IMAGINE

☆

Mon "mari", car notre amour n'est qu'un mariage arrangé, est dans la mafia.

Il rentre tous les soirs avec de nouvelles blessures...

Des balles, des coups de couteau, ou encore des bagarres qui ont mal tournées.

Je suis sur le canapé en train de regarder ma série, en pyjama.

J'entends la porte d'entrée s'ouvrir, je me retourne et je vois Angel, mon mari.

-Coucou. Dis-je.

-Salut, gruaja ime (Ma femme en albanais).

Il dépose un baiser sur mon front, puis il part se doucher.

Lorsqu'il revient il est en caleçon.

Je ne l'entends pas venir vers moi, donc je me retourne pour le trouver dos à moi, en train de réchauffer nos plats.

De grosses griffures sont présentes dans son dos.

Certaines ont même fais saigné sa peau à certains endroits.

-Tu t'es encore battu ? Je lui demande, intriguée.

Il fronce les sourcils, et me répond.

-Non, pourquoi ?

-Tu as des griffures imposantes dans ton dos, Angel.

Un sourire apparaît alors sur ses lèvres charnues.

Il s'approche alors de moi.

Il caresse ma joue, d'un geste tendre.

Puis il dépose un doux baiser sur mes lèvres, qui se transforme un baiser fiévreux.

-Tu ne te souviens pas de ce que tu m'as fais hier ? Me demande-t-il.

Il soulève alors mon débardeur, puis il me couche sur le canapé, il se place au dessus de moi.

Il passe ses mains dans mon dos et il me griffe.

-Aie, pourquoi tu fais ça Angel ?

Il me soulève, me place dos au miroir du salon, puis il prend une photo.

Il me montre la photo qu'il a prise, mon dos en plein de griffures.

-Ne trouves-tu pas que ça ressemble à mes griffures ? Me demande-t-il.

Et là je comprend tout.

-Oh non... Ne me dis pas qu'on a...

-Si, gruaja ime, on a fais l'amour hier, et je peux te dire que tu suces à merveille.

Mes joues rougissent de honte, de ne pas me souvenir de ça.

-Mais comment je ne peux pas m'en souvenir ? Lui demande-je.

-Tu avais un peu trop bu à la soirée hier... Et que je t'ai ramené à la maison, tu t'es mis à genoux devant moi, puis tu as défais ma braguette, et tu as commencé à sortir le monstre. Je t'ai demandé si tu voulais vraiment le faire, et pour me répondre tu as enfoncé ma bite dans ta gorge... Tu étais vraiment exitée hier, me dit-il avec un grand sourire.

-La honte... Répond-je.