Invitation, à l'action

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Enfin de retour à la maison Anaïs admirait les jeux qui était exposé dans son salon.

_ C'est pas magnifique tout ce ci ?
Demanda-t-elle à Alexandro, qui lui observait les jeux avec un air neutre.

_ J'ai cru entendre que tu avais deux nièces, alors pourquoi avoir acheté une trentaine de cadeaux ? Demanda-t-il en la regardant les sourcils froncés.

_ Bah c'est parce que j'aime mes nièces, dit-elle en souriant joyeusement.

_ Plus sérieusement Anaïs.

Elle perdu son sourire Joyeux pour laisser place à un sourire triste.

_ Quand j'étais plus jeune il y avait un orphelinat à environ trois minutes de notre maison, dit-elle en soufflant. Ma mère adorait passer du temps, son temps libre avec moi dans cet orphelinat.

_ En conclusion ta mère avait un grand coeur.

_ Oui, elle aidait les femmes pour la cuisine. Organisait des minis fêtes pour les enfants et plein d'autres choses amusant. Tout ça pour leurs faire oublier qu'il était orphelins, dit-elle en commençant à emballer les cadeaux.

_ J'aurais aimé la connaître, dit Alexandro en l'aidant.

Elle soufla avant de continuer.

_ Je me suis même faire une amie intime, Christine. Bref des années plus tard ma mère est morte et je me suis promise de continuer ce qu'elle avait commencé. Faut croire que je riche dit-elle en rigolant.

_ Tu as l'air aussi gentille que ta mère.

_ Ho que non, je ne le suis pas autant.

Après avoir discuté de tout et de rien, on sonna à la porte.

_ Qui est-ce ? Demanda Anaïs.

_  Il fattorino. ( le livreur).

_ Livreur ? Je n'es pourtant rien commandé.

Elle se mit debout et alla ouvrir la porte.

_ ciao signorina. Sei la signorina Anaïs Miller? Demanda le livreur. ( bonjour mademoiselle. Êtes vous mademoiselle Anaïs Miller ? ).

_ SÌ, répondit elle. ( Oui ).

_ per favore firma qui e qui, dit-il en lui montrant les endroits où signer. (veuillez signer ici et ici ).

Elle signa et le remercia avant de fermer la porte.

_ Alexandro à tu commandé quelques choses ? Lui demanda-t-elle ?

_ Non, lui répondit-il en arrêtant de fixer son écran.

_ Elle deposa la boîte sûr la table du salon et l'ouvra.

Il y avait un carton plus petit à l'intérieur, de couleur blanc, accompagné d'une enveloppe.
Elle ouvrit la boîte tandis que Alexandro, lui ouvrait l'enveloppe.

_ Une robe ! S'écria-t-elle suprise.

_ Je crois que tu devrais lire ça dit-il en lui tendant l'enveloppe.

Il y avait deux invitations pour la fête du réveillon de Noël, organisé par une entreprise de  vignerons. “ il vino del futuro ”

_ Non mais pourquoi je reçois une invitation de...

_ Qui est ton père ? Ça doit être l'un de leurs collaborateurs.

_ Sûrement, mon père est connu sous le nom de Leandro Matini, dit-elle en déballant la robe.

_ Tout s'explique, dit-il en observant la robe qu'elle tenait.

_ En comment, demanda-t-elle perdu.

_ Ton père est le créateur de cette entreprise, dont l'un des hommes les plus connus de l'Italie. Ses yeux quittaient cette magnifique robe en satin rouge pour faire face à Anaïs. Belle robe, je crois que Matini est heureux de connaître sa fille, dit-il en lui souriant.

La journée passa assez vite, il était maintenant l'heure pour Alexandro de rentrer.

_ Merci pour le dîner Principessa.( princesse).

_ Pas de quoi Alex, n'oublie pas on reprend le boulot demain, dit-elle en le suivant jusqu'à la sortie de l'immeuble.

Il lui fit une bise sur le front.

_ Je suis heureux de m'être impliqué dans cette aventure avec toi. Je ne regrette pas de t'avoir dans ma vie ma très chère coéquipière. Dit-il en s'en allant.

Il lui fit un signe de la main avant de monter dans sa voiture et de partir.

Anaïs soufla un grand coup avant de remonter dans son appartement. Elle ferma la porte et se laissa glissé sur celle-ci.
La tête baissée, les jambes replié contre son ventre. Anaïs ne put arrêté de sourire. Il lui avait dit qu'il était heureux de lavoir.
Son cœur battait la chamade, une chaleur encore nouvelle la submergea.

_ Hé merde, Anaïs reprends toi, dit-elle en se mettant débout.

Elle marcha jusqu'au canapé où elle se laissa tomber.

_ Hé merde on est mal barré pour ne pas céder à se sentiment.

_ Où est-il demanda Leolio en s'avançant vers la ruelle.

_ Ici monsieur, lui répondis l'un de ses hommes.

Il marcha d'un pas rapide, pressé de voir l'homme qui imitait sa signature sur ses victimes.

Devant lui se tenait un homme chétif à l'allure pitoyable. Ses cheveux blonds étaient en désordre, ses sourcils étaient froncés, ses yeux verts était retroussé et plein de peur face à l'homme qui se tenait en face de lui. Son nez avait pris une teinte violette et sa bouche était recouvert par du ruban adhésif.

Leolio laissa un sourire se dessiner sur ses lèvres. Il n'avait pas son fameux masque. Devant lui se trouvait 4 hommes. Et ces 4 hommes étaient prèt à mourir pour lui et lui il leurs faisaient confiance.

Ses hommes étaient ses armes de l'ombre.

_ Comme ça, tu es un fan , dit-il en portant des gants que l'un de ses hommes venait de lui tendre. Alors soit heureux, tu verras mon visage avant de voir l'enfer.

L'homme qui il y a de celà trois heures de proclamait être le descendant directe du diable était là plus pitoyable que jamais.

Il prit le pistolet de un de ses hommes et tira dans la cuisse de l'homme qui se proclamait être lui.

Celui-ci hurla, ses cris était étouffé par le ruban adhésif qui couvrait sa bouche.

_ C'est mal de mentir pour une mauvaise cause, c'est mal de prendre l'identité de quelq'un d'autres. Et en plus de cela tu es nul dans la matière. Dit-il en tirant dans son épaule droit.

_ Tu as commis une grave erreur en voulant m'imiter. Il tira cette fois dans sa cuisine droite. Je vais te donner un conseil, tu pourras l'appliquer aux enfers. Je ne tué jamais mes victimes directement, je les laisse espérer avoir une chance de survivre, mais en fin de compte ils meurs tous. Mais comme tu es un cas particulier alors...

Il laissa sa phrase en suspense et il prit une fleur dans la poche du manteau de l'un de ses armes de l'ombre, une Rose rouge. Il la jéta au près de l'homme qui était maintenant avachi parterre. Rendez-vous en enfer Monsieur Alexis Venezia.





Salut les gars je voulais vous remercier. Franchement merci beaucoup de me suivre dans cette aventure. Bien vrai que j'écris pour le plaisir le fait que des gens lisent, votes et commentes me fait vraiment plaisir. J'écris ce petit mot pour vous remercier et pour vous annoncez le début des choses sérieuses.

On connaîtra le vrai visage de tout le monde et enfin vous pourrez avoir une idée de qui est le mafieux ( Leolio )

Le Mafieux De l'Italie Où les histoires vivent. Découvrez maintenant