Chapitre 18

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Pdv Léon

J'ai du mal à dormir. Je repense aux événements passer puis à ceux qui sont a venir. Et si je n'y arrive pas, et si j'ai fais tout ce travail pour rien, et si je déçois mes proches, et si, et si... Je tourne et retourne dans mon lit en carton. Il est 3h du matin. Je me lève et sors de ma chambre sans un bruit pour ne pas réveiller Mathieu.
Une fois dehors il fait bien 20 degrés mais je frissonne. Une larme glisse sur ma joue, ces pensées ne me quitte pas, je revois le visage de ma mère pâle comme la mort, je ne peux pas la perdre pas maintenant. Mais pour qu'elle puisse guérir , il faut que je gagne des médailles d'or pour que l'argent que je reçois lui soit reversé même si mon père ne le veux pas. Sans m'en rendre compte je me dirige vers le bassin olympiques qui a mon grand étonnement n'est pas fermé. Je rentre et m'aperçois que des nageurs s'entraîne encore ou devrais je dire déjà. Je m'assois quelques minutes sur les gradins et la simple vision de l'eau et de regarder les autres nager gracieusement me détend d'une manière de inexplicable. Je me lève il est actuellement 3h30 du matin et je décide de retourner dormir.

Le lendemain matin je me réveille vers 9h15 . L'escapade nocturne de cette nuit me revient en tête, cela me fait du bien de sortir en pleine nuit quand ca ne vas pas surtout quand je me retrouve près du bassin, l'eau a un vrai pouvoir sur moi. Je me lève plutôt détendu, me prépare et descend rejoindre les autres au petit matin déjeuner. Mathieu me fait signe je me dirige vers eux

- Ou est tu allé cette nuit ? Je t'ai entendu sortir
- Je suis aller m'aérer l'esprit , je n'arrivais pas a dormir

Lyanna non plus apparament elle a une petite mine et paraît stresser tout comme Juliette. Je m'approche de Lyanna l'embrasse sur le front et m'assois près d'elle, je passe ma main sur son dos pour la détendre celle ci pose sa tête sur mon épaule

- Tout vas bien se passer Lyanna, je te le promets

Elle lève ces yeux remplis de larmes vers moi et chuchote

- Et si je rate la course.

Elle est théorisée je le vois et je le sens

- Viens dis je en me levant

Elle lève des yeux étonnée vers moi mais elle me suis, je la prends par la main et me dirige vers notre petit jardin secret. Elle s'assoit et je me met à côté d'elle

- Lyanna je...
Je ne peux pas finir qu'elle commence a pleurer. Je la sert contre moi et la berce tendrement. Lorsque elle ne pleure plis je relève son visage vers moi et lui dit

- Lyanna tu es la meilleure nageuse que je connaisse. Tu sais j'ai beaucoup stressée moi aussi mais ton état actuel est vraiment au dessus de ce qu'est j'ai pû avoir. Je tente de garder mon visage impassible et poursuit. Je vais te donner ma technique sinon ce soir tu ne vas pas être en condition pour nager et je ne pense pas que tu veuilles en arriver jusque là.
Je m'écarte un peu d'elle et prend ces mains dans les miennes. Au lieu de l'air paniqué de tout a l'heure je lis dans ces yeux une attention intense ce qui me pousse a continuer

- D'abord tu vas inspirer et expirer comme moi. Voilà parfait continue comme ça. J'attends que sa respiration se stabilise et continue. Maintenant tu vas visualiser ta course de se soir, ce qui pourrait arriver de pire, et de meilleur. Au pire des cas tu arrives 8eme d'une finale olympique ce qui est déjà grandiose et au mieux tu es championne olympique . Aucune des deux est désastreuse.

Je vois ces traits se détendre. J'attends qu'elle ouvre les yeux, quand ils rencontrent les miens un sourire illumine son visage

- Et surtout n'oublie pas que dans tout les cas je serrais à tes côtés et que je serai toujours là pour toi.

