IMAGINE

☆

Je fête la Saint-Valentin avec mon copain.

Je lui ai envoyé plusieurs messages, auxquels il n'a pas répondu.

Je suis devant ma télé, en train de regarder les infos.

"Un criminel s'est échappé d'une prison à haute sécurité du pays. Faites attention à vous."

J'entends sonner alors je vais ouvrir à la porte.

Cependant, je ne trouve qu'une boîte devant.

Je l'ouvre.

La tête de mon copain.

J'éclate en sanglot et je m'effondre à genoux.

J'entends des pas qui se rapprochent de moi.

Je lève la tête, et je vois des bras remplis de tatouages.

Je les connais.

Il n'a pas changé putain.

Il me relève, prend mon menton entre mes doigts.

Son regard croise le mien.

Putain qu'est ce qu'il m'a manqué.

-Salut mon amour. Me dit-il.

-Enfin. Lui répond-je.

-Je t'avais promis que je reviendrai. Si je ne peux pas t'avoir, personne ne le peux. Me dit-il. Et encore moins ce connard. Rajoute-il en mettant un coup de pied dans la tête de mon ex.

-Eh ! Lui dis-je.

Il m'enlace alors.

On est tous les deux gros tarés, mais bordel qu'est-ce qu'on s'aime.

-Remarque il baisait mal. Lui dis-je.

-Ah bon ? Heureusement que ma bite est de retour alors. Me dit-il en retirant sa ceinture tandis que je retire ma culotte.

Il passe mon débardeur au dessus de ma tête, puis il dégrafe mon soutien-gorge.

Puis il se déshabille à son tour.

Il m'agrippe par les hanches puis il enfonce sa bite en moi.

-Oh putain ça m'avait manqué H/n. Lui annonce-je.

-Moi aussi bordel mon ange.

Il touche mon clitoris.

Il met ses mains sur mes fesses et il me soulève pour que j'entoure mes jambes autour de sa taille.

Il me plaque alors conte le mur du salon.

Il suce mes tétons alors que je laisse ma tête tomber en arrière.

Je jouis, suivie de près de mon homme.

Il nous monte alors dans notre chambre.

-Bonne Saint-Valentin, ma femme.

-Bonne Saint-Valentin, mon homme.

Il va alors vers son tiroir de sous-vêtements alors qu'il prend un caleçon.

Je le reconnais tout de suite.

-Non H/n ne met pas lui. Lui ordonne-je.

-Pourquoi ça, mon ange ? Me demande-t-il.

Mes joues rougissent alors.

Il regarde alors le caleçon, remarque plusieurs tâches blanches dessus.

Il ouvre grand les yeux, réalisant.

-Ne me dis pas que tu t'es masturbée avec mon caleçon préféré Y/n.

-Hm, peut-être. Je lui répond.

-T'es une sacrée coquine putain. Il me dit.