Chapitre 42 🌺

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Salam ça va ?
Moi oui Al Hamdoulilah

Bonne lecture mes pépites 🌺
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Mon père: Safiya-

Moi:Je vais bien, on rentre on a d'autres choses à faire

Il me regarde, encore une fois, j'ignorais la douleur.

Idriss:Safiya..

Moi:Je vais bien j'ai dis j'ai juste eu un moment de faiblesse, je recommencerai plus

Je prends mes affaires et je sors de la chambre.

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Je vous passe une semaine, Safir fumait tous les jours, des quantités astronomiques de beuh, son comportement n'avait pas changé il était même pire qu'avant, il ne parlait à personne et il foutait juste le bordel.

Farah se sentait mal de le voir comme ça alors elle passait son temps à s'entraîner dans la salle de sport. Moi, je n'allais toujours pas bien mieux mais je me défoulais sur la sac de frappe.
J'avais l'impression que chaque jour on m'arrachait un peu plus le coeur, j'avais mal mais j'essayais tant bien que mal de transformer cette douleur et cette tristesse en colère et en force

À mon retour nous avons décidé de mieux gérer les hommes de mon père donc ils étaient divisés en trois équipes;

L'équipe A se chargeait de surveiller les alentours, de veiller sur nous et de garder notre sous-sol en cas d'attaque.

L'équipe B se chargeait de trouver comment mon frère avait été tué sans que personne ne s'en aperçoivent, de trouver l'assassin et chaque jour, l'un d'entre eux prenait nos téléphones à tous, pour être sûrs que l'assassin n'était pas parmi nous

Et enfin l'équipe C, c'était celle qui s'entraînaient sans relâche, les meilleurs hommes au combat de 5h à 22h avec une pose de 1h entre midi et deux seulement, ils devaient être parfait et prêt à tout moment.

Bien sûr, toutes les équipes étaient complémentaire, il y avait toujours entraînement pour TOUS le mardi, jeudi et dimanche de 4h à 23h pour tester leur limite, torture, humiliation, violence, combat et sport bien évidemment.

On s'était donné trois mois. Rien ne se passait entre temps pour qu'on puissent être fin prêt à attaquer le fils de Joaquim. Moi, mon père, Idriss, Farah et.. Safir on se chargeait de le surveiller.

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On était lundi, Farah avait passé sa première semaine de « test » avec nous, mon père nous avait tous convoqués dans son bureau pour faire le point. Il était assit sur sa chaise de bureau à sa droite, Gustavo et devant lui nous tous, on était debout sauf Safir qui était défoncé et qui s'était assit sur une chaise.

Mon père: Como sabes-
(Comme vous le savez-)

Moi:En français papa, elle comprend pas l'espagnol

Mon père:On va pas aller loin avec elle alors

Je le regarde.

« Si on me l'avait dit je n'y aurais jamais cru »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant