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Je descends les escaliers afin d'atteindre le salon d'où j'entends des rires depuis à peu près une heure ainsi qu'une musique en fond qui m'empêche de dormir.

Je suis vêtue d'un tee-shirt à mon grand frère ainsi qu'une culotte en dentelle noire.

Arrivée dans le salon, j'y voit 5 garçons, dont mon frère, ainsi que 1 fille que je déteste.

Elle est assise sur mon ennemi, une vrai barbie celle-là.

Mon ennemi qui est aussi le meilleur ami de mon frère.

Intouchable.

Le fait qu'elle soit assise sur lui, me rend extrêmement jalouse même si je ne le devrais pas.

-Putain ! Y/n va te changer dépêche toi. M'ordonne mon frère.

Alors que tous le monde le regarde.

Je remarque le regard insistant de H/n sur mes jambes dénudées.

Sa mâchoire se contracte à leur vue.

-Pour info, je suis tout autant chez toi que chez moi, alors si tes copains ne savent pas contenir leur bite, tu te démerdes. Lui réponds-je.

Il souffle en réponse.

Ses copains commencent à rire.

Leurs regards sur mes jambes me mets mal alaise.

Mais j'évite de le montrer.

H/n pousse la barbie qui était assise sur lui, il attrape un cousin et il le plaque sur son entre-jambe.

-Tu fais la pute maintenant ? Me demande-t-il un sourire aux lèvres.

-Bah quoi ? T'aimes plus les putes maintenant ? Je lui réponds avec le même sourire.

Tandis que je fixe la barbie qui râle que H/n l'ai dégagé.

Elle se dirige alors vers la porte d'entrée puis elle s'en va, énervée.

Je regarde alors H/n qui était en train de me fixer.

Il écarte les jambes et il me fait signe de venir m'asseoir sur lui.

Tandis que ses copains ainsi que mon frère reprennent leur fifa.

Je m'assoie et je sens une bosse derrière mes fesses.

-J'adore ta petite culotte, chérie. Me dit-il en touchant la couture de celle-ci.

-H/n plus tard on est pas seul là. Lui rappelle-je.

Il souffle de mécontentement.

-Bon aller je vais me coucher, bonne nuit. Dis-je aux garçons.

Puis je me lève de H/n et je me penche vers son oreille puis lui chuchote.

-Tu me rejoins vers minuit d'accord ?

-Avec grand plaisir. Me répond-il en m'adressant une légère claque sur les fesses avant de me laisser monter.

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