Sans aucun mot elle pose ces lèvres sur les miennes et nous nous levons.

L'heure de la course arrive plutôt rapidement et grâce a ma technique de respiration Lyanna est plutôt détendu. La première course de la soirée est celle de Juliette avec le 400m dos. A 19h15 . Avec Lyanna et Mathieu nous sommes près a l'encourager comme nous le pouvons. Lorsque rentre en dernière dans l'arène nous crions tous d'une même voix. Elle nous salut et vas dans la ligne numéro 4. Le départ des nages de dos se font toute dans l'eau quand elle s'élance on dirait une torpille prête a casser un bateau en 2. Oui je sais c'est la seule métaphore que j'ai trouvé sur le moment mais bon bref. Et...
Elle arrive première ! Championne olympique.
Au moment où le commentateur dis cela je sens Lyanna se crisper près de moi et la regarde inquiet

- Ça vas ne t'inquiètes pas

Au même moment Juliette arrive a nos côtés elle rayonne . Nous la serrons tous dans nos bras. Puis le podium arrive directement après. J'espère que ce soir il vas y avoir 3 marseillaises. A la fin de la première Juliette se dirige vers les interviews je suis trop content pour elle parce qu'on parle beaucoup de Lyanna et moi comme nous faisons beaucoup de course mais les nageuses comme Juliette sont aussi forte que nous et surtout aussi importante. A ce moment là Lyanna se lève pour aller se changer.

- Respire, tout vas bien se passer

Elle me sourit et part. Quelques minutes plus tard sa course est annoncé. Juliette vient vers nous et sa bonne humeur réduit la tension qui c'est installé. C'est son tour de rentrer, elle tourne la tête et plonge ces yeux dans les miens. Je lis du stress dans les siens. Je l'encourage du regard tu vas y arriver. Je sais que le 400 mètre est sa course préférée, j'ai confiance. Elle plonge d'une grâce et d'une force exceptionnelle j'observe ces mouvements parfait au point d'oublier de regarder sa position

- Elle est première me lance Juliette

J'ai l'impression que je nage avec elle, je retiens ma respiration. Sur les 50 dernier mètre elle se fait dangereusement rattraper par Summer McIntosh la canadienne de 17 ans. Mais elle tient bon et gagne sa toute première médaille olympique et sûrement pas la dernière. Je vois la joie sur son visage mais elle reste tout de même concentré car le plus dur est demain. Je la sert dans mes bras puis sans attendre la remise de médailles vas me préparer. Je fais quelque longueurs puis mes ma veste pour rester chaud, je ferme les yeux et fait le vide dans ma tête, les 2 victoires du jour ne doivent pas me déstabiliser. Quand j'ouvre les yeux c'est a moi. Je lève une main pour saluer mais je ne regarde rien d'autre que le bassin . Au moment de monter sur le plot je dis dans ma tête pour toi maman, je t'aime. Puis je saute 1 coulé, 2 coulé, 3 coulé et à la quatrième je jette un coup d'oeil a mes adversaires qui ne sont pas à côté mais en fasse de moi . J'ai énormément d'avance ce qui me motive encore plus à faire un record olympiques. Et c'est ce que je fais. Je bas le record de Michael Phelps ! Je vais saluer le public qui a une joie inimaginable puis mes amis. Je viens de gagner vous aller me dire que je ne suis pas très heureux mais je veux rester focus sur demain, le challenge qu'on c'est fixe avec Bob quand nous étions aux Etats Unis et je compte bien le réaliser, je réussi presque toujours mes défis. Demain soir je le promets ça sera la fête !!

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On arrive bientôt a the scène mais aussi on se rapproche de la fin. Laisser moi plein de vote et comm! J'espère que l'histoire vous plaît

coup de foudre olympiensOù les histoires vivent. Découvrez maintenant