𝟎𝟐

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𝐃𝐄𝐔𝐗








Omniscient




Les jours suivants, après l'accident de la grand-mère, ont marqué le début d'un enfer encore plus insoutenable pour Alaïa. Ses oncles, Raphaël et Santiago, ne se retenaient plus. Chaque matin, ils entraient dans sa chambre et la frappaient sans relâche, leurs coups laissant des bleus et des cicatrices saignantes qui s'accumulaient sur son corps frêle. Leurs tortures étaient sans fin: brûlures dans le dos, coups de ceinture, elle en est devenue un punching-ball humain....

Le grand-père, accablé par l'état de sa femme, passait toutes ses journées à l'hôpital, ignorant les horreurs que subissait sa petite-fille. La maison était devenue une véritable prison pour Alaïa, chaque recoin cachant une nouvelle souffrance.

Un soir, alors qu'elle était enfermée dans sa chambre,Alaïa entendit une conversation entre ses oncles.

Santiago: On part demain pour la mission. Faut que tout soit prêt. Pas de conneries cette fois, on n'a pas besoin de plus de problèmes.

Raphaël: - Oe mais comme on sera absents quelques jours. Faut s'assurer que cette petite merde d'Alaïa ne fasse pas de conneries pendant ce temps. Si elle essaie quoi que ce soit, je lui prévois du sale quand on reviendra.

Santiago: Je lui ferai regretter d'être née, je te le promets.

Ce départ inattendu laissait entrevoir une lueur d'espoir pour Alaïa. Peut-être pourrait-elle enfin sortir et tenter de voir sa grand-mère à l'hôpital.

Le lendemain, une fois ses oncles partis, Assiya s'échappa discrètement de la maison en passant par la petite fenêtre de sa chambre.


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Actuellement je suis dehors dans la forêt on est vraiment dans un trou perdu et c'est je pense la 2e fois depuis que je suis ici que j'ai mis les pieds dehors

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Actuellement je suis dehors dans la forêt on est vraiment dans un trou perdu et c'est je pense la 2e fois depuis que je suis ici que j'ai mis les pieds dehors. Il fait vraiment froid et j'ai une petite veste pour recouvrir mon vieux pyjama et mes claquettes j'ai pas vraiment de vêtements j'ai que des vieux pyjamas et mes claquettes comme chaussures, en fait je suis une clocharde.

Bref là je vais me rendre à l'hôpital le plus proche j'ai essayé de visualiser avec mon tel mais la j'ai pas de connexion donc on va se débrouiller. Mais je vous avoue j'ai peur avec mes blessures je risque gros, je sens plus corps.


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𝐋𝐞𝐬 𝐨𝐦𝐛𝐫𝐞𝐬 𝐝𝐮 𝐩𝐚𝐬𝐬𝐞́Où les histoires vivent. Découvrez maintenant