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Je me sentais légère, presque flottante, comme si mon corps n'était plus qu'une enveloppe vide. Pourtant, quelque part au fond de moi, je savais qu'ils étaient là, autour de moi, inquiets. Mais je ne pouvais pas bouger, pas même ouvrir les yeux pour les rassurer. Tout était flou, comme un rêve dont on ne peut s'échapper.
Lyn était la plus proche. Je sentais sa présence à côté de moi, sa voix qui m'appelait, mais que je ne pouvais pas répondre . Elle s'accroupit à côté de moi puis elle agita sa main devant mon visage, essayant de capter mon attention.
Lyn : Tu me vois ? me demanda-t-elle, avec l'espoir que je réagisse. Mais rien ne bougea, mes paupières restaient closes, mon esprit prisonnier dans ce corps immobile.
Antonio : He oh !! Il claque des doigts devant moi. Faut pas nous lâcher aujourd'hui hein ! Il rapprocha son visage du mien,cherchant désespérément un signe de vie, quelque chose qui prouverait que j'étais encore là avec eux. Je voulais tellement lui répondre, lui dire que je l'entendais, mais aucun son ne sortait de ma bouche.
Leroy : Vous pensez qu'elle est morte ? Murmura-t-il, sa voix tremblante, comme s'il redoutait la réponse.
Lyn : Mais non couillon, si elle était morte elle respirerait pas ! Elle pointa ma poitrine qui se soulevait faiblement à chaque respiration. Même moi, je pouvais sentir que quelque chose n'allait pas, que ma respiration était étrangement lente.
Bina : J'ai chercher dans tous le réseaux , fouiller toute les caméras mais rien qui explique son état. Dit elle en enlevant son casque, d'ailleurs c'est son meilleur pote cette outils elle l'enlève jamais!
Lyn : La personne qui lui a fait ça...commença-t-elle, en étudiant mon visage. Elle lui a probablement pas donné de coup. Non, la personne a sûrement utilisé un produit chimique, quelque chose pour lui faire peur. Mais vu son état de santé, ça a eu un effet plus fort que prévu. Elle ouvrit doucement mes paupières, utilisant une mini-lampe torche pour observer mes yeux. La lumière m'aveugla un instant, mais je ne pouvais rien faire pour détourner le regard. Ses yeux réagissent pas à la lumière... Elle se redressa, retirant ses gants, et fit signe à Leroy de venir. Jette un coup d'œil et essaye de trouver qu'elle produit on a pue lui injecter.
Leroy s'approcha prudemment, enfilant à son tour des gants neufs avant de se pencher au-dessus de moi. Ses doigts étaient précis, presque délicats, alors qu'il étudiait mes pupilles.
Leroy : Vue comment c'est yeux réagissent au produit je dirais que c'est du chloroforme, les mêmes produit qu'on utilise pour endormir les filles. Il se lève et se dirige vers bina.
Matt, qui jusque-là était resté silencieux, se redressa brusquement, l'air choqué.
Matt : Elle a était violer ? Quoi ? Non! Lui toujours il pars dans l'extrême.
