Chapitre 4 - Natacha

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— Tu ne t'es pas lavée, j'espère ? demanda Bénédict en fronçant les sourcils.

Il était penché sur sa concubine, désormais sa concubine numéro 1 depuis l'arrivée de la numéro 2, Cristelle, et il respirait à pleines narines ses aisselles, rasées de près. Quelques courtes repousses de poils noirs faisaient leur apparition sur la peau magnifiquement foncée. Il ne sentait pas l'odeur forte et musquée qui définissait Natacha. Il aimait par-dessus tout ce qui se dégageait de son corps. Ses aisselles, ses pieds, son anus, son vagin, chaque trou ou orifice lui apportait une source d'excitation. Elle avait cependant la mauvaise habitude de trop souvent se laver, faisant ainsi disparaître ce qui comblait son maître.

— Je suis désolée, maître, j'ai dû me doucher en arrivant cet après-midi, j'avais transpiré toute la journée et...

— Tu sais que j'aime ton odeur, même si tu sens fort.

— Je sais, mais j'étais gênée, je ne sentais pas très bon. Surtout en bas.

Bénédict regarda sa jolie concubine avec une sévérité feinte. Elle baissait la tête, en signe de soumission. Un jeu entre eux. Il se mit à bander, dans la perspective de ce qu'il allait lui faire. C'était une petite Camerounaise de trente ans, boulotte, avec des seins tombants aux larges auréoles noires, de larges fesses, et une magnifique peau noire. Elle possédait un joli visage, tout en rondeurs, aux courbes typiquement africaines et des jolies petites tresses. Sa bouche faisait penser à un fruit pulpeux.

— Je dois te punir pour t'être lavée, tu m'as déplu.

Natacha en mouilla d'aise. Elle savait ce que son maître allait lui faire. Ce jeu de la punition la rendait folle. À vrai dire, elle avait fait exprès de se laver le plus tard possible, afin de « décevoir » Bénédict.

— Oui, Maître, dit-elle d'un ton peiné.

— Viens sur mes genoux ! ordonna-t-il en s'asseyant sur le bord du lit.

Elle s'approcha de lui, la tête toujours baissée. Elle portait une courte robe jaune qui faisait ressortir sa belle couleur de peau. Bénédict sentit sa verge durcir encore plus. Elle avait fait exprès d'acheter une robe d'une taille trop petite. Ses belles grosses fesses semblaient prêtes à faire exploser le tissu, tendu au maximum. Ses cuisses écartaient le bas de la robe à chaque pas. Ses seins semblaient énormes, coincés sans soutien-gorge dans l'échancrure boutonnée. Elle vint se coucher sur les genoux de son maître, la tête en bas, les fesses offertes.

Bénédict sentait son érection grossir. Son pénis gonflé, serré dans son boxer et son pantalon lui faisait presque mal. Il avait envie de la sortir. « Non, après. C'est elle qui me déshabillera », se dit-il.

Natacha restait silencieuse. Elle attendait avec impatience le début de la correction. Elle sentait son vagin dégouliner d'anticipation. Bénédict considéra avec de grands yeux gourmands les fesses ainsi offertes. La position couchée avait fait remonter la déjà trop courte robe : elle s'arrêtait au-dessus de sa raie. Il sentit que sa verge était au bord de l'explosion. Il caressa doucement la peau puis soudainement donna une fessée sèche. Natacha poussa un petit cri. Il caressa à nouveau le joli cul de sa concubine puis la fessa une deuxième fois, un peu plus fort. Elle gigota en gémissant. La faible douleur l'excitait au plus haut point. Elle replia ses jambes, comme si elle pouvait faire barrière. Bénédict la saisit par la cheville. Il regarda le pied nu. Le pied noir à la plante plus blanche. Les ongles courts non peints. Les doigts de pieds courts et épais. Il avança la tête et lécha la plante du pied, puis il suça un orteil. Il n'en pouvait plus, il devait faire sortir son sexe. Il lâcha le pied et fessa une troisième fois Natacha.

L'Institut (ou expression de fantasmes non complexés)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant