimètres l'un de l'autre. Ses yeux verts, sombres et profonds dans la pénombre, brûlaient d'un désir à peine contenu. Je pouvais sentir la tension dans l'air, électrique, presque palpable.

Bart leva une main hésitante, la posant doucement sur ma joue. Ses doigts étaient chauds contre ma peau, envoyant des frissons dans tout mon corps. Il se mordit la lèvre, ses yeux ne quittant pas les miens, cherchant une réponse, une permission.

— Nelly... murmura-t-il, sa voix rauque et incertaine.

Je ne pouvais plus attendre. Mon corps entier réclamait le sien. Je fermai les yeux et rapprochai mon visage du sien, comblant enfin la distance entre nous. Nos lèvres se rencontrèrent dans un baiser ardent, une explosion de passion contenue trop longtemps.

Bart répondit immédiatement, ses bras m'enveloppant fermement. Ses lèvres étaient douces mais insistantes, ses baisers profonds et dévorants. Je m'accrochai à lui, mes doigts se glissant dans ses cheveux, l'attirant encore plus près.

Il bascula légèrement, me plaçant sous lui sans jamais rompre notre baiser. Ses mains commencèrent à explorer mon corps avec une délicatesse et une envie palpable. Ses doigts traçaient des chemins brûlants sur ma peau, déclenchant des gémissements de plaisir que je ne pouvais retenir.

— Bart... murmurai-je contre ses lèvres, sentant son désir croître en moi.

Ses mains descendirent lentement, explorant chaque courbe de mon corps avec une tendresse mêlée de passion. Il s'arrêta un instant, ses yeux me cherchant dans l'obscurité, cherchant une dernière confirmation. Je hochai doucement la tête, incapable de parler, mes yeux plongés dans les siens, noirs de désir.

Il ne se fit pas prier. Ses doigts trouvèrent mon intimité, déclenchant une vague de plaisir intense qui me fit haleter. Je sentais chaque caresse, chaque mouvement avec une acuité déconcertante. Ses lèvres retrouvèrent les miennes, plus insatiables que jamais, tandis que ses mains continuaient leur exploration intime et passionnée.

Nos corps se mouvaient en parfaite synchronie, chaque geste, chaque soupir alimentant notre désir mutuel. La tension entre nous atteignit son paroxysme, se libérant dans un moment de pure passion.

Je me laissai emporter, mes sens envahis par lui, par nous. Nos corps parlaient un langage ancien, celui de la passion et de l'envie, un langage que nous avions trop longtemps ignoré. Cette nuit-là, nous cédâmes enfin à la tentation, laissant nos désirs nous guider, unis dans une étreinte ardente et inoubliable.

Bart remontait lentement ses mains vers ma poitrine, interrompant la montée de plaisir qui envahissait tout mon être. À la place, une vague de sensations tout aussi agréables s'empara de moi. Ses doigts parcouraient ma peau avec une expertise et une tendresse que je n'avais jamais connues. Il titillait mes points sensibles, déclenchant des frissons à chaque caresse. J'adorais ça, et dans un élan de désir, je réclamai ses lèvres pour un autre baiser.