Chapitre 36 🌺

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Salam ça va ?
Moi oui Al Hamdoulilah

Bonne lecture mes pépites 🌺
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Il rigole et m'ouvre la porte.

Moi: Dommage d'avoir voulu me tuer Sofia, tout aurait pu s'arranger

Et je sors avec mon père.
À peine la porte passée que mes larmes se mirent à couler toutes seules.

Mon père: Safiya je sais que ce n'est pas ce que tu veux

Moi: J'espère que tu te sens coupable et que tu te sens mal parce que tout ça, c'est à cause de toi et de tes histoires!

Mon père: A cause de moi ? Je t'ai jamais demandé de travailler pour moi

Moi: Tu me l'as pas refusé non plus, et maintenant regarde où j'en suis? Je fais partie d'un cartel, j'ai pris un couteau dans l'abdomen par ma sœur, j'ai vu ma mère mourir devant moi et j'ai vu des choses horribles en un an et demi alors désolée, mais si, c'est autant de ta faute que de la mienne

Mon père: Je sais pas si t'es au courant Safiya, mais tu as un sacré problème, tu sais lequel c'est?
Tu rejettes la faute sur les autres et tu te plains trop souvent de ce que t'as.
Je te le répète encore une fois, je ne t'ai jamais demandé de travailler pour moi et ce n'est pas moi qui t'ai blessé.
Et pour ta mère je ne t'ai simplement pas laisser la tuer donc au lieu de te plaindre et dire que tu as vécu des choses horribles, réfléchis deux secondes et avoue qu'on essaye tous de t'aider et de te protéger

Moi: Me-

Mon père: Tg

Moi: Tu-

Mon père: Ftg et avance

Il me prend violemment par le bras, il avance et on sort de la maison.
Sur le trajet, on restait silencieux, avec comme seul bruit perturbant le silence: les roues de la voiture contre le goudron et le ronronnement du moteur. Il était énervé, ses sourcils étaient froncés et il n'arrêtait pas de marmonner dans sa barbe.

.........

On était en bas de la maison, j'allais sortir mais il ferme les portes de la voiture à clé. Je me tourne vers lui.

Lui: T'as des nouvelles d'Idriss ?

Moi: Non

Lui: Bizarre, il répond pas à mes appels.
Bref sinon, pourquoi avec Safir vous vous parlez plus ?

Moi: Pour rien, t'inquiète pas

Lui: Mhm bon rentre.

Il ouvre les portes.

Moi: Tu viens pas?

Lui: Non je dois faire deux ou trois trucs vite fait

Moi: Ok

Je sors de la voiture et je monte en haut, je récupère un sac de sport et je vais à la boxe, ça faisait assez longtemps que je n'y étais pas allée.

Arrivée là bas, je commence à m'entraîner, il n'y avait pas beaucoup de monde à ce moment là. Au bout d'une heure je vois Samir entrer.

Samir: Tu fais quoi ici?

Moi: J'fais du golf ça se voit pas ?

Samir: Azi tg viens sur le ring avec moi

Moi: Moi? Avec toi ? Sur le ring ? Flemme de mourir sah.

« Si on me l'avait dit je n'y aurais jamais cru » RÉÉCRITURE DU DÉBUT Où les histoires vivent. Découvrez maintenant