coup de foudre olympiens

chapitre 10

Pdv Lyanna

Il fallait vraiment que je lui dise et je dois bien l'avouer cela m'a soulagé d'un poid. Mais maintenant il est temps de se concentrer il est actuellement 14h30 et je me rends à la piscine. Il faut absolument que je vois mon préparateur mental avant la compétition parce que toute ces émotions mon secoué. Le temps passe à une vitesse hallucinante, alors que je m'étire quelques minutes avant mon entrée tellement concentré avec mon casque sur les oreilles que je ne vois pas Leon arriver

- Bonne chance me dit il

Je lui réponds avec un petit sourire et reprend mes étirements.
Au moment de rentrer dans la piscine des clameur ce font entendre ça y est je suis au JO a la maison. Je salut le public qui ce met à crier de plus belle. Le stade est immense toutes les places sont occupés et sur le côté j'aperçois mes 2 amies , mon coach et ma famille.
Mais au moment de monter sur le plot tout s'efface et je ne vois que le mur en fasse de moi que je dois toucher la première.
Le coup d'envoi est donné et je m'élance à une telle allure que même moi je ne reconnais pas et pourtant je ne ralenti rien pas je peux tenir jusqu'au bout et le public qui me pousse encore plus loin comme s'ils me tirent. Brasse, papillon, dos et enfin crawl. Et je touche le mur en regardant derrière moi j'aperçois mes concurrentes presque 20m derrière moi. Lorsque je sors de l'eau les cris me paraissent encore plus fort. Je cours vers mes proches et les sert tous contre moi. Mais il faut que je quitte vite la salle parce que la course suivante arrive. Les journalistes sont en trans ils me posent des questions de tout les côtés et je m'efforce de répondre. J'enfile vite mon jogging et mon sweat, je laisse bonnet et lunettes au vestiaire et rejoint vite mes amis pour la qualification de Léon. Au moment où il rentre les même cris qu'y m'ont poussé résonne à nouveau. Avant le départ il nous aperçoit tous et nous adresse un léger sourire même si je vois qu'il est tendu. Lorsque le départ retenti la foule est en délire il distance vite ces adversaires et arrive avec bien 5 secondes d'avance

- Vous avez presque fait la même courses me dis Juliette
- Tu vois on c'est bien entraîner ce matin lui lançais je avec un rire

Au moment où je dis ça Léon arrive justement il nous sert tous contre lui mais il laisse ça main un peu plus longtemps contre mon dos. Je n'arrive pas â détacher mon regard de lui en voyant ça il me dit avec un sourire

- Bravo tu as tout gérer
- Merci toi aussi.
Je détourne le regard et m'éloigne de Léon en entendant le coach parler ce qui me sauve parce que la l'air devient sérieusement irrespirable
- Les entraînements que vous faites ensemble me semble fonctionner dis l'entraîneur. Vous ferez ça jusqu'à la fin de la compèt

On s'échange un regard complice

- Aucun problème dit Léon

Le lendemain nous nous entraînons donc ensemble et le soir nous réussissons au la main tout les deux les qualifications du 200 papillon et brasse. Mais c'est maintenant que les choses se corsse parce que le jour d'après commence les 8 ème de finale avec le 200m papillon.

Pour se détendre un peu avant la compétition nous décidons avec Léon de passer la soirée ensemble pour fêter nos qualif mais aussi le vrai début de la compétition. Enfin bon la soirée qu'on devait passer se transforme vite en nuit puisque je rentre dans ma chambre vers 2h du matin. Une heure pas très responsable pour des athlètes olympiques tel que nous. Mais le principal à ce moment c'était que notre relation devenait vraiment sérieuse. On commence vraiment à se connaître et la flamme que je vois dans ces yeux s'agrandit chaque jour. Je pourrais rester blotti contre lui des heures, des jours, des années mais la vie sportive que nous avions choisi ne nous le permet pad. Heureusement je m'endors très facilement et me réveille vers 10h en pleine forme. Nous avions décider la veille d'annuler notre entraînement matinal pour ne pas nous épuisé ce qui m'arrange parce que je n'aime pas me lever tôt !