Lucius

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Point de vue de Hermione :

On atterri devant la fameuse maison parisienne, prêts à se battre.

Mcgonagall avance vers la porte d'entrée et l'ouvre prudemment, sa baguette en main.

Rien à signaler dans le couloir.

On entre dans la maison, les baguettes en main.

Mcgonagall : Allez tous les deux voir à droite, je vais à gauche. S'il y a quoique ce soit, criez.

On hoche la tête et nous allons à droite.
On entre dans la cuisine, dans la salle à manger et dans la salle de bain.

Rien.

On retourne sur nos pas. Mcgonagall nous rejoint.

Mcgonagall : Alors ?

Moi : Rien. Et vous ?

Mcgonagall : Rien. J'ai regardé dans les 3 chambres mais je n'ai rien vu, ni entendu.

Draco : Il reste le salon.

Mcgonagall : C'est où ?

Draco : Au fond du couloir, c'est une grande pièce donc il y a de fortes chances pour qu'ils y soient.

Moi : Ok, on y va.

Mcgonagall : On reste prudent.

On hoche la tête et nous dirigeons au fond du couloir.

On pousse doucement la porte pour y trouver Narcissa assise sur une chaise, inconsciente.

Draco : Maman !

Point de vue de Draco :

Je cours vers ma mère pour tenter de la réveiller.

Moi : Maman ! Réveilles toi !

Elle ouvre doucement les yeux.

Moi : Maman !

Je la prend dans mes bras.

Moi : Tu m'as fait peur, maman...

Hermione : Draco !

Je me retourne et voit mon père qui ferme la porte brusquement.

Papa : Content que tu sois venu, Draco.

Moi : En même tant, j'avais pas le choix.

Je lui réponds du tac au tac, commençant à m'énerver.

Papa : Et tu es venu aussi... Hermione.

Hermione : Ouais.

Papa : Vous par contre...

Il se retourne vers le professeur Mcgonagall en disant ça.

Mcgonagall : Je n'allais pas laisser mes élèves seuls face à un monstre comme vous, Lucius.

Papa : Un monstre ? Moi !?

Mcgonagall : Parfaitement.

Papa : Vous allez voir !

Moi : Stop ! Tu nous a fait venir alors dis nous au moins pourquoi avant de faire quelque chose !

Papa : Oh c'est vrai. Vous ne savez pas encore.

Il marque un temps de pose.

Papa : Vous êtes ici pour mourir.

Hermione : Comment ça ?

Papa : Je vais vous tuer.

Mon père sort sa baguette et la pointe sur moi.

Papa : C'est à cause de toi que ma vie est foutu.

Moi : Quoi ? Comment ça ?!

Papa : Si tu n'aurais pas lancé la baguette à Potter lors de la bataille, Voldemort aurait gagné. Je ne serais pas allé à Azkaban !

Moi : Si tu ne serais pas devenu un mangemort, tu ne serais pas aller à Azkaban !

Papa : Être un mangemort est la meilleure chose que j'ai fait dans ma vie !

Moi : Et nous !? On est ta famille !

Il abaisse sa baguette.

Papa : Vous ne l'êtes plus depuis que vous m'avez abandonné après la guerre...

Il repointe sa baguette sur moi.

Papa : Assez parler. Je vais te tuer, maintenant !

Mes yeux s'agrandissent, ma respiration s'accélère, mes mains tremblent... je panique.

Papa : Avada ke-

Hermione : Stupefix !

Mcgonagall : Stupefix !

Mon père lâche sa baguette en étant propulser à l'autre bout de la pièce.

Papa : Aïe...

Mcgonagall : Maintenant vous allez venir avec nous au ministère de la magie.

Papa : Moi vivant, jamais.

Et il disparaît de la pièce.

Mcgonagall : Non !

Mcgonagall disparaît à son tour.

Maman : Qu'est-ce qu'il se passe Draco ? Je ne comprends plus rien.

Moi : Ça faisait partie du plan numéro 8 maman. Paraitre innocent et lui parler pour le déstabiliser puis l'attaquer avant qu'il attaque.

Hermione : Et s'il réussissait à s'enfuir, le professeur Mcgonagall le poursuivrait grâce au résidu magique que laisse la transplanation.

Maman : C'est malin... très malin ! Je suis fière de toi Draco, et de toi aussi Hermione.

Elle nous sourit en disant cette phrase.

Moi : Merci maman.

Hermione : Merci madame Malfoy.

Maman : Oh je tends prie, appelle moi Narcissa.

Hermione : D'accord. Merci Narcissa.

On détache ses mains qui étaient jusqu'à lors attaché derrière son dos par des cordes.

Mcgonagall revient... seule.

Mcgonagall : Je n'ai pas réussi à le rattraper...

Maman : Ça ne fait rien. On va bien pour l'instant et c'est tout ce qui compte.

Moi : Mais il va revenir...

Maman : Et on serra prêt à l'accueillir comme il se doit, crois-moi.

Elle me fait un sourire à la fois espiègle et diabolique.

Moi : Il ne s'attendra pas à ce qui va lui arriver.

On sourit tous, un peu diaboliquement... et nous transplanons à Poudlard.

Draco et Hermione (tome 2)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant