Je me réveille dans les bras de mon mari mais j'ai froid, je file sous la douche. Je ferme les yeux, appréciant l'eau chaud ruisselant sur ma peau. Je sens des mains sur mes hanches, picté mon cou de baiser puis descendre entre mes cuisses, le plaisir monte lentement mais c'est bon. On se remue derrière moi puis on me pénètre. Les coups de riens sont rapide et doux, très vite mon partenaire éjacule, me laissant sur ma fin. Il me retourne, m'embrasse, se lave et sort.
- je vais préparer le petit déjeuner, m'annonce-t-il.
Il me laisse là et comme à chaque fois non assouvie. Je sort de la salle de bain réchauffer et frustrer. Je rentre dans la cuisine.
- tu vas faire quoi aujourd'hui ? Je demande en me servant un café.
- j'ai obtenu de pouvoir travailler à distance donc je bouge pas du chalet et toi ?
- je vais vérifier si je me suis affoler pour rien.
Il fronce les sourcils.
- tu te rends compte dans quel pétrin tu nous as mis ?
- c'est juste une précaution au cas où, je réponds.
- tu pourrais arrêter comme ça il n'y aurait plus de précaution à prendre.
-non ! J'ai aucune envie de démissionner de mon travail ! Et que voudrais-tu que je fassevd'autre ?
- tu pourrais bosser avec moi dans mon entreprise ?
Je soupire car j'en ai plus qu'assez d'avoir continuellement cette conversation. Ça fait plusieurs fois qu'il m'en parle et franchement je n'ai aucune envie de me retrouver derrière un bureau.
- tu sais que être enfermer dans un clapier c'est pas mon truc.
- ça ne serai pas éternellement. C'est juste en attendant, essaie-t-il d'argumenter.
- en attendant quoi ? Je m'énerve car ça aussi on en a déjà parler.
- Que tu tombe enceinte.
Je pousse un crie rageur !« Putain de merde ! ». ça va faire 1001 fois qu'on a cette conversation et que je lui explique qu'un enfant c'est non et quand on s'est marié je l'avais prévenu que je n'en voulais pas. Quand est ce qu'il va se rentrer ça définitivement dans le crane. Énervée, j'attrape ma veste, mon portable, mes clés et sort en claquant la porte.
Je vais voir Wood pour lui demander s'il n'a pas un bureau à me prêter pour que je puisse installer mon matos loin de mon mari. Il me conduit à la salle de sport du club, tout au fond, il y a un bureau qui ferme à clé plein de poussière.
- tu devrais être bien ici, me dit Wood.
- Merci.
- qu'est qu'y a la belle ?
- rien.
En entendant ma réponse même moi jene suis pas convaincu par le timbre de ma voix.
- Viens là, me dit Wood en me montrant le vieux canapé.
Je soupire et m'assoie. Il me prend dans ses bras . Me faisant un câlin paternel comme je l'ai vu faire plein de fois à Rebecca ou à Pauline. Et je me rends compte que j'en avais vraiment besoin.
- allez raconte.
- mon mari me prend la tête pour que j'arrête mon travail et que je lui ponde des mouflets.
Wood rigole.
- C'est pas drôle, je rétorque un peu vexé.
- tu ne veux pas d'enfants ?
VOUS LISEZ
Un Biker Pour Allié
General FictionPour Val la vie est simple, ses meilleures amies, son boulot, son mec tout va pour le mieux. Un jour tout bascule, une de ses amies disparaît, l'autre est sous l'emprise d'un pervers narcissique et on l'oblige à se mariée. Puis elle reçoit un appel...