Un Biker Pour Allié

Chapitre 3

- Au départ je me suis marié pourme servir de couverture. Ça fonctionnait super et au moment dedivorcer pour ensuite partir en infiltration,je suis tombergravement malade. Et mon faux mari a pris soin de moi avec Paulineet Rebecca. Pendant ces deux ans de rémission, je me suis attachéà lui. Mon chef m'a annoncé ensuite qu'il avait plus besoin de moien infiltration mais plutôt en tueuse immédiat alors on adéménager. Avant on habitait à 20 kilomètre d'ici.

- Continue.

- Rebecca a rencontrer son ex etnous a rejoins. Cependant ça nous a éloigner de Pauline et tout.Mon mari a beaucoup changer depuis que je l'ai rencontré et jevoulais divorcer. Mais Pauline est morte. Et je ne voulais pasperdre une notre personne a qui je tenais alors on est resté danscette engrenage.

- Continue.

- Je ne t'ai rien dit sur monmariage car... J'aime être avec toi. Je me sens vivante, ensécurité, accepté comme je suis et libre. J'ai envie d'être avectoi en permanence. Tu m'obsèdes. J'ai l'impression de devenirnympho quand je te voir. Mais je suis mariée depuis 15 ansmaintenant et perdu.

Elle baisse la tête. Sa dernière déclaration à fait gonfler mon cœur (et mon sexe) de joie. Dés qu'elle est descendu de la voiture hier, j'ai vu qu'elle n'était pasheureuse et épanouie. Tout à l'heure dans le bureau j'ai vu de la frustration dans son regard, elle est en manque. Je m'approche d'elleet lui relève le menton. Mais son regard s'arrête sur ma queuetoujours durcie. Elle se lèche les lèvre avec gourmandise.

- Vas-y.

Elle redresse la tête et plonge ses yeux dans les miens, puis elle sort sa langue pour venir lécher monpénis d'abord doucement comme si elle me lapait. Ensuite, elle ouvre grand et me prend en entier dans sa bouche, elle est douce,appliquée, sensuelle, intense, passionnée. Je sers les mâchoirespour me contrôler. Le besoin que j'ai de la protégée, de la rendreheureuse, de la dominée se battent à l'intérieur de moi poursortir.

Sa confession ma confirmé se que je savais déjà. « Elle est folle de moi » . Je suisle partenaire qu'il lui faut, elle m'est destiné, son compagnon quil'accepte comme elle est c'est moi, son allié en toute situation.On a les même points communs, les même penchant. Son métier n'est absolument pas un problème mais plutôt un atout pour moi car çasignifie qu'elle n'est pas fragile et qu'elle aussi va m'accepter comme je suis. « Putain elle va me faire perdre lecontrôle. J'avais oublié l'effet que me faisait sa bouche. ». son besoin de contrôle, je le comprend. Mais malgré tout, dans cemoment de vulnérabilité qu'est le sexe, elle me fait confiance etse soumet à moi. J'aime passer du temps avec elle, j'aime nos taquineries, nos moment de complicité.

Valentine attire mon attention enrelâchant mon membre.

- À quoi penses-tu, Maître ?

- À toi.

- Mais tu souris, Maître ?

- Oui car en cette instant tu merends heureux.

Elle me sourit en retour.

- Maître ?

- Oui ?

- Prends moi durement.

Je grogne pour approuver.

Après ce moment parfait entre nous, je la regarde se rhabiller. Elle évite mon regard.

- Viens là, je lui ordonne.

Elle se raidit, hésite et obéit. Je la prends dans mes bras et l'embrasse passionnément.

- Qu'est ce qu'il y a ? je luidemande quand je détache mes lèvres des siennes.