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Ce qui résidait entre ces deux saluts, c'était le regard brun et séducteur de ses iris, qui lui faisait palpiter le cœur. Entre les milliers d'étoiles, le noir des cheveux du jeune homme était l'astre lunaire qui illuminait sa peau laiteuse, comme le tableau de l'univers.
La lueur douce de la lune éclairait sa peau laiteuse, caressant délicatement le visage du jeune homme. Son souffle s'accélérait légèrement, tandis que sa respiration devenait erratique et que ses pensées . s'assombrissaient. La frontière entre la folie et la passion n'était que de l'épaisseur d'un mot, d'une simple phrase parfois, mais le plus souvent, c'était un geste.
Il se plaisait à rester dans les ténèbres, là où la lumière ne pouvait pas l'atteindre. Ses lèvres devenaient sèches et déchirées, mais son cœur continuait de battre avec force, créant un décalage, comme si le temps n'existait plus.
Il pensa à tout ce qu'il avait sacrifié pour en arriver là, regarda ces choix comme l'aboutissement de quelque chose de diabolique. Un suicide presque heureux qui ne faisait que développer davantage ses idées, toujours plus féroces chacune que la précédente.
Ses yeux se dilatèrent, un sourire malicieux s'étala sur son visage tandis qu'il attendait patiemment. Il se transformait en un vilain personnage de bande dessinée, celui qui effraie les enfants chaque soir. Mais voilà, c'était la vie.
Ses pensées étaient obsédées par un seul désir : obtenir ce qu'il voulait à tout prix. Il tremblait d'excitation et d'impatience, enivré par sa propre détermination. Il sentait chaque parcelle de son être parcourir par un courant électrique qui semblait lui insuffler une nouvelle vitalité.
Son regard devint féroce et intense, ses muscles se tendirent et ses griffes se crispèrent en une étreinte fébrile. Son souffle devint superficiel et court, comme s'il avait soudainement perdu tout contrôle sur son propre corps. Il n'était plus que cette créature primitive animée par un seul besoin.
Ses yeux brillaient de luxure et de désir, mais un sentiment malsain et obsessionnel courait le long de sa colonne vertébrale, faisant frémir son corps. Il se mordit légèrement la lèvre inférieure. Ses pensées déviantes le hantaient, même dans ses cauchemards.
Sa main glissa lentement sur son corps, caressant sa peau à l'endroit le plus sensible, dans cette allée obscure où un simple regard de sa part le faisait s'agiter.
Son cœur battait à toute allure, chaque palpitation résonnant dans ses tympans comme un tambour incessant. Il ne pouvait détacher ses yeux de sa cible, observait chaque mouvement dans les moindres détails, comme si le temps s'était suspendu. Son corps frissonnait d’excitation, chaque parcelle tendue dans l’attente et prête à bondir.
Il caressa doucement la couverture de son livre préféré, les pages froissées par des années de lectures répétées. Son esprit se rappella tous les moments où il avait dévoré chaque mot, ressenti chaque émotion